7/30/2007

Le secret pour vivre vieux et en santé

Bonjour,

Mercredi matin 9h08. Je me présente au tertre de départ #1 du club de golf de Lorraine. Le préposé au départ m’indique les trois autres personnes avec qui je vais jouer. Je les regarde rapidement et je me dis à moi-même : « Oh mon Dieu, la partie va être longue ! » C’est que les trois hommes en question étaient déjà tous des retraités… bien des années avant que j’entre sur le marché du travail !

Lors de la partie, j’ai entre autres beaucoup jasé avec Jean-Claude, le doyen de notre quatuor. Jean-Claude était assez petit, il avait une petite moustache blanche bien taillée et il portait un chapeau pour protéger sa tête du soleil. Il était de loin le plus loquace des trois. Il riait tout le temps, il tirait la pipe à ses deux amis et il avait une attitude positive extraordinaire.

Jean-Claude est né le 31 mars 1927. Il a donc 80 ans bien sonné. Il a vendu son entreprise de fabrication de cage d’ascenseur, il y a plus de 28 ans déjà et il a pris sa retraite à ce moment. Comme il m’a dit en riant : « Je suis marié à une petite jeune de 75 ans et j’ai eu 5 garçons. Le plus petit mesure 6’3’’! Comme tu peux constater, ils tiennent ça de leurs grands oncles ou du facteur, je ne sais pas trop! »

Jean-Claude avait vraiment l’air en forme pour son âge. Je lui ai donc demandé ce qu’il faisait pour maintenir une telle vitalité. Il m’a dit : « Je me tiens au courant de ce qui se passe dans le monde grâce à Internet. Je mange beaucoup de légumes et que du poisson. Je ne mange de la viande que si je vais au restaurant. Je fais de la culture physique 5 fois par semaine, et pas des affaires de fifi là, des vrais poids et des haltères et du vrai cardio. Et plus, je joue au golf 4 fois par semaine s’il fait beau, pis je marche tout le temps ! »

Wow! Jean-Claude m’impressionnait vraiment. Quel bel exemple à suivre. Alors que la plupart des gens sont morts, ou attendent de mourir à son âge, Jean-Claude lui, était plus actif que bien des jeunes de 20 ans.

J’ai vraiment passé une très belle journée en compagnie de Jean-Claude. Après la partie de golf, avant de le quitter, je lui ai demandé: « Jean-Claude, ça serait quoi selon vous le secret pour vivre vieux et en santé ? » Je m’attendais à ce qu’il me parle de repos, de nutrition et d’exercices physiques, mais non. Jean-Claude m’a dit : « Le plus grand secret pour vivre vieux et en santé, c’est d’avoir une attitude positive. L’âge, ça se passe dans la tête mon jeune ! »

Hummm, il m’a bien fait réfléchir ce Jean-Claude. Je ne voulais pas partir, mais je devais quitter puisque j’avais un rendez-vous. Je lui ai donc dit : « Jean Claude, en forme comme vous êtes, vous allez sûrement dépasser les 100 ans, n’est-ce pas ? » Et Jean-Claude de me répondre, à ma grande surprise : « Je ne pense pas que je veuille me rendre jusqu’à là. Tu sais Patrick, c’est dur de voir mourir tous ceux que t’aimes autour de toi. » Hummmm……

Ah oui en passant, cette journée-là, Jean-Claude a joué son âge au golf, soit 80, dix coups de moins que moi ! Quelle leçon d’humilité!

Vous désiriez connaître le secret pour vivre vieux et en santé ? Quoi qu’il vous arrive, assurez-vous de toujours conserver une attitude positive.

Copyright 2007© - Conférences et séminaires Patrick Leroux Inc.

7/26/2007

Entrevue de Patrick Leroux à Caféine, TQS

Cliquez-ici pour voir l’entrevue que Patrick à donné sur les ondes de TQS ce matin dans le cadre de l’émission Caféine animée par Jean-Michel Dufaux.

7/23/2007

16,5 journées de maladie par année, un non-sens !

Bonjour ,

Selon le journal de Montréal du 16 et 17 juillet dernier, les employés de Revenu Québec manquent en moyenne 16,15 jours pour cause de maladie par année ce qui représente une hausse de 158% depuis 1998-1999. Ces journées de maladies coûtent à l’État (nous) 20,1M$/année et un autre 5,95M$/année pour les heures supplémentaires que les absents engendrent. Il s’agit selon moi d’un non-sens ! Ce sont nos impôts qui payent tout ça. J’ai d’ailleurs fait 10 entrevues à la radio la semaine dernière afin de commenter ce sujet un peu partout au Québec.

Écoutez l’entrevue que Patrick a donné sur les ondes du 98,5 FM, la radio parlée de Montréal, lors de l’émission « Montréal maintenant » avec Paul Houde le mercredi 18 juillet 2007 :

Ne manquez pas également l'entrevue de Patrick sur les ondes de TQS à l'émission Caféine ce jeudi 26 juillet vers 7h19 am.

Ce phénomène n’existe pas seulement chez Revenu Québec. Des millions de personnes chaque jour font un travail qu’ils n’aiment pas. Démotivés et désabusés, ils ne se gênent pas pour prendre le maximum de journées de maladies possibles. C’est comme si ces personnes avaient acheté ce terrible mensonge : « Dans la vie, on ne fait pas ce qu’on veut, on fait ce qu’on peut ! » RIDICULE.

Il y a certes une part de responsabilité qui revient à l’employeur afin d’offrir des conditions de travail adéquates, mais ultimement la responsabilité de choisir un travail qu’on aime est personnelle. À ce que je sache, personne ne ferme les portes à clé derrière les employés de Revenu Québec lorsqu’ils entrent au travail le matin. Si vous êtes dans la même situation et que vous n’aimez vraiment pas votre travail, deux options s’offrent à vous :

1. Demandez à votre patron de vous changer de place. Je suis convaincu qu’il n’existe pas de mauvaises personnes, mais seulement des personnes à la mauvaise place. Dans chaque organisation, il y a ce qu’on appelle la règle du 80-10-10. 10% des gens aiment beaucoup leur travail et ils n’ont pas besoin de motivation. 80% des gens ont besoin de motivation, d’encouragement, de support, de formation afin de bien performer. Et finalement, il y a environ 10% des gens qui ne sont pas à la bonne place et qui devraient faire autre chose.

Si vous n’avez pas le courage de partir vous-même, ça devrait être à votre employeur de vous le faire comprendre. Il s’agit certes de la tâche la plus difficile pour un dirigeant que de devoir remercier un employé, mais ça fait partie intégrante de son travail. Il est complètement inacceptable de tolérer 16,15 journées de maladies par année ! N’importe quelle autre organisation n’accepterait cette situation.

Afin d’éviter d’en arriver là, c’est-à-dire de remercier des gens qui n’aiment pas leur travail, les dirigeants ont la responsabilité d’embaucher les bonnes personnes. En fait, 90% des problèmes dans les organisations surviennent à l’embauche ! On n’embauche pas les bonnes personnes.

2. La deuxième option qui s’offre à vous, si vous détestez votre emploi, et il s’agit ici de l’option qui demande le plus de courage, est de quitter tout simplement votre emploi. Comme vous le savez déjà, tout dans la vie est une question de choix. Vous n’avez pas à acheter de quiconque, vous n’avez pas à partager votre vie avec quiconque et vous n’avez certes pas à travailler pour quiconque. Vous pouvez toujours choisir. Si vous n’êtes pas heureux dans votre travail et que vous cherchez un coupable, ne regardez pas dans un télescope, mais plutôt dans un miroir ! La vie est trop courte et trop précieuse pour rester dans un emploi qui ne nous procure aucune satisfaction. Vous vivez au Canada et non aux Philippines. Vous avez le choix.

J’étudie des gens qui ont du succès depuis plus de 19 ans et voici ce que j’ai découvert : Les gagnants vivent leur passion plutôt que d’attendre leur pension !

C’est triste, mais beaucoup de gens vivent selon la règle des 40 ? Ils travaillent 40 heures par semaine dans un emploi qu’ils détestent pendant 40 ans pour un salaire moyen de 40 000 dollars par année. Ils prennent alors leur retraite avec 40% de leur salaire pour finalement recevoir une belle montre à 40$ !

Mais quoi faire Patrick ? Si je déteste mon travail, suggères-tu que je laisse mon emploi demain matin ? Certainement pas ! À court terme, vous avez des responsabilités. Vous devez vous occuper de votre famille et payer vos comptes, mais à moyen et long terme (1 à 5 ans) tout est possible. Il vous faudra certainement faire un effort, peut-être retourner à l’école ou accepter un salaire inférieur pour quelque temps par exemple. Mais l’effort en vaudra la peine.

Commencez par vous poser cette question. Si vous gagniez dix millions de dollars demain matin, conserveriez-vous votre emploi actuel ? Si oui tant mieux, vous êtes passionné. Sinon, que feriez-vous ? Une fois que vous auriez fait le tour du monde deux fois, que feriez-vous pour occuper vos journées ? Que pourriez-vous faire afin d’éprouver un sentiment de satisfaction intérieure ?

Voici une citation que j’aime beaucoup : « Que feriez-vous si vous aviez tout l’or du monde? Faites-le et vous aurez tout l’or du monde! » En effet, lorsque vous choisissez de faire un travail que vous aimez, vous n’aurez plus l’impression de travailler une seule journée de votre vie. Bien de gens agissent comme si le confort et le luxe étaient essentiels à notre existence, alors qu’il suffit pour être réellement heureux de trouver un travail qui nous intéresse passionnément.

Les gens passionnés gagnent en général très bien leur vie. Mais ils ne font pas leur travail pour l’argent, ils le font parce qu’ils aiment tout simplement ça. Et parce qu’ils aiment leur travail, ils veulent être les meilleurs dans ce qu’ils font et ils deviennent ainsi excellents. Et puisqu’ils sont excellents, ils sont très bien rémunérés. Prenez la chanteuse Céline Dion, Guy Laliberté du Cirque du soleil ou Martin St-Louis le petit joueur de hockey du Lighthing de Tampay Bay par exemple. Ces personnes sont très, très riches mais elles continuent malgré tout à travailler très fort, pourquoi ? Parce qu’elles sont passionnées de leur travail et qu’elles éprouvent un sentiment d’accomplissement à faire ce qu’elles font.

Un homme sage a déjà dit un jour : « Je préférerais subir un échec dans un travail que j’aime faire, plutôt que de connaître le succès dans un travail que je déteste. » En effet, je partage l’avis avec l’idée qu’il vaut mieux être un excellent cuisinier qu’un médecin médiocre.

Rien de significatif dans le monde ne s’est accompli sans passion. Peu importe ce que vous décidez de faire, décidez de le faire avec passion. Si vous décidez de devenir un balayeur de rues, balayez les rues comme Michel-Ange peignait ses toiles, ou comme Beethoven composait sa musique, ou encore comme Shakespeare écrivait ses poèmes. Balayez les rues si bien qu’après votre mort, tous les hôtes du paradis s’arrêteront devant votre porte et diront: «Ici, vivait le plus grand balayeur de rues du monde!»

Copyright 2007© - Conférences et séminaires Patrick Leroux Inc.

7/16/2007

Communiqué de presse - Les congés de maladie en hausse : un non sens !

Pour diffusion immédiate

MONTRÉAL, QC, le 16 juillet 2007 - Selon le Journal de Montréal d’aujourd’hui, les employés de Revenu Québec manquent en moyenne 16,15 jours par année ce qui représente une hausse de 158% depuis 1998-1999.

Selon Patrick Leroux, expert en motivation et auteur du livre Le Feu Sacré du Succès : « Il n’y a pas de mauvaises personnes, seulement des personnes à la mauvaise place. Un taux d’absentéisme au travail aussi élevé est un signe évident que ces personnes ne sont pas à la bonne place ».

M. Leroux d’ajouté : « Des millions de personnes vivent la même situation à tous les jours. Pourtant, tout dans la vie est une question de choix. Personne n’est obligé de travailler pour qui que ce soit. Le vrai bonheur se trouve entre autres dans un travail qui nous procure un sentiment de satisfaction personnel. »

Patrick Leroux CSP est conférencier professionnel et auteur de huit livres sur la motivation et les stratégies du succès.

- FIN -

À propos de Patrick Leroux

Entrepreneur, auteur à succès et conférencier bilingue, les présentations de Patrick Leroux CSP sont reconnues comme étant dynamiques, drôles, touchantes et captivantes. Avec passion, humour et une énergie contagieuse, Patrick aide ses participants à réévaluer leurs croyances limitatives, réelles ou imaginaires, il les amène à prendre leurs responsabilités pour les résultats qu’ils obtiennent dans leurs vies, et à cesser de trouver des excuses pourquoi ils ne vivent pas à la hauteur de leurs capacités.

Pour renseignements ou entrevues : Pascal Jetté, relationniste. Téléphone : (514) 954-8964, Cellulaire : (514) 915-2879, Courriel : pascal@patrickleroux.com et Internet : http://www.patrickleroux.com/.

7/09/2007

Comment répondre à l'objection : "Je vais y penser"

Bonjour,

À la fin d’une présentation, alors que vous tentez de vendre un produit, un service ou une idée à un client, ce dernier vous dit : « Merci, mais j’aimerais y réfléchir ». Rrrrrrr, quelle frustration et démotivation, n’est-ce pas ? Que faire dans une telle situation ? Mettez en action les sept idées suivantes et plus jamais cette petite phrase vous fera peur.

1. Faites des présentations aux décideurs seulement

Avant d’effectuer une présentation devant un client assurez-vous toujours d’être en présence du décideur. Sinon, vous courrez le risque que la personne vous dise à la fin de votre présentation : « Merci pour votre présentation, mais je dois y réfléchir et en parler à mon associé (ou mon conjoint) ». Dans ce cas, il y a très peu de choses « éthique » que vous puissiez faire. Si vous poussez trop, vous ferez fuir le client. Si jamais cette situation vous arrive, demandez tout simplement le meilleur moment pour faire un suivi avec elle et faites votre suivi à ce moment.

Voici la question à poser lors de votre entrevue de consultation afin de vous assurer que vous vous adressez bien au décideur :

« Si par chance ce que j’ai à vous offrir M. Tremblay convient en tous points à ce que vous recherchez, dites-moi, comment se prennent les décisions chez vous; êtes-vous le seul à décider ou devez-vous en parler à un patron, à un comité ou à votre conjointe ? Vous savez, c’est tellement différent d’une personne et d’une entreprise à l’autre. »

Apprenez cette petite phrase par cœur. Si la personne est la seule à décider, elle vous le dira. À ce moment, vous pourrez poursuivre votre présentation. Si ce n’est pas le cas, terminez votre entrevue de consultation sans faire votre présentation et obtenez un autre rendez-vous avec le ou les autres décideurs.

2. Demander ce qui ne va pas

Suite à une objection qui concerne la décision, dites à votre client : « Je suis content que vous souleviez ce point, ça montre que vous êtes prudent pour prendre une décision. Je ferais probablement la même chose que vous si j’étais à votre place (vous démontrez ici un peu d’empathie). M. Tremblay puis-je vous demander ce qui vous fait hésiter exactement ? »

Avancez-vous sur le bout de votre chaise ou penchez-vous légèrement en avant et regardez le client droit dans les yeux. Faites ici la plus longue pause de votre vie. Ne dites pas un mot. Chut ! Et soutenez constamment son regard jusqu’à ce qu’il vous réponde. La pression du silence fera en sorte que le client devra ouvrir son jeu et vous dire la raison exacte de son hésitation.

3. Ayez une liste de comparaison

Lorsqu’un client vous dit qu’il veut y penser c’est souvent parce qu’il veut magasiner afin de comparer les prix. Si c’est le cas, sortez une feuille comparative de tous les produits et services de vos concurrents avec les avantages et les bénéfices qui s’y rattachent. Dites alors à votre client : « Je comprends que vous vouliez magasiner pour comparer les prix, je ferais la même chose si j’étais à votre place. Au-delà du prix toutefois, il est également important de comparer la qualité. Pour vous épargner du temps, j’ai fait l’exercice de comparaison pour vous. Voici donc la liste des produits et services des concurrents ainsi que les avantages et les bénéfices pour chacun.»

4. Utilisez la technique du fractionnement

Lorsqu’une personne vous dit qu’elle veut réfléchir avant de prendre sa décision, 9 fois sur 10, cette personne trouve votre produit trop cher et elle n’ose pas vous l’avouer. Votre but est donc de lui faire dire « C’est un peu plus cher que ce à quoi je m’attendais » ou « Ça dépasse un peu mon budget ». Ainsi, vous n’avez plus affaire avec une objection de décision, mais plutôt une objection concernant le prix. Vous pourriez ainsi dire : « Donc si je vous comprends bien M. Tremblay, mis à part le prix, il n’y a rien d’autre qui vous empêche d’aller de l’avant avec notre proposition ? » S’il y a d’autres objections, elles sortiront ici et répondez-y du mieux que vous le pouvez. Mais, dans la très grande majorité du temps, le client vous dira que oui le prix est le seul obstacle qui l’empêche d’acheter. Pour lire mon article sur la technique du fractionnement, cliquez ici.

5. Faites le tour des avantages de votre offre

Pour les clients plus difficiles, faites comme le lieutenant Colombo de la fameuse série télévisée des années 80. Juste avant de quitter ou que le client vous quitte, dites-lui : « Très bien, je respecte votre décision M. Tremblay, mais avant de partir, est-ce que je peux vous poser quelques questions rapidement ? Pour mon information personnelle M. Tremblay, est-ce vous avez été impressionné par le travail que nous faisons ? Est-ce que vous pensez que notre solution peut vous aider à résoudre vos problèmes ? Est-ce que le fait d’augmenter vos ventes est un avantage important pour vous ? Est-ce que le fait d’épargner x$/mois/année est important pour vous ? (Nommez ici tous les avantages principaux de votre offre.) M. Tremblay, entre vous et moi, serait-ce simplement une question d’argent qui vous retient ? »

Faites ici une longue pause. L’objection finale va sortir du sac et, encore une fois, 9 fois sur 10, il s’agira du prix. Vous savez maintenant quoi faire, n’est-ce pas ? Hé oui, utilisez la technique du fractionnement pour vous en sortir.

6. Utilisez des témoignages de clients satisfaits

L’utilisation de témoignages de clients satisfaits est l’un des outils de ventes les plus sous-utilisés. Assurez-vous de demander des témoignages à chacun de vos clients et utilisez-les afin de convaincre les clients potentiels qui hésitent à procéder à l’achat de vos produits et services.

Voici un exemple de témoignage que j’utiliserais avec un client potentiel qui hésiterait à utiliser mes services pour débuter son congrès :

« Merci Patrick pour ta prestation remplie d'énergie! C'était la première fois que l'on débutait notre réunion des ventes avec un conférencier et quelle expérience !!! Tout le monde a adoré ton énergie, ton enthousiasme et surtout tes histoires touchantes. Le but de notre réunion était de faire sortir les gens de leur zone de confort et je sais que tu as réussi à en faire réfléchir et surtout agir plusieurs. Encore une fois, mille mercis pour cette conférence inoubliable et au plaisir de se revoir ! »

- Jennifer Gobeille Directrice du développement des marchés Ansell Healthcare Incorporated

7. Offrez une solide garantie

Pour les clients qui ne sont pas familiers avec vos produits ou services, offrez-leur une solide garantie afin de diminuer leur risque. Dites-leur : « M. Tremblay, nous prenons tous les risques. Nous sommes tellement convaincus que vous allez bénéficier grandement de nos produits et nos services que si vous n’êtes pas satisfait à 100%, nous nous engageons à vous rembourser au complet ! » L’absence de risque de leur part encouragera ainsi les clients qui hésitent à passer à l’action et à acquérir vos produits et services.

Nous avons vu sept moyens pour vous aider à contrer la fameuse objection concernant la décision. Relisez cet article à plusieurs reprises, mais surtout mettez en application les idées ci-dessus et plus jamais l’objection « Je vais y penser » ne vous fera peur, au contraire, elle provoquera un léger sourire au coin de votre bouche car vous savez maintenant comment y répondre adéquatement.

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7/02/2007

Des résultats et non des excuses S.V.P.

Bonjour ,

Vous arrive-t’il d’avoir des périodes de l’année plus achalandées que d’autres ? Vous y êtes-vous bien préparé ? Les avez-vous anticipées ? Offrez-vous la même qualité de service qu’en temps normal ? De toute évidence, ce n’est pas le cas pour tout le monde. Voici sept mésaventures qui me sont déjà arrivées… INCROYABLE !
  1. J’organise une fête chez moi. Je me présente dans un magasin de fêtes afin d’acheter 21 ballons gonflés à l’hélium. La préposée me dit : « Nous sommes à court d’hélium ! »

  2. Au milieu de l’été, je reçois des invités et je décide de leur faire un bon BBQ. Ma bombonne de propane est soudainement vide. Je me rends au dépanneur tout près de chez moi pour en faire l’échange avec une bombonne pleine (une affaire de 5 minutes normalement). La préposée me dit qu’elle n’a plus de bombonnes pleines disponibles et que je dois revenir dans deux jours ! (Oui, j’ai maintenant deux bombonnes)

  3. Je me rends acheter du poulet dans un restaurant de « fast-food » spécialisé dans le poulet. Il y a environ 10 clients devant moi. J’attends mon tour. Après 10 minutes d’attente, il reste encore 5 clients à servir devant moi. La gérante déclare alors à tous : « Désolée, mais si vous êtes ici et que vous ne venez pas chercher votre commande téléphonique, nous n’aurons pas de poulet avant 15 minutes ! »

  4. Je me rends dans une crèmerie pour acheter un cornet aux pistaches, ma saveur préférée. Le pot de pistaches est vide et la préposée me suggère de prendre une autre saveur à la place !

  5. Je veux commander un article aux États-Unis par téléphone. Le numéro 1-800 ne fonctionne pas et il n’y a pas d’autres numéros de téléphone pour rejoindre le fournisseur !

  6. C’est le printemps et je désire m’acheter une nouvelle voiture convertible. Les concessionnaires sont tous fermés le week-end (sauf un je crois maintenant)!

  7. J’achète de l’essence et un coupon pour le lave-auto. Je compose mon code pour laver ma voiture et rien ne fonctionne. Le préposé m’indique que le lave-auto est très en demande ces jours-ci et qu’il est défectueux. Il m’offre de rembourser mon coupon de lavage ou de revenir demain alors que le lave-auto sera réparé. Je reviens donc trois jours plus tard pour apprendre que le lave-auto est encore défectueux !

Avez-vous déjà vécu des situations similaires ? Ou encore pire, vos clients ont-ils déjà vécu des situations similaires en faisant affaires avec vous ? Êtes-vous toujours prêt à faire face aux périodes plus achalandées de l’année ?

Une bonne part du succès en affaires réside dans une bonne planification. Anticipez toujours les périodes de fort achalandage afin d’offrir une qualité de service à la clientèle irréprochable. Pour plusieurs entreprises par exemple, la météo joue un rôle déterminant sur les ventes. Soyez donc bien préparé !

Voici quelques idées pourtant très simples afin de ne pas être pris au dépourvu : prolongez les heures d’ouverture (si la Loi le permet bien sûr), embauchez du personnel supplémentaire, augmentez votre inventaire, référez à un concurrent, etc. mais surtout ne donnez pas d’excuses à vos clients pour expliquer votre incompétence, s’cusez… votre manque de planification et d’anticipation.

Les clients ont des attentes et votre rôle est de les combler. Vos clients veulent des résultats et non des excuses ! Est-ce que votre organisation offre des résultats ou des excuses ?

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