9/30/2007

Communiqué de presse - Pauline Marois : coupable d’être riche ?

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Pauline Marois : coupable d’être riche ?

MONTRÉAL, QC, le 01 octobre 2007 – Le Journal de Montréal titrait dans son édition de samedi dernier Pauline Marois : coupable d’être riche ? Selon l’expert québécois en motivation M. Patrick Leroux, Mme Marois est victime du problème émotif des Québécois avec l’argent.

Selon Patrick Leroux, auteur du livre Le Feu Sacré du Succès, « Plusieurs personnes jalousent les gens qui ont de l’argent. Comme si faire de l’argent était quelque chose de mal et de méprisable. Pourtant, l’une des qualités premières des gagnants est qu’ils se réjouissent du succès des autres. Si une personne a des pensées et des émotions de jalousie et de mépris envers les gens qui gagnent beaucoup d’argent, jamais elle en attira en abondance vers elle. »

M. Leroux d’ajouté : « Malheureusement, le système politique et la culture nord américaine propagent le mythe que les gens qui ont de l’argent sont des méchants et que les pauvres sont de bonnes personnes. Il s’agit d’une absurdité ! On peut à la fois être une bonne personne et riche. »

« Bien des gens disent que l’argent n’est pas important à leurs yeux, mais je n’ai encore jamais rencontré personne qui refuserait un million de dollars si on le leur donnait ! », de conclure M. Leroux.

Patrick Leroux CSP est conférencier professionnel et auteur de huit livres sur la motivation et les stratégies du succès.

- FIN -

À propos de Patrick Leroux

Entrepreneur, auteur à succès et conférencier bilingue, les présentations de Patrick Leroux CSP sont reconnues comme étant dynamiques, drôles, touchantes et captivantes. Avec passion, humour et une énergie contagieuse, Patrick aide ses participants à réévaluer leurs croyances limitatives, réelles ou imaginaires, il les amène à prendre leurs responsabilités pour les résultats qu’ils obtiennent dans leurs vies, et à cesser de trouver des excuses pourquoi ils ne vivent pas à la hauteur de leurs capacités.

Pour de plus amples renseignements ou pour une entrevue, veuillez communiquer avec M. Pascal Jetté, relationniste, par téléphone au (514) 954-8964, par cellulaire au (514) 915-2879 ou par courriel au pascal@patrickleroux.com.

9/24/2007

Prendre une décision ne suffit pas

Bonjour,

Imaginez un instant que deux oiseaux sont perchés sur une branche dans un parc par un bel après-midi d’été. Le temps est doux et nos petits oiseaux chantent tous en choeur. Un d’entre eux décide alors de s’envoler. Combien d’oiseaux reste-t-il sur la branche ? Si vous avez répondu deux, vous avez raison.

Prendre la décision de s’envoler sans agir dans ce sens ne donne absolument rien. Prendre une décision ne suffit pas, ce qu’il faut pour réussir vos projets c’est de passer à l’action.

Bien des gens assistent à mes conférences et séminaires et décident de faire des changements afin d’améliorer leur vie. Avec beaucoup d’enthousiasme, ils me disent des choses comme : « Je vais afficher et lire mes affirmations positives soir et matin », « Je vais me créer une carte aux trésors qui m’aidera à visualiser mon avenir » et « Je vais mettre un terme à une relation toxique dans laquelle je suis depuis déjà trop longtemps ». D’autres me disent : « Je vais cesser de lire les journaux négatifs le matin », « Je vais me trouver un emploi plus satisfaisant », « Je vais cesser de fumer » et « Je vais recommencer à m’entraîner et perdre du poids », etc.

Après avoir appris de nouvelles idées (il s’agit souvent d’un rappel de choses qu’ils savent déjà) sur comment améliorer significativement leur qualité de vie, les gens sont généralement très inspirés. Mais les idées seules n’assurent pas le succès, elles n’ont de valeur que si on les mets en application.

Je rencontre parfois ces mêmes personnes quelques mois ou quelques années plus tard et seulement une minorité ont vraiment accompli leurs objectifs. Pourquoi si peu de gens ? Parce que ces derniers ont compris que prendre une décision ne suffit pas. La clé du succès c’est l’ACTION. En effet, les insuccès des gens ne s’expliquent pas tant par un manque d’information, mais plutôt par un manque de mise en application de l’information.

Même si vous êtes sur le bon chemin une fois que vous avez pris une décision, vous allez vous faire frapper si vous restez simplement assis là ! Vous devez absolument agir.

Des douzaines de personnes me contactent à chaque année afin de me demander mon opinion car ils me disent avoir pris la décision de devenir conférencier professionnel. Mon premier conseil est de devenir membre de CAPS (Canadian Association of Professional Speakers) et d’un club Toastmasters (club de parole en public). Incroyable mais vrai, moins de 10% d’entre eux passent à l’action sur ce conseil… Ils disent avoir pris la décision, mais ils n’osent pas agir concrètement. Ces derniers n’ont pas encore compris que les mots sont des nains et les actions des géants.

Au hockey, par exemple, vous pouvez décider de marquer un but, mais vous n’en marquerez jamais un seul si vous ne lancez pas. Au baseball, vous pouvez décider de voler le deuxième but, mais vous n’y parviendrez jamais si vous laissez votre pied sur le premier. À la pêche, vous pouvez décider d’attraper des poissons, mais vous n’en pêcherez aucun, à moins de mettre d’abord votre ligne à l’eau.

De la même façon, dans votre vie, vous n’atteindrez jamais vos objectifs quels qu’ils soient, si vous ne passez pas à l’action en vue de les réaliser. Prendre une décision ne suffit pas.

Le meilleur moment pour passer à l’action sur une idée est toujours lorsque celle-ci est fraîche. Plus vous laisserez passer le temps, plus faibles seront vos chances de réaliser votre intention.

Prenez un instant et listez toutes les décisions que vous remettez à plus tard depuis longtemps. Une fois votre liste complétée, passez immédiatement à l’action et voyez votre vie se transformer à jamais.

Quelles idées, quels rêves ou quelles bonnes intentions avez-vous laissé en suspens sur une branche parce que vos décisions n’étaient pas appuyées par vos actions ?

Copyright 2007© - Conférences et séminaires Patrick Leroux Inc.

Communiqué de presse - Geneviève Jeanson et Myriam Bédard : De héros à zéro

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Geneviève Jeanson et Myriam Bédard : De héros à zéro

MONTRÉAL, QC, le 24 septembre 2007 – Selon l’expert québécois en motivation M. Patrick Leroux, les deux championnes québécoises ont été manipulées.

Selon Patrick Leroux, auteur du livre Le Feu Sacré du Succès, « Bien qu’une part de responsabilité revienne aux deux athlètes, elles ont avant tout été manipulées et victimes d’influence négatives. »

M. Leroux d’ajouté : « L’expression bien connue « dit-moi avec qui tu te tiens et je te dirai qui tu es » prends tout son sens dans le cas de Jeanson et Bédard, la première, dopée depuis l’âge de 16 ans, et la deuxième, coupable de l’enlèvement de sa fille. En effet, dans cinq ans, on devient la même personne qu’aujourd’hui sauf pour les livres qu’on a lu et surtout les gens qu’on aura fréquentés. »

« Nous sommes très grégaires et tous ce que nous faisons dans la vie est afin de gagner l’estime de ceux qu’on estime, le respect de ceux qu’on respecte et l’amour de ceux qu’on aime. Le bon choix de nos fréquentations est primordial si une personne désire bien réussir sa vie. », de conclure M. Leroux.

- FIN -

À propos de Patrick Leroux

Entrepreneur, auteur à succès et conférencier bilingue, les présentations de Patrick Leroux CSP sont reconnues comme étant dynamiques, drôles, touchantes et captivantes. Avec passion, humour et une énergie contagieuse, Patrick aide ses participants à réévaluer leurs croyances limitatives, réelles ou imaginaires, il les amène à prendre leurs responsabilités pour les résultats qu’ils obtiennent dans leurs vies, et à cesser de trouver des excuses pourquoi ils ne vivent pas à la hauteur de leurs capacités.

Pour de plus amples renseignements ou pour une entrevue, veuillez communiquer avec M. Pascal Jetté, relationniste, par téléphone au (514) 954-8964, par cellulaire au (514) 915-2879 ou par courriel au pascal@patrickleroux.com.

9/17/2007

L'argent est bon

Bonjour ,

Je connais bien des gens qui disent que l’argent n’est pas important à leurs yeux, mais je n’ai encore jamais rencontré personne qui refuserait un million de dollars si on le leur donnait !

Quelle est votre attitude émotive et quelles sont vos croyances face à l’argent ? Croyez-vous que l’argent est quelque chose de bon ou de mauvais ?

La façon dont vous vous sentez par rapport à l’argent déterminera combien d’argent vous gagnerez dans la prochaine année et combien d’argent vous accumulerez dans votre vie.

Idéalement, combien d’argent par semaine, par mois ou par année aimeriez-vous gagner ? Peut-être que vous êtes convaincu que vous en gagnez suffisamment ? Qu’est-ce que suffisamment représente exactement pour vous ? Est-ce que votre zone de confort cacherait un peu de paresse et de nonchalance de votre part ? Soyez honnêtes, vous pouvez faire mieux, n’est-ce pas ?

Ce n’est probablement pas votre cas, mais les gens qui manquent d’argent ont tendance à en faire une obsession. Leurs pensées, leurs émotions et leurs actions sont complètement dominées par ce manque.

En effet, le manque d’argent est l’une des principales causes de dispute chez les couples. Une des principales causes de suicide chez les hommes est également le manque d’argent. C’est également une des principales raisons qui explique la rupture de certaines amitiés.

Vous voulez d’autres exemples ? D’accord. Une des principales causes de faillite en affaires est aussi le manque d’argent. Une des principales raisons pourquoi des millions de personnes meurent à chaque année dans le monde est la conséquence d’un manque d’argent pour la nourriture et/ou des médicaments. Une des principales raisons pourquoi vous lisez encore cet article est que vous aimeriez sans doute faire plus d’argent !

Vous êtes-vous déjà posé la question à savoir d’où proviennent vos croyances par rapport à l’argent ? L’école, l’église, les médias, vos parents, votre beau-frère et votre belle-soeur qui étaient eux-mêmes sans le sou ? Si vous croyez depuis votre tendre enfance par exemple que l’argent est mal et que seuls les gens malhonnêtes en possèdent beaucoup, vous aurez beaucoup de difficulté à en gagner et à en accumuler abondamment dans votre vie.

Malheureusement, le système politique et la culture nord américaine propagent le mythe que les gens qui ont de l’argent sont méchants et que les pauvres sont de bonnes personnes. Au niveau politique par exemple, plus vous gagnez de l’argent, plus les gouvernements vous taxeront et vous imposeront ! Au plan culturel, prenez ce qu’on voit dans les télé-séries et le cinéma par exemple. Dans la très grande majorité des cas, le héros est représenté par un pauvre garçon qui doit se battre contre un méchant qui possède généralement beaucoup d’argent. Vous n’avez qu’à penser aux séries cultes américaines comme « Dallas » ou, plus près de chez nous, la télé-série et le film qui avaient comme un des personnages principaux Séraphin Poudrier. Pensez aux films qui ont rapporté le plus d’argent au box-office comme « Le Titanic » ou « Spiderman » et qui ont été vus par des millions de personnes. Même l’histoire de Jésus de Nazareth est basée sur cette prémisse que les pauvres (Jésus et ses apôtres) sont bons et les riches (les Romains) sont des méchants. Avec des tels exemples perpétués depuis des siècles et des siècles, qui veut être vraiment riche ?

Lorsque je fais des entrevues, les animateurs et journalistes me demandent parfois ironiquement : « Un conférencier comme vous ça doit bien gagner sa vie, non ? » Comme s’il fallait jalouser les gens qui font beaucoup d’argent. Comme si faire de l’argent était quelque chose de mal et méprisable. Pourtant, l’une des qualités premières des gagnants est qu’ils se réjouissent du succès des autres. Si vous avez des pensées et des émotions de jalousie et de mépris envers les gens qui gagnent beaucoup d’argent, jamais vous en attirerez en abondance vers vous.

À compter d’aujourd’hui, commencez à croire que l’argent est bon et répétez cette affirmation plusieurs fois par jour : « L’argent est bon et j’en attire facilement et aisément à moi. »

Rappelez-vous que vous avez besoin d’argent pour acheter une maison, une voiture et des vêtements. Vous avez besoin d’argent pour acheter de la nourriture, des médicaments et pour vous procurer les services des meilleurs professeurs. Vous avez aussi besoin d’argent pour créer de l’emploi et une certaine paix sociale. Vous avez également besoin de l’argent afin de voyager et de vous gâter un peu. Vous le méritez bien, non ? Maintenant, combien d’argent désirez-vous gagner d’ici la prochaine année ?

Copyright 2007© - Conférences et séminaires Patrick Leroux Inc.

9/10/2007

Les leçons de mon enfance

Bonjour ,

Comment vous y prenez-vous afin d’inculquer les bonnes valeurs à vos enfants et petits-enfants ? L’influence des parents et grands-parents est certes extrêmement importante, mais force est d’admettre que, de nos jours, avec les deux parents qui travaillent, les enfants passent plus de temps à l’extérieur qu’en famille.

Lorsque je pense à mon enfance, voici les trois endroits, à l’extérieur du milieu familial, qui me viennent immédiatement à l’esprit où j’ai appris la majorité des leçons et des valeurs qui m’habitent soit l’école, l’église et les arénas.

1. L’école

Lorsque je pense à l’école, je me souviens que l’on devait toujours se mettre en rang, des autobus jaunes, des concours de dessins Crayola multi couleurs, des photos de classe, des berlingots de lait dans lesquels nous mettions du Quick au chocolat ou à la fraise, des examens finaux, de Gilberte, ma très chère et gentille prof de 5e année et des récréations où l’on jouait au ballon-chasseur et au drapeau.

Les leçons que j’ai apprises à l’école sont l’écoute, le travail, la discipline, apprendre à se faire des amis, comment régler les conflits et le respect de l’autorité.

2. L’église

Lorsque je pense à l’église, je me souviens de l’odeur de l’encens, des chants de la chorale, du confessionnal, des dames avec leurs gros manteaux de fourrure, des messieurs qui dormaient en cognant des clous à cause des curés ennuyants qui racontaient des histoires vieilles de 2000 ans (certaines histoires n’étaient pas mauvaises toutefois) et de la communion. La communion était ma partie préférée. En plus d’avoir droit à une hostie, ça voulait dire que la messe était presque terminée !

Il faut dire que mes parents nous ont obligés (ils nous tiraient littéralement du lit), mon frère et moi, à aller à l’église à tous les dimanches matins. Mes parents étaient assis en avant et nous étions en arrière. Pour être certains que nous avions bien écouté, nous devions faire un résumé à notre mère du sermon du curé. Lors de mes 18 ans, j’ai pris la décision de ne plus y aller. Bizarrement, mes parents ont également cessé d’y aller.

Les leçons que j’ai apprises à l’église sont l’importance du partage, l’entraide, le don de soi, le pardon, le pouvoir des histoires et la patience !

3. L’aréna

Lorsque je pense aux arénas, je me souviens de l’odeur d’humidité et de transpiration, de la Zamboni, des entraîneurs qui nous criaient parfois après lors de nos pratiques à 6 heures le samedi matin, des couvres-feux à 21h00 et des tournois en région alors que nous habitions dans des familles d’accueil. Je me rappelle aussi des trophées et des médailles, des manteaux d’équipe avec notre nom et numéro brodés sur la manche, des voyages en autobus, des partisans qui nous encourageaient avec leurs trompettes et crécelles lorsque nous marquions des buts et surtout de mon sac de chip julienne au bacon auquel j’avais droit après les matchs.

Mon père m’a acheté mes premiers patins à l’âge de 4 ans. Contrairement à aujourd’hui, le hockey était de loin le sport le plus populaire dans mon temps. J’ai joué dans les catégories atome, pee-wee,bantam, midget et junior. Tout jeune, je rêvais de jouer dans la ligue nationale de hockey tout comme mes idoles Peter Stastny, Michel Goulet, Mario Lemieux et Wayne Gretsky. Sans aucun doute, mes plus beaux souvenirs d’enfance sont rattachés aux moments passés dans les arénas.

Les leçons que j’ai apprises en jouant au hockey et à force de fréquenter les arénas sont l’esprit de compétition, la discipline, l’engagement, le désir et le goût de la victoire, l’estime de soi, le respect de l’autorité, l’encouragement, le support, l’esprit d’équipe et la persévérance.

Et vous, quelles leçons de vie et valeurs désirez-vous inculquer à vos enfants et petits-enfants ? De quelles façons vous y prendrez-vous afin de leur transmettre ces leçons de vie et ces valeurs à l’extérieur du giron familial ? À mon avis, l’école et l’église (éducation passive) sont certainement de bons endroits, mais le sport (éducation active) est incontestablement un des meilleurs moyen pour y parvenir.

Copyright 2007© - Conférences et séminaires Patrick Leroux Inc.

9/05/2007

7 trucs pour cessez de remettre à plus tard

Bonjour ,

Vous voulez qu'une tâche simple vous semble difficile ? Continuez tout bonnement à la remettre à plus tard ! On dit d’un problème non réglé qu’il est amplifié. Vous avez pris de nouvelles résolutions pour la rentrée automnale ? Allez-vous vraiment les tenir ? La procrastination est une mauvaise habitude qu'il faut absolument perdre. Voici sept techniques éprouvées afin de vaincre cette mauvaise habitude et ainsi reprendre le contrôle de votre vie.

1. Embauchez

N'hésitez pas à embaucher des gens pour effectuer des tâches qui vous répugnent ou que vous ne vous sentez pas assez habile à effectuer. De toute façon, il y a de fortes chances que ces tâches vous rebutent autant sinon plus dans les jours ou les semaines à venir. Prenez votre agenda immédiatement et bloquez du temps sur le champ pour appeler des gens aptes à faire ces travaux à votre place.

2. Divisez vos grands projets en sous-projets

Les Chinois disent avec sagesse: «Un voyage de mille kilomètres commence par un premier pas.» De la même façon, le truc pour accomplir de grands projets, est d’y aller étape par étape, marche par marche, un pas à la fois. Efforcez-vous de toujours diviser vos grands projets, qui semblent irréalisables, en plusieurs petits projets, qui sont facilement réalisables. Comment mange-t-on un gros salami? Eh oui, une bouchée à la fois! Déterminez des dates limites de réalisation pour chaque sous-projet et respectez-les. Les dates limites créent l'urgence et vous motiveront.

3. Bloquez du temps dans votre agenda

La plupart des gens se font accroire qu'ils auront plus de temps disponible plus tard, mais ils se mentent à eux-mêmes car ils savent très bien que ce ne sera jamais le cas. La seule façon de trouver du temps dans un proche avenir, c'est d'en bloquer d'avance dans son agenda. Aussitôt que vous pensez à quelque chose qui doit être fait, bloquez immédiatement du temps dans votre agenda. Rappelez-vous toujours ceci: Les choses qui s'écrivent se réalisent.

4. Rendez public vos engagements

La technique de rendre public ses engagements à d’autres est basée sur le fait qu'on respecte plus nos engagements envers les autres que nos engagements envers nous-mêmes. On s’emploie toujours à bien faire les choses sur lesquelles on va être évalué ou jugé. Votre orgueil vous motivera fortement à respecter votre engagement et à vous libérer une fois pour toutes de votre mauvaise habitude à procrastiner.

5. Récompensez-vous

Accordez-vous des récompenses à l'aboutissement de vos projets. La perspective d’une récompense encourage et motive. Ça pourrait être par exemple: «Si je ne fume pas pendant huit mois, avec tout l'argent économisé, je me paye un beau voyage en Martinique!»

6. Punissez-vous

Une de mes amies qui adore s'habiller à la dernière mode s'est volontairement privée d'acheter de nouveaux vêtements tant qu'elle n'aurait pas perdu les quatre kilos qu'elle s'était bien promis de perdre. Elle se rendait ainsi trois fois par semaine au centre sportif pour faire de la danse aérobique jusqu'à ce qu'elle atteigne son but.

7. Parlez-vous

Voici un dernier truc afin d'éviter de procrastiner, surtout pour les tâches moins agréables comme de sortir les ordures, de changer une ampoule électrique grillée ou de faire le ménage: parlez-vous tout simplement à vous-même! La prochaine fois que vous vous surprendrez à vous dire «plus tard!», raisonnez-vous et dites-vous:

- «Est-ce que ça doit être fait?»
- «Oui!»
- «Est-ce que ça va me tenter davantage de le faire tantôt ou demain?»
- «Non!»
- «Donc, je le fais tout de suite!»


Vaincre la mauvaise habitude de remettre à plus tard, c’est reprendre le contrôle de sa vie. Adoptez l'attitude du: «Fais-le maintenant!» et vous constaterez alors que votre efficacité personnelle augmentera, vous vous sentirez mieux avec vous-même, vous adorerez les résultats et votre estime personnelle augmentera grandement.

* Extrait du livre « Secrets des gens actifs, efficaces et équilibrés » de Patrick Leroux

Copyright 2007© - Conférences et séminaires Patrick Leroux Inc.