7/21/2008

Déménagement

Bonjour,

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7/14/2008

Comment obtenir plus de succès

Vous désirez jouir de plus de succès dans votre vie en général ? C’est plus simple que vous ne le croyez. En fait, un des moyens les plus rapides afin d’obtenir plus de succès dans votre vie est tout simplement de devenir insatisfait de votre état actuel ! Hé oui vous avez bien lu, devenir insatisfait. L’insatisfaction n’est donc pas mauvaise, au contraire c’est une très bonne nouvelle !

Effectivement, la complaisance est l’ennemi #1 de la croissance personnelle et du succès. Je m’explique. Aussitôt qu’une personne croit être arrivée, qu’elle s’assoit sur ses lauriers et qu’elle est « satisfaite » d’elle-même, elle cesse de croître et elle commence à régresser.

Les gagnants apprécient certes leurs réalisations passées, mais ils sont toujours de grands insatisfaits. Ils cherchent constamment à vouloir s’améliorer et à faire mieux que la dernière fois. Ce sentiment d’insatisfaction est en fait leur plus grande source de motivation.

Et vous, êtes-vous totalement satisfait de votre situation actuelle ? Êtes-vous totalement satisfait de votre situation financière ? Êtes-vous totalement satisfait de votre santé physique ? Êtes-vous totalement satisfait de votre relation amoureuse ? Êtes-vous totalement satisfait de la qualité de vos relations amicales ? Êtes-vous totalement satisfait de la maison que vous habitez et de la voiture que vous conduisez ? Si vous êtes honnête, vous répondrez probablement par la négative.

Bien des gens, malheureusement, se contentent de très peu. Ils se disent très heureux de ce qu’ils ont, mais ils achètent des billets de loterie en cachette (2 personnes sur 3 jouent à la loterie à toutes les semaines). S’ils se disent heureux de leur situation alors que ce n’est pas tout à fait le cas, c’est pour éviter d’avoir à sortir de leur zone de confort et à faire les efforts nécessaires pour s’en sortir.

Afin de jouir d’un plus grand succès dans la vie, ça prend des efforts et de la discipline. Efforts et discipline que bien peu de gens sont prêts à fournir. La loterie ne demande pas beaucoup d’effort et de discipline après tout…

Cessez immédiatement de vous comparer aux gens qui gagnent moins que vous, qui sont en moins bonne santé que vous et qui ont de moins bonnes relations sociales que vous. Ce phénomène explique en grande partie la popularité des télésjournaux de fin de soirée. Les gens se consolent et se réconfortent en voyant la misère des autres : « Ouin, notre vie n’est pas si mal comparée à eux ! »

Si vous désirez vous comparer aux autres, et je sais que vous le faites tout le temps, comparez-vous plutôt aux gens qui ont une plus belle vie que la vôtre. Allez faire un tour de voiture dans les beaux quartiers de votre région, je vous garantis que votre niveau d’insatisfaction montera en flèche !

Ou encore mieux, plutôt que de vous comparer aux autres, comparez-vous à votre réel potentiel de réussite, qui est, avouons-le, illimité. Si quelqu’un quelque part a déjà réussi à accomplir un rêve que vous avez, vous le pouvez également. Vos seules limites sont celles que vous vous imposez.

Les gens qui ont beaucoup de succès dans notre société sont ceux qui se disent à eux-mêmes : « Je veux grandir. Je veux m’améliorer. Je veux une plus belle vie pour ma famille et moi-même. Ma situation actuelle est bien, mais ça ne me satisfait pas. Je veux et je mérite ce qu’il y a de mieux et je suis prêt à mettre les efforts et la discipline nécessaires pour y arriver. »

C’est votre insatisfaction qui est à la base de votre motivation et de votre volonté insatiable de faire ce que vous devez faire afin de vous améliorer sans cesse afin d’éventuellement réaliser vos rêves les plus fous !

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7/07/2008

Prendre le temps de réfléchir

À quand remonte la dernière fois que vous avez bien pris le temps de bien réfléchir à votre vie ? Si vous êtes comme la plupart des gens, vous vivez constamment à 100 milles à l’heure ce qui vous laisse très peu de temps pour réfléchir à votre vie. Ainsi, comme disait mon grand-père, vous êtes comme des poules pas de têtes…

Vous vous réveillez tôt le matin, vous faites votre toilette, vous habillez les enfants, préparez les lunchs, laissez les enfants à la garderie, vous êtes coincés dans les bouchons de circulation, vous travaillez au bureau sur dix dossiers en même temps, vous avez des dîners d’affaires presque à tous les jours, vous tentez de faire un peu d’exercices physiques, vous préparez le souper en famille, vous aidez vos enfants à faire leurs devoirs, vous leur donnez leur bain, vous écoutez un peu la télévision, etc. Plusieurs personnes sont tellement crevées en fin de journée, qu’elles m’ont déjà confié ne plus avoir d’énergie pour faire l’amour !

Comment pouvez-vous améliorer la qualité de votre vie actuelle si vous ne prenez pas le temps de bien l’analyser ? Comment être créatif et avoir de nouvelles idées si vous faites toujours les mêmes choses ? Cette frénésie personnelle et professionnelle me fait penser au syndrome de la sécheuse. En êtes-vous atteint ? Je m’explique. Beaucoup de gens ont l’impression d’aller vite, vite, vite, de tourner en rond constamment, ils ont chaud, ils sont tout étourdis et une fois la journée, la semaine, le mois ou l’année terminée, ils ont l’impression d’être au même point de départ ! Je vous propose donc trois moments de réflexion extraordinaires :

1. Du temps en solitaire

Une fois par jour, pendant environ cinq minutes, seul assis sur une plage, en prenant une marche avec votre chien si vous en avez un, dans un parc ou à votre endroit préféré, sans musique dans vos oreilles, prenez de grandes respirations et réfléchissez à votre vie. Êtes-vous fier du parcours accompli jusqu’à présent ? Vivez-vous présentement la vie dont vous rêviez lorsque vous étiez un jeune adulte ? Avez-vous des remords ? Des choses que vous auriez aimé faire, mais que vous n’avez jamais eu le courage de faire ? Réalisez qu’il n’est pas trop tard et qu’il est toujours temps de passer à l’action sur ces choses qui sont importantes pour vous.

2. Le journal personnel

Une fois par semaine, à raison d’environ trente minutes, faites un retour sur vos activités personnelles et professionnelles de la semaine qui vient de passer. Écrivez le tout dans un journal personnel. Réfléchissez, entre autres, à vos peurs et aux obstacles qui vous empêchent d'atteindre vos rêves. Par la suite, relisez votre mission personnelle et planifiez du temps afin d’accomplir vos priorités pour la semaine à venir. Ce temps d’arrêt hebdomadaire est absolument essentiel afin de reprendre le contrôle de votre vie.

3. Les conférences, colloques, congrès et séminaires de formation

Au moins deux fois par année, assistez à des colloques et séminaires de formation dans votre domaine d’expertise. Je vous suggère d’investir au moins 3% de vos revenus annuels dans ce genre d’activités. Il s’agit de votre budget annuel minimum de formation. Personnellement, j’assiste à trois congrès annuels d’une durée de trois jours chacun et, à chaque fois, mes neurones s’activent et je réfléchis à ma vie personnelle ainsi qu’à mon entreprise afin d’y apporter des changements qui la font croître d’année en année d’environ 30%. Trois pourcent afin d’aller chercher trente pourcent, c’est ce que je qualifie d’un bon retour sur votre investissement, non ?

Prendre le temps de réfléchir consiste tout simplement à vous poser des questions sur votre vie en général. Des questions sur ce qui donne un sens à votre vie, sur votre style de vie et celui que vous désirez apporter à votre famille. Des questions sur votre relation amoureuse et votre vie sexuelle. Des questions sur votre santé et votre niveau d’énergie, sur vos relations sociales et vos « vrais » amis. Des questions également sur vos projets à court, moyen et long terme, sur votre spiritualité, votre niveau de contribution dans le monde, etc.

Malheureusement trop peu de gens prennent le temps de réfléchir à leur vie, étant trop pris dans leur train-train quotidien. Pourtant, prendre le temps de réfléchir et vous poser de sérieuses questions sur votre vie, c’est essentiel afin d’améliorer votre qualité de vie professionnelle, intellectuelle, spirituelle, sociale et affective.

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7/01/2008

Vivre dans le moment présent

Avez-vous parfois tendance à revivre des émotions négatives de votre passé et/ou à angoisser pour l’avenir ? Si vous êtes comme la majorité des gens, probablement que c’est votre cas. Le but de cet article est de rappeler la valeur de vivre dans le moment présent.

Pourquoi vivre davantage dans le moment présent ? Parce qu’apprendre à vivre dans le moment présent fera de vous une personne plus performante au travail, contribuera à diminuer votre niveau de stress et vous fera plus apprécier la vie en général. « Oui Patrick, j’aimerais bien mais comment faire pour vivre dans le moment présent ? ». Voici à cet effet neuf suggestions pour vous aider à ralentir suffisamment pour apprécier le « now ».

1. Dès votre réveil, prenez 20 secondes, et soyez reconnaissant pour toute la richesse que vous avez présentement dans votre vie.
Remerciez l’univers pour votre santé, votre partenaire de vie, vos enfants, vos parents, vos amis, votre emploi, vos collègues de travail, votre animal de compagnie, votre maison, votre voiture, le pays dans lequel vous vivez, etc.

2. À l’extérieur si possible, prenez cinq grandes respirations consécutives.
Inspirez par le nez et laissez l’air entrer profondément dans vos poumons, retenez votre respiration pendant quelques secondes et laissez l’air sortir tranquillement par votre bouche. Vous serez immédiatement envahi par un sentiment de calme et de plénitude.

3. Regardez une ou des images qui vous relaxent
comme des photos de vos enfants et de votre amoureux/amoureuse ou encore des photos de paysage comme des vagues frappant les parois d’une falaise avec le coucher de soleil en arrière-plan.

4. Réduisez le bruit autour de vous au minimum.
Fermez votre iPod, votre portable, la radio et la télévision. Les seuls bruits que vous devriez entendre sont ceux de la nature comme les oiseaux, le vent et le son de l’eau qui coule. Les bruits ambiants, bien que sécurisants, peuvent facilement vous éloigner du moment présent.

5. Écoutez un bon film.
Il est très difficile d’être « ailleurs » lorsque vous êtes absorbé par un bon film. Privilégiez les comédies. Vous ferez ainsi d’une pierre deux coups, en plus d’être totalement dans le moment présent, vous rirez un bon coup.

6. Faites du sport.
Le niveau de concentration souvent élevé exigé dans le sport vous empêche de penser à autre chose. Le sport constitue donc un des meilleurs moyens afin de vivre dans le moment présent.

7. Concentrez-vous uniquement sur ce que vous faites présentement.
Si vous jouez au golf, jouez simplement au golf. Fermez votre portable et appréciez la nature et la compagnie de vos amis. Si vous commencez à penser à vos problèmes personnels et professionnels, à ce que vous mangerez pour souper ou à quel endroit vous devriez aller en vacances le mois prochain, non seulement vous allez mal jouer, mais vous ne serez plus dans le moment présent.

8. Si vous vous surprenez à trop penser au passé ou au futur,
changez votre « focus » immédiatement en vous disant « Ici maintenant, ici maintenant, ici maintenant. » ou toute autre phrase qui vous aidera à ramener votre esprit au moment présent.

9. Stimulez vos cinq sens.
Regardez des images ou des paysages agréables, écoutez de la musique que vous ne connaissez pas, sentez un nouveau parfum ou des fleurs, goûtez à une bonne crème glacée et sentez l’eau sur votre corps en prenant un bon bain chaud ou en sautant dans la piscine.

Le présent est un cadeau extraordinaire. Profitez-en maintenant en ralentissant quelque peu votre rythme de vie. Apprendre à vivre dans le moment présent fera de vous une personne plus performante au travail, contribuera à diminuer votre niveau de stress et vous fera plus apprécier la vie en général.

Bonne fête du Canada !

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6/23/2008

Vive les vacances !

Selon un sondage effectué par Léger Marketing, seulement 78% des Québécois prendront des vacances cet été. Faites-vous partie de ces gens-là ? Je l’espère bien pour vous. Je souhaite sincèrement que vous ne fassiez pas partie des 22% de Québécois qui ne prendront pas de vacances cet été car les vacances constituent un des meilleurs moyens de réduire votre stress et d'augmenter votre performance au travail.

Vacances = Investissement

Les gagnants prennent souvent des vacances. Ils ont appris à voir leurs vacances non pas comme une récompense, mais plutôt comme un investissement. Un investissement dans leur santé physique, mentale, émotionnelle et relationnelle.

Des études ont démontrées qu’il est préférable de se reposer peu et fréquemment que de se reposer pendant de longues périodes mais rarement. Donc, prendre des vacances l’été est bien, mais plutôt que de prendre des vacances seulement l’été, je vous suggère plutôt des vacances aux trois ou quatre mois si votre situation vous le permet.

En prenant des vacances seulement durant la saison estivale, vous travaillez à environ 60% de vos capacités le reste de l'année, alors que si vous rechargez votre batterie régulièrement, vous travaillerez toujours à 100% de vos capacités.

De plus, avez-vous remarqué à quel point vous êtes créatif au retour de vos vacances ? Ce court temps d’arrêt vous donne souvent l’occasion de réfléchir sur votre vie personnelle et professionnelle.

Allez coucher ailleurs

Malheureusement, de tous les Québécois qui prendront des vacances cet été, 13% resteront chez eux ! Prendre des vacances en restant chez soi n’est pas vraiment des vacances. Ces personnes en « profitent » généralement pour faire des travaux qu’ils remettent depuis longtemps de sorte qu’ils ne se reposeront pas et rentreront au travail plus fatigué qu’ils ne l’étaient avant de prendre leurs vacances ! Dans la mesure du possible, afin de profiter au maximum de vos vacances, allez coucher ailleurs. Votre budget est plus serré cette année ? Allez visiter la parenté, des amis ou faites du camping.

Changement d’huile mentale

De la même façon que vous faites régulièrement un changement d’huile pour votre automobile, vous devriez effectuer un changement d’huile mentale en prenant des vacances. Imaginez si vous attendiez à 15 000 ou 30 000 kilomètres avant de faire votre prochain changement d’huile, plutôt que de le faire au 5 000 ou 6 000 kilomètres comme vous devriez le faire normalement. Ne croyez-vous pas que cette malveillance de votre part affecterait les performances de votre voiture ? Bien sûr ! Il en va de même de votre santé.

Prévenez la fatigue par le repos et les vacances, et vous préviendrez le stress. Donnez toujours priorité à vos vacances car vous le méritez bien. Rappelez-vous, les vacances, ce n’est pas une récompense, mais un investissement.

Bonne St-Jean !

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6/16/2008

Se réjouir du succès des autres

D’abord merci aux centaines de courriels de félicitations que vous m’avez fait parvenir suite à la nouvelle de la naissance de ma fille Jade. Vos messages m’ont profondément touché. Dans cette optique, j’ai pensé écrire cette semaine un article sur l’importance de se réjouir du succès des autres.

À quand remonte la dernière fois où vous avez pris le temps de féliciter sincèrement le succès d’une autre personne ? Ce matin ? Hier ? La semaine dernière ? Euh… je ne m’en rappelle pas ?

Après vingt années d’étude, une des premières qualités que j’ai remarquée chez les gens qui ont du succès, est qu’ils se réjouissent sincèrement et facilement du succès, de la chance et du bonheur des autres. Les perdants toutefois jalousent et envient la bonne fortune des autres.

Selon la loi d’attraction, vous attirez vers vous vos pensées et vos émotions dominantes. Conséquemment, si vous jalousez ou si vous êtes envieux du succès, de la chance ou du bonheur d’une autre personne, vous ne pourrez jamais attirer à vous ces mêmes succès, chance ou bonheur. Vous attirez plutôt à vous la frustration, la rancœur et les ulcères !

Les gagnants ont compris depuis longtemps qu’une chandelle ne perd rien à en allumer une autre. Lorsque vous complimentez sincèrement une personne, c’est comme si vous allumiez sa chandelle. Offrir vos sincères « félicitations !» à une autre personne c’est lui donner énergie, vigueur et amour.

Voici un exercice intéressant pour vous au cours de la prochaine semaine. Forcez-vous à féliciter ou complimenter au moins une personne par jour. Observez à quel point vos félicitations et vos compliments font du bien aux gens. Vous nourrirez leur ego, un ego qui en a tellement besoin… En effet, les gens reçoivent malheureusement neuf critiques pour chaque compliment.

Voici quelques exemples de compliments et de félicitations que vous pourriez distribuer à votre entourage :

  • Félicitation pour la naissance de ton enfant, il est très beau et il te ressemble beaucoup ;
  • Félicitation pour ta promotion et ton augmentation de salaire, tu les bien méritées ;
  • Félicitation pour ta victoire le week-end passé au poker, ton jeu s’améliore de semaine en semaine ;
  • Félicitation pour l’achat de votre maison, elle est très jolie et très bien décorée ;
  • Bravo pour tes notes à l’école mon garçon, je suis très fier de toi ;
  • Excellent travail pour la préparation du budget annuel, tu es une vraie professionnelle ;
  • Bravo d’avoir eu le courage de quitter ton emploi sécuritaire et bien rémunéré, mais qui ne t’apportait plus aucune satisfaction ;
  • Félicitation pour l’achat de ta nouvelle voiture, elle a une très belle gueule ;
  • Bravo d’avoir osé changer ton « look », ta nouvelle coupe de cheveux te va très bien ;
  • Je voulais te féliciter pour ton grand succès en affaires, tu es un modèle pour moi ;
  • Félicitation pour ta très grande force intérieure, tu m’impressionnes d’être capable de si bien élever tes trois enfants par toi-même et sans l’aide financière de ton ex ;
  • Etc.
Les gens aiment être reconnus pour ce qu’ils sont et ce qu’ils font. Il s’agit là d’un principe fondamental en relation humaine. Profitez-en et faites en sorte que les autres (conjoint, enfants, parents, amis, collègues, clients, fournisseurs, etc.) se sentent bien en votre compagnie.

À compter d’aujourd’hui, réjouissez-vous du succès des autres et ne vous gênez plus pour féliciter sincèrement les gens autour de vous qui ont du succès et de la chance. Saisissez toutes les opportunités possibles afin de dire à une autre personne : « FÉLICITATION JE SUIS CONTENT POUR TOI ! »

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6/09/2008

Le plus beau jour de ma vie !


Enfin tu es née ma petite fille ! C’est le 03 juin dernier que tu as choisie pour te pointer le bout du nez. Si tu savais depuis combien de temps je t’attendais et je rêvais à toi ma petite Jade d’amour. Il m’a fallu d’abord rencontrer ta maman Pénélope. Il y en a très peu comme elle tu sais. En fait, elle est vraiment extraordinaire. Tu vas voir, tu vas vraiment l’adorer. Je crois qu’une des choses les plus importantes qu’un père puisse faire pour son enfant est d’aimer sa mère et crois-moi, j’aime beaucoup ta maman.

Je te connais à peine et je t’aime tant déjà. J’avais tellement hâte de te serrer dans mes bras, de sentir ton odeur de bébé et mordiller des petits pieds. J’avais tellement hâte que tu serres mon petit doigt dans ta petite main toute fragile et te donner ton bain. J’avais tellement hâte de te bercer en te racontant de belles histoires et te voir t’endormir tout doucement dans mes bras en toute sécurité. Tu es si belle Jade.

Depuis que tu es là, j’appréhende le futur avec une joie encore plus grande qu’avant. Dans quelques semaines, tu me feras un premier sourire et dans quelques mois, pendant que tu joueras avec tes petits canards jaunes dans l’eau, tu diras pour la première fois « papa » et je verserai une larme. J’ai hâte de t’aider à faire tes premiers pas. J’ai hâte d’aller jouer au ballon avec toi dans le parc. J’ai hâte de t’acheter ta première paire de patins et de faire des dessins avec toi… J’ai tout simplement hâte de t’apprendre la vie ma douce petite fille.

Je te connais à peine et je t’aime tant déjà. Sache ma petite Jade que je serai toujours là pour toi, dans les bons et les moins bons moments. J’applaudirai tes réalisations et j’essuierai les gouttes d’eau sur tes joues lorsque ta peine sera trop grande. Je serai là pour t’encourager dans tes rêves les plus fous car j’estime que le plus beau cadeau qu’on puisse donner à son enfant est de l’élever en lui faisant sentir qu’il peut accomplir tous ses rêves.

Je te connais à peine et je t’aime tant déjà. Je m’efforcerai d’être un exemple à tes yeux car je crois qu’un enfant a besoin davantage de modèles que de critiques. J’aimerais te transmettre les valeurs qui me sont chères et qui t’aideront à faire de toi une personne autonome, responsable et épanouie. Des valeurs comme la passion, l’équilibre, la volonté, le respect, la responsabilité, la discipline, le plaisir, l’amitié et l’amour.

Je te connais à peine et je t’aime tant déjà. Je ne pouvais pas m’imaginer passer ma vie sans te connaître. Il me manquait toi pour être complet et accomplir ma mission sur terre. Tu seras la lumière dans mes yeux, la chaleur dans mon cœur et le gardien de mon âme.

Mais plus que tout, je promets de t’aimer car je crois que mon rôle de père n’est pas seulement de te donner la vie et de pourvoir à tes besoins physiologiques, ce serait trop facile, mon rôle de père sera avant tout de te donner de l’amour.

J’attendais avec impatience ta venue dans notre monde merveilleux et rempli de possibilités qu’il me fera grand plaisir de te faire découvrir. Définitivement, le 03 juin 2008 fut le plus beau jour de ma vie. Je te connais à peine et je t’aime tant déjà.

Ton papa

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6/02/2008

L'accueil : Vous n'avez jamais une deuxième chance de faire une bonne première impression

Comment accueillez-vous vos clients au téléphone, sur Internet et en personne ? Puisque vous n’avez jamais une deuxième chance de faire une première impression, l’accueil de vos clients, au niveau du service à la clientèle, est primordial.

Si vous êtes en mesure de créer une impression favorable dès les premiers instants, vos clients resteront plus longtemps en attente au téléphone avant de raccrocher, ils passeront plus de temps sur votre site Internet ou ils resteront plus longtemps dans votre commerce. Le résultat de tout ça ? Plus de ventes évidemment.

L’accueil au téléphone

Pour les clients qui vous appellent. Est-ce une personne qui répond au téléphone ou un système de répondeur automatique ? Après combien de sonneries répondez-vous ? L’idéal serait après la 2e sonnerie. Combien de temps mettez-vous vos clients en attente avant de reprendre la ligne ? Probablement trop ! Est-ce que vous leur expliquez ce que vous faites lorsque vous les mettez en attente ? Leur dites-vous « merci d’avoir patienté », lorsque vous reprenez la ligne ? Combien de temps prenez-vous pour retourner vos messages ? Gagner la confiance d’une personne est beaucoup plus difficile au téléphone qu’en personne, ne manquez surtout pas votre coup.

L’accueil sur Internet

Pour les clients qui visitent votre site Internet. Évitez la musique trop forte et stressante sur la page d’intro. Lorsque des clients viennent visiter votre site Internet, faites en sorte qu’il soit facile d’y naviguer et qu’ils n’aient pas à attendre 10 ou 15 secondes avant que votre première page n’apparaisse. Les graphiques sont jolis, mais ils alourdissent trop votre site. Ne faites pas non plus l’erreur de mettre trop d’information sur chaque page. Il faut que vos pages respirent. Portez particulièrement attention au design et aux couleurs. Les couleurs doivent représenter votre image. Enfin, faites en sorte que votre panier d’achat transactionnel fonctionne bien et offrez plusieurs méthodes de paiement sécurisées.

L’accueil en personne

Pour les clients qui viennent vous visiter en personne. Vérifiez toujours la propreté de vos lieux, particulièrement vos toilettes. Changez les ampoules brûlées rapidement. Coupez le gazon souvent. Enlevez les mauvaises herbes et plantez de jolies fleurs. Pensez toujours à stimuler les 5 sens de vos clients. La décoration de votre commerce devrait être au goût du jour. Embauchez un designer s’il le faut. Mettez des plantes (en plastique si vous n’avez pas le pouce vert) et du « sent bon ». Ayez une musique d’ambiance adaptée à votre clientèle cible, vérifiez l’habillement de vos employés, faites-leur porter des « namebadge », etc.

De plus, appelez toujours vos clients par leur nom si possible et non par un nom que vous aimeriez qu’ils aient (le grand, patron, champion, la petite madame, etc.). Installez une télévision pour les divertir et offrez-leur des journaux et de la littérature dans la salle d’attente. Ayez à leur disposition leurs magazines préférés en date d’aujourd’hui. Vous ne savez pas ce que vos clients aiment lire ? Demandez-leur ! Accueillez toujours les gens avec un beau sourire et un contact visuel même si vous êtes occupé à faire d’autres choses : « Bonjour madame, je suis à vous dans deux minutes ». Soyez toujours dynamique, poli et courtois et, si possible, offrez un café et des biscuits.

Même si ça peut parfois être difficile, accueillez toujours vos clients avec un sourire plutôt qu’avec un soupir. Avoir une attitude positive est très important dans le domaine du service à la clientèle. Peu importe les problèmes que vous pouvez avoir dans votre vie personnelle, il est extrêmement important de ne pas les laisser voir à vos clients. En d’autres mots, gardez vos problèmes à la maison. Vos clients ne veulent pas les savoir de toute façon, ils en ont eux-mêmes assez !

« Oui mais Patrick, tu ne veux quand même pas qu’on mente à nos clients ? Si ça ne va pas et que je leur dis que ça va bien, je mens. » Dans ce cas, je vous suggère de répondre par le mot INCROYABLE si un client vous demande comment vous allez. « Comment ça va Jacques ? » « INCROYABLE ! » Ça peut aller incroyablement mal, mais le client croira que vous allez INCROYABLEMENT bien !

Rappelez-vous que l’accueil est primordial au succès de votre organisation et que vous n’avez jamais une deuxième chance de faire une bonne première impression.

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5/26/2008

Leçons apprises des moins bons versus des meilleurs vendeurs

Il y a trois semaines, nous avons vendu notre maison de Rosemère, ma copine a pleuré. Une semaine plus tard elle était déjà vendue ! Depuis, nous avons visité plusieurs maisons dans les secteurs Lorraine et Fontainebleau à Blainville et ma copine a retrouvé son beau sourire ! Nous avons donc eu à interagir avec une bonne douzaine d’agents immobiliers. Comme clients, j’aimerais vous faire part de dix observations qui nous ont marqués et qui je l’espère feront de vous un bien meilleur vendeur ou représentant.

1. Les moins bons agents qui ont visité notre maison lorsque nous étions à la recherche d’un agent inscripteur ne se sont jamais intéressés à nous. C’est à peine s’ils nous ont demandé ce que nous faisions dans la vie... Ils étaient très centrés sur eux-mêmes et ils ne parlaient que d’eux : « Moi, moi, moi, moi, moi, moi… ». Les bons agents par contre ont pris le temps de nous demander ce que nous faisions dans la vie et ils nous posaient beaucoup des questions. Ils semblaient vraiment s’intéresser à nous. En d’autres mots, ils étaient gentils, sympathiques et ils avaient une bonne écoute. Nous nous sentions en confiance en leur présence.

2. Les moins bons agents n’ont fait presque aucun commentaire favorable sur notre maison, beaucoup trop pressées de nous parler de chiffres et de leur taux de commission. Les bons agents par contre qui ont visité notre maison, nous ont félicités pour notre belle maison, la décoration, le paysagement et l’aménagement de notre cour. Leurs visages étaient souriants et ils nous rendaient fiers de notre propriété et des éléments que nous avions mis en place pour l’améliorer.

3. Les moins bons agents avaient une attitude et un regard condescendants envers nous puisque nous étions jeunes et que le prix des maisons visitées était très élevé. Leurs regards semblaient dire : « Vous n’avez pas les moyens de vous payer une telle maison et vous me faites perdre mon temps. ». Les meilleurs agents par contre tentaient de nous qualifier en nous demandant à quel endroit était située notre maison actuelle et quels métiers nous occupions.

4. Les moins bons agents n’utilisaient pas nos prénoms lorsqu’ils s’adressaient à nous. Les bons agents par contre nous appelaient par notre prénom et ils les utilisaient souvent lors de nos visites. Ces derniers savaient très bien que le prénom d’une personne est le son le plus doux qu’elle aime entendre à ses oreilles.

5. Les moins bons agents, même après leur avoir mentionné de cesser de nous vouvoyer, continuaient à le faire, ce qui nous rendait mal à l’aise et inconfortables. Les meilleurs agents par contre respectaient notre volonté de nous faire tutoyer. La complicité était ainsi bien meilleure.

6. Les moins bons agents répondaient constamment à leur téléphone portable et osaient même nous interrompre dans le milieu d’une phrase ! Les meilleurs agents par contre, soit ignoraient leurs téléphones portables lorsqu’il sonnait afin de nous donner toute leur attention ou soit ils nous demandaient la permission de répondre lorsqu’il s’agissait d’un appel très urgent.

7. Les moins bons agents manquaient de disponibilité puisqu’ils avaient trop de dossiers à traiter à la fois (évaluations, inscriptions, offres d’achat, inspections, etc). Ils prenaient beaucoup de temps avant de retourner leurs appels et leurs courriels. Pourtant, nous étions des acheteurs très motivés puisque nous mentionnions toujours que nous venions de vendre notre maison et qu’il fallait nous en trouver une autre rapidement. Les meilleurs agents par contre avaient appris à déléguer des tâches moins importantes et moins essentielles à leur succès et ainsi ils avaient plus de temps à nous consacrer.

8. Les moins bons agents parlaient toujours en mal des autres propriétés que nous envisagions acheter lorsqu’elles étaient inscrites avec d’autres agents. Il était évident qu’ils n’avaient à cœur que leurs propres intérêts et non les nôtres. Les meilleurs agents par contre nous parlaient toujours en bien des autres propriétés : « Ha oui vous avez du goût, il s’agit d’un très bon choix également », « J’adore cette maison, son emplacement est particulièrement extraordinaire », « Le sous-sol de cette maison et la cave à vin sont vraiment magnifiques », etc.

9. Les moins bons agents, suite à une visite infructueuse, ne nous offraient même pas de nous proposer d’autres maisons qui pourraient correspondre à nos besoins et à nos goûts. Les meilleurs agents par contre nous proposaient tous de faire des recherches pour nous afin de trouver notre maison idéale.

10. Malheureusement, 100% des agents que nous avons rencontrés n’ont pas fait une analyse de nos besoins, ils se sont contentés de présenter leurs « produits ». Il aurait pourtant été simple de poser des questions du genre : « Pourquoi exactement avez-vous vendu votre maison ? », « Qu’est-ce qui est le plus important lorsque vous regardez pour acheter une maison ? », « Quelle grandeur minimum désirez-vous en pieds carrés de superficie habitable ? », « Avez-vous des enfants et si oui quel âge ont-ils ? », « À quelle école vont-ils ou avez-vous une préférence pour les écoles ? », « Dans quelle pièce dans la maison passez-vous le plus de temps ? », « Cuisinez-vous beaucoup ? » « Est-ce qu’un grand terrain ou une maison située dans un croissant est important pour vous ? », « Est-ce que le revêtement extérieur sur les quatre côtés doit être absolument 100% en briques ou en pierres ? », etc. Apprendre à poser des questions afin d’évaluer les besoins des clients avant de leur proposer une offre est pourtant un minimum en vente.

Wow, voici 10 leçons de vente incroyable que vous pouvez mettre en application immédiatement peu importe ce que vous avez à vendre, que ce soit des maisons, des voitures, des produits financiers, des stylos ou des idées. Ha oui j’oubliais, fort heureusement nous avons finalement trouvé une maison belle et confortable qui correspond vraiment à nos besoins et nos goûts. Qui sait, nous aurons peut-être la chance un jour de vous inviter pour un BBQ ?

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5/21/2008

Vos rêves mourront-ils avec vous ?

Imaginez que votre médecin vous annonce qu’il ne vous reste que quelques mois à vivre. Après avoir pleuré un bon coup, qu’aimeriez-vous faire ou accomplir pour le restant de vos jours ? Quels endroits aimeriez-vous visiter ? Quelle activité ou expérience tenteriez-vous de faire ? Avec quelles personnes aimeriez-vous vivre ces derniers moments ? Quels rêves, quels buts ou quels projets avez-vous rêvé de faire toute votre vie, mais que vous n’avez pas faits ?

Dans toute l’histoire de l’humanité, jamais une personne a dit sur son lit de mort : « Je regrette de ne pas avoir passé plus de temps au bureau ! » Les gens regrettent plutôt des rêves, des buts et des projets qu’ils avaient en tête et qu’ils n’ont jamais eu le courage de réaliser.

Imaginez encore une fois qu’il ne vous reste que quelques mois à vivre sur cette magnifique planète. Vous arrêteriez immédiatement de faire les choses que vous n’aimez pas faire, n’est-ce pas ? Vous arrêteriez probablement de fréquenter les gens que vous n’aimez pas fréquenter. Vous iriez souvent à votre restaurant préféré plutôt que dans des restaurants bon marché. Vous prendriez le stationnement avec valet plutôt que d’essayer de trouver un stationnement vous-même. Vous achèteriez une bonne bouteille de vin plutôt que de boire une boisson gazeuse.

Si vous aviez à faire un voyage, vous iriez en Italie plutôt que sur le lac St-Louis, n’est-ce pas ? Vous voyageriez probablement en première classe plutôt qu’en classe économique. Arrivée sur place, vous prendriez une limousine plutôt qu’un taxi. À l’hôtel, vous occuperiez une grande suite avec un bain tourbillon avec vue sur la mer plutôt qu’une chambre standard. À l’opéra, vous seriez assis dans les premières rangées plutôt qu’en arrière aux balcons, etc.

Pourquoi ne pas commencer à vivre votre vie de la sorte immédiatement de temps en temps ? Soyez responsable évidemment et n’allez pas dépenser toutes vos économies demain matin, mais pourquoi attendre de n’avoir que quelques mois à vivre pour vous gâter comme vous le méritez vraiment, de temps en temps ? De toute façon, il y a de fortes chances que vous et moi ne sachions jamais combien de temps il nous reste à vivre et même si nous le découvrions, il serait probablement trop tard et il n’est pas certain que nous ayons la santé pour faire ce que nous aimerions faire. Le seul temps que nous avons avec certitude est le moment présent.

Imaginez le puissant message que vous enverriez à votre subconscient en commençant dès maintenant à agir comme s’il ne vous restait que quelques mois à vivre. C’est comme si vous lui disiez : « Voici le style de vie que tu mérites. » En ne vous permettant que le strict minimum tout le temps, c’est comme si vous disiez à votre subconscient : « Je ne mérite pas plus. » Et comme un bon serviteur, il va vous obéir et il va s’arranger pour que vous n’obteniez pas plus de la vie.

Lors de vos derniers moments sur terre, aurez-vous plein des regrets ou vous rappellerez-vous plutôt tous ces beaux moments que vous aurez vécus en célébrant le fait que vous aurez vraiment vécu votre vie au maximum ? Mon souhait le plus cher pour vous est que lorsque vous mourrez, vos rêves ne meurent pas avec vous !

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5/12/2008

10 secrets du succès que vos parents ont probablement oublié de vous mentionner lorsque vous étiez jeune

Vous risquez de ne pas aimer certaines des idées que je vais partager avec vous dans cet article. Si certaines de mes idées vous offensent, vous dérangent ou vous choquent, c’est qu’elles sont écrites expressément pour VOUS. Que vous soyez ou non d’accord avec mes idées, la seule chose que je puisse vous dire est qu’elles fonctionnent pour moi et qu’elles pourraient également fonctionner pour vous. Après tout, comme un vieux sage a déjà dit : « Dans la vie, tu peux avoir raison ou tu peux être riche! »

1. Si un jour, votre vie ne va pas bien, c’est de votre faute !

La meilleure année de votre vie est l’année où vous décidez que vos problèmes sont les vôtres. Vous cessez alors de blâmer vos parents, le gouvernement, l’environnement ou le président et vous réalisez que vous êtes en total contrôle de votre destinée. Vous vivez aujourd’hui vos choix d’hier et votre avenir va dépendre de vos choix d’aujourd’hui. Arrêtez de vous plaindre !

2. Si vous vous prenez un jour à dire que l’argent ne fait pas le bonheur, vous avez tort !

Celui qui a dit que l’argent ne fait pas le bonheur était probablement très pauvre. Oui, il y a d’autres facteurs que l’argent qui contribuent au bonheur comme la santé, l’amitié, l’amour, la contribution, etc. mais comment pouvez-vous être un bon mari ou femme, une mère ou un père, un modèle pour vos enfants, un (e) bon (ne) ami (e), une personne qui a du caractère, un citoyen et contribuable honnêtes, un membre respecté qui aide sa communauté, lorsque vous passez vos nuits à ne pas dormir parce que vous n’êtes pas en mesure de payer vos factures et vos dettes ?

3. Si un jour vous n’êtes pas riche ou en voie de le devenir, c’est que vous passez trop de temps avec des gens pauvres !

Vos revenus sont la moyenne des cinq personnes que vous fréquentez le plus souvent. Qui fréquentez-vous sur une base régulière ? Des gens riches ou des gens pauvres ? L’argent n’est pourtant pas si compliqué à acquérir. Il n’est qu’une mesure de la valeur du service rendu. Rendez plus de services et vous ferez plus d’argent !

4. Si un jour, vous fréquentez des perdants, vous en deviendrez un également !

Si vous écoutez et agissez sur l’avis de perdants, vous serez un perdant également. Vous êtes un produit de votre environnement. Vos amis sont-ils ambitieux, orientés vers l’avenir et pleins de projets emballants ou plutôt des gens « réalistes » qui aiment critiquer tout et rien et qui se plaignent constamment de leur mauvais sort ? Entourez-vous de gagnants et vous le deviendrez également.

5. Si un jour, vous n’aimez pas votre corps, ne blâmez personne d’autre que vous-même !

L’extérieur d’une personne est souvent le reflet de ce qui se passe à l’intérieur. Le corps que vous avez à 20 ans dépend de vos gènes, dépassé 35 ans, vous avez le corps que vous méritez. Quelqu’un vous force-t-il à manger tout ce que vous mangez tous les jours ? Diminuez vos portions et faites de l’exercice sur une base régulière.

6. Si vous écoutez trop de télévision et lisez trop les journaux, vous n’accomplirez jamais vos rêves !

Les gens écoutent en moyenne 27 heures de télé par semaine et passent plus de 30 minutes par jour à lire les journaux. Quelle perte de temps incroyable ! Tout ce temps pourrait être consacré à réaliser vos rêves, à faire de l’exercice, à consacrer plus de temps à vos enfants et votre conjoint (e), à vous divertir avec vos amis, à étudier dans votre domaine d’expertise, à bâtir votre affaire, etc. Le manque de temps est pourtant l’excuse #1 des perdants.

7. Si un jour vous attendez que quelqu’un vienne vous motiver, vous risquez d’attendre toute votre vie !

Réalisez que vous êtes responsable de votre propre motivation, personne d’autre. Soyez votre propre « cheerleader » et n’attendez jamais les encouragements des autres pour foncer. Le succès débute à l’intérieur de vous. Parlez-vous positivement à tous les jours et relisez fréquemment votre liste de victoires passées afin de vous donner un « boost » d’énergie.

8. Si vous écoutez trop l’opinion des autres, vous n’irez pas très loin !

Ha l’opinion des autres… Nous y sommes tous très sensibles. On dit que la flèche perce le corps, mais que la critique transperce parfois l’âme. Soyez pourtant heureux d’être critiqué, car c’est la preuve que vous accomplissez quelque chose d’important et de méritoire. La seule façon d’échapper à la critique est de ne rien dire, de ne rien faire et de n’être rien!

9. Si un jour, quelqu’un vous propose d’investir dans un projet simplement parce que ça risque de rapporter gros, pensez-y deux fois !

Les gens qui ont du succès ne cherchent pas les « gimmicks » pour devenir riches rapidement. Ils concentrent leurs énergies et leurs économies à faire ce qu’ils aiment et dans ce qu’ils connaissent bien.

10. Si un jour vous pensez tout savoir, c’est que vous en savez encore peu !

Les gens qui ont du succès cherchent constamment à s’améliorer. Ils ne s’assoient jamais sur leurs lauriers. Ils demandent de l’aide et ils se font coacher par ceux qui ont encore plus de succès qu’eux.

Et voilà ! C’était la liste des 10 secrets du succès que vos parents ont probablement oublié de vous mentionner lorsque vous étiez jeune. Relisez cette liste, mettez ces idées en action et n’oubliez surtout pas de partager ces idées avec vos propres enfants. Bon succès !

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5/05/2008

Êtes-vous dans le bon emploi ?

Selon un sondage effectué par Workopolis, 80% des adultes canadiens n’occuperaient pas l’emploi auquel ils aspiraient lorsqu’ils étaient plus jeunes. Malheureusement, malgré plusieurs années d’étude, bien des gens finissent par faire un travail qui finit par les rendre malheureux. J’espère que ce n’est pas votre cas. Les gens heureux et qui ont du succès font un travail qu’ils aiment. Afin de savoir si vous êtes dans le bon emploi, répondez par oui ou non à ces 10 questions.

1. Est-ce que la journée de la semaine que vous préférez le plus est le vendredi et celle que vous détestez le plus est le lundi ? Anticipez-vous avec une joie extrême vos week-ends ?

Il n’existe probablement pas d’emploi idéal à 100%. Mêmes les personnes qui aiment énormément leur travail ont souvent hâte à la fin de semaine, mais ces dernières n’appréhendent pas avec dégoût le retour au travail le lundi matin car leur travail leur procure énergie et satisfaction.

2. Avez-vous souvent des conflits avec vos collègues de travail ?

Il est tout à fait naturel d’avoir des conflits de temps à autre avec les membres de votre équipe. Toutefois, si vous êtes en situation de conflit sur une base régulière avec les membres de votre équipe, c’est probablement signe que vous oeuvrez dans un environnement toxique. Ça peut aussi vouloir dire qu’il existe un grave problème de communication entre vos collègues et vous.

3. Détestez-vous votre patron ou avez-vous une relation difficile avec celui-ci ?

De toute évidence, vous ne pouvez pas toujours être sur la même longueur d’onde que votre patron. Mais plusieurs personnes détestent vraiment leur patron. Elles ont constamment des pensées de haine envers lui et elles seraient les premières à applaudir advenant le départ de leur patron.

4. Êtes-vous régulièrement ou souvent en retard au travail ?

Faites-vous partie de ces gens qui sont souvent en retard au travail ? Remettez-vous votre départ de la maison à la dernière minute ? Anticipez-vous avec des émotions négatives vos journées de travail ? Les gens qui aiment leur travail, sont non seulement à l’heure, mais sont bien souvent en avance.

5. Prenez-vous plus de journées de maladie maintenant que lorsque vous avez débuté dans votre emploi ?

Avez-vous déjà déclaré à votre patron être malade alors que vous ne l’étiez pas vraiment ? Combien de journées de maladie avez-vous prises dans la dernière année versus la première année où vous étiez à l’emploi de votre organisation ? S’il existe un écart significatif, posez-vous la question pourquoi il en est ainsi. Les gens qui aiment leur travail sont rarement malades. Personnellement, depuis 12 ans, je n’ai jamais manqué une conférence pour cause de maladie !

6. Sentez-vous parfois qu’on ne vous accorde pas toute la reconnaissance que vous méritez dans votre emploi ?

Est-ce que vos collègues de travail ou votre patron s’accordent un peu trop de crédit pour les succès de l’équipe et négligent de vous reconnaître à votre juste valeur ? Vous sentez-vous estimé, apprécié et respecté par les gens qui font partie de votre environnement au travail (clients, fournisseurs, collègues et patrons) ? À quand remonte la dernière fois où l’on vous a fait un compliment sincère devant tous les autres membres de votre organisation ?

7. Est-ce que vous avez parfois l’impression que vous pourriez vous épanouir davantage dans un autre emploi ?

Éprouvez-vous un sentiment de joie, d’accomplissement et de réalisation personnels à faire votre travail ? Faites-vous des tâches que vous aimez vraiment et qui sont naturelles pour vous ? Si vous aimez les gens par exemple, êtes-vous en contact constant avec la clientèle ou devez-vous plutôt travailler seul, dans un bureau fermé, sans fenêtre, à faire de l’entrée de données et de la comptabilité ?

8. N’avez-vous pas l’impression qu’il n’existe aucune possibilité d’avancement ou de promotion à court et moyen termes ?

Si vous êtes une personne le moindrement ambitieuse, il est tout à fait légitime d’espérer obtenir une promotion ou de l’avancement à court ou moyen termes. Si votre emploi actuel n’offre aucun espoir d’avancement et de promotion à court et moyen termes, il est très normal que vous soyez un employé démotivé.

9. Avez-vous des valeurs qui sont différentes de celles de votre organisation ?

Il est extrêmement difficile pour une personne d’être engagée et fidèle envers son organisation lorsque ses valeurs personnelles sont en conflit avec celles de son employeur. Par exemple, l’honnêteté est l’une de vos valeurs les plus importantes, mais votre patron vous demande de mentir (ou d’omettre certaines informations) à vos clients. Ou encore, l’environnement vous tient à cœur, mais l’organisation qui vous embauche est un gros pollueur. Un autre exemple ? La santé est importante pour vous, mais les produits que vend votre organisation sont nuisibles pour la santé. À long terme, il est presque impossible de travailler dans un environnement qui est en conflit avec nos valeurs.

10. Avez-vous le sentiment que votre salaire devait être supérieur afin de vivre la vie dont vous rêvez ?

Toutes les personnes que je connais désirent améliorer leur situation financière et leur qualité de vie. Votre travail actuel vous rémunère-t-il suffisamment afin d’avoir la vie dont vous rêvez ? Votre salaire est-il compétitif avec ce qui se donne ailleurs dans votre sphère d’activité ? Aimeriez-vous être payé selon vos performances plutôt qu’à salaire fixe ? Le salaire est un élément important de motivation, mais il peut aussi constituer un élément important de démotivation s’il n’est pas perçu assez élevé aux yeux de l’employé.

Alors, êtes-vous dans le bon emploi ? J’espère vraiment que c’est le cas, mais si vos réponses aux dix questions précédentes indiquent que vous n’êtes pas dans le bon emploi (vous avez répondu une majorité de oui), réalisez que vous êtes responsable de votre destinée et passez à l’action immédiatement. Commencez par identifier l’emploi qui vous rendrait vraiment heureux et planifiez d’y travailler d’ici les 12 prochains mois. Retournez aux études s’il le faut, travaillez à temps partiel ou bénévolement pour une personne qui fait déjà le travail que vous aimeriez faire, embauchez un coach, étudiez des opportunités d’affaires et faites-vous un pan d’action. Travailler dans un emploi qui vous passionne fait partie intégrante du bonheur. Vous le méritez bien.

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4/27/2008

Qu'est-ce qui vous ARRÊTE ?

La plupart des gens que je rencontre à toutes les semaines dans mes conférences et séminaires désirent améliorer la qualité de leur vie. Certains savent même précisément ce qu’ils doivent faire pour y arriver. Pourtant, plusieurs ne parviennent pas à améliorer leurs conditions. Pourquoi ? Qu’est-ce qui les arrête ? Qu’est-ce qui les empêche de vivre à la hauteur de leurs aspirations ? Je crois que les trois facteurs suivants empêchent plus de gens à vivre la vie de leurs rêves que n’importe quoi d’autre :

1. La peur

La peur d’échouer est l’un des plus grand obstacle au succès qui soit. Littéralement, elle nous fige et nous paralyse. Mais d’où vient cette peur ? De votre discours intérieur. Et qui est responsable de ce que vous vous dites dans votre tête ? VOUS-MÊMES ! Ne cherchez pas très loin, vous êtes votre pire ennemi ! Et puisque la loi d’attraction stipule que vous attirez à vous vos pensées et vos émotions dominantes, si vous avez des pensées et des émotions de peur, c’est exactement ce que vous attirez à vous, même si ce n’est pas ce que vous désirez ! Pensez plutôt à ce que vous désirez dans la vie afin d’attirer, comme un aimant, ces choses à vous. Que tenteriez-vous d’accomplir si vous étiez persuadé de réussir ?

2. L’opinion des autres

Ce que les autres pensent, ou vont penser, de vous est un autre obstacle majeur à votre succès. Bien des gens, dû à leur faible estime d’eux-mêmes, vous diront que « Tu rêves en couleur », « C’est impossible », « Pour qui te prends-tu », « Sois raisonnable », « C’est beaucoup trop risqué, tu risques de tout perdre », etc. Vous les écoutez et vous vous dites qu’ils ont probablement raison. Malgré ce qu’ils vous disent, ces gens ne veulent pas vraiment votre bien. Ils ne veulent pas vraiment vous voir réussir de peur que vous ayez plus de succès qu’eux. Ces gens pensent que c’est plus facile et plus simple de tenter de vous décourager que pour eux de se retrousser les manches et se joindre à vous dans votre quête de succès. La prochaine fois qu’une personne vous dira que « C’est impossible ! », dites-lui qu’elle a raison et que c’est probablement impossible pour elle, mais pas pour vous ! Servez-vous de ces paroles comme élément de motivation.

3. Les mauvaises habitudes

Le troisième et dernier obstacle à votre succès futur est vos mauvaises habitudes. Que ce soit de mal vous alimenter, de vous coucher trop tard, de remettre à plus tard, votre manque de ponctualité, votre impatience avec les gens, votre paresse, votre désorganisation ou votre indiscipline, ces mauvaises habitudes vous empêcheront de réaliser la vie de vos rêves. La bonne nouvelle est que vous pouvez changer vos mauvaises habitudes en les remplaçant par de bonnes habitudes, petit à petit, de la même façon que vous avez acquis ces mauvaises habitudes. Le truc consiste à y aller graduellement et de changer une habitude à la fois.

Le succès instantané n’existe pas. Le succès est un long voyage sur un chemin qui est pavé de plusieurs obstacles comme la peur, l’opinion des autres et les mauvaises habitudes. C’est simplement en passant à côté, par-dessus, en dessous et à travers ces obstacles que vous aurez plus de succès et viendrez à réellement vivre la vie de vos rêves.

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4/21/2008

Faire le grand ménage

Yé, c’est le printemps ! Il faut beau, il fait chaud et le monde est beau. Ces jours-ci, on dirait que tout le monde a un sourire collé au visage. Au printemps, les rayons de soleil agissent sur nous comme des vitamines pour la bonne humeur. Le printemps constitue également le moment idéal pour faire ménage dans votre vie. Voyons quelques domaines où vous auriez peut-être intérêt à faire le ménage dans votre vie :

1. Faite le ménage de votre demeure

Profitez des belles journées du printemps pour faire un bon ménage de l’endroit où vous habitez. Jetez ou donnez des trucs encombrants ou que vous n’avez pas utilisés depuis longtemps. Passez l’aspirateur sous les meubles, lavez vos vitres, organisez une vente de garage et faites même prendre un bain à votre chien !

2. Faites le ménage de votre garde-robe

Faites un bon inventaire de vos vêtements d’hiver. Tous les vêtements et accessoires que vous n’avez pas mis lors des derniers mois, donnez-les à des organismes de charité. De toute façon, il faut bien faire de la place pour du nouveau, non ?

3. Faites le ménage dans vos relations interpersonnelles

Évaluez sur une échelle de 0 à 10 les gens qui font partie de votre cercle d’influence. Les 10 étant des gens qui vous donnent de l’énergie et les 0, des gens qui vous prennent de l’énergie. Faites le ménage une bonne fois pour toute et décidez de passer de plus en plus de temps avec les 7, 8, 9 ou 10 sur 10.

4. Faites le ménage dans vos mauvaises habitudes

Prenez un temps d’arrêt et pensez à toutes vos mauvaises habitudes : vous coucher trop tard, ne pas dormir assez, fumer, manger une trop grande quantité de nourriture, manger mal, blasphémer, couper la parole aux gens, être fréquemment en retard, remettre à plus tard, etc. Décidez ensuite de faire le grand ménage dans vos mauvaises habitudes qui nuisent à votre réputation, à votre productivité et à votre santé.

5. Faites le ménage dans vos croyances limitatives

Réfléchissez aux croyances que vous avez depuis des années et qui ne servent pas à faire de vous une meilleure personne. Débarrassez-vous de vos vieilles croyances comme par exemple « Tout est de plus en plus cher ! » et remplacez-les par de nouvelles comme par exemple « Ce n’est pas trop cher, c’est simplement moi qui ne gagne pas encore assez d’argent ! »

S’il vous plaît, débutez le printemps du bon pied en décidant de faire un bon ménage dans votre vie. Faites le ménage de votre demeure, de votre garde-robe, de vos relations interpersonnelles, de vos mauvaises habitudes et de vos croyances limitatives. Vous serez ainsi une toute nouvelle et meilleure personne. Et avec le merveilleux soleil qui plombe sur vous, vous aurez vraiment de quoi sourire.

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4/14/2008

La ville est HOCKEY

Montréal et tout le Québec vivent présentement un débordement d’enthousiasme sans précédent. L’équipe de hockey des Canadiens de Montréal vient d’être couronnée champion de la division Est de la ligue nationale de hockey. Une première depuis la saison 1992-1993 soit l’année de la dernière conquête de la coupe, la 24e coupe Stanley de l’équipe.

Partout où vous allez, les gens ne parlent que de hockey. Même les personnes que le hockey n’intéresse pas ne peuvent rester indifférentes. Les anciens partisans des Nordiques comme moi ont presque tous été convertis. Les gens mettent des drapeaux des Canadiens sur leur voiture et portent fièrement le chandail et des accessoires aux couleurs de la sainte flanelle. Les gens chantent dans leur voiture « olé, olé, olé, olé » et klaxonnent avec enthousiasme. Les amateurs de sports à la radio avec Ron Fournier appellent en grand nombre pour faire part de leurs joies, des bonnes décisions de l’entraîneur, de leurs opinions et de leurs frustrations.

Lorsque l’équipe de Guy Carbonneau et de Bob Gainey gagne c’est la population tout entière qui gagne. Lorsque l’équipe perd et joue mal, c’est tout le Québec qui est triste. Les Canadiens n’est pas qu’une simple équipe de hockey, c’est notre équipe. Écoutez les gens parler entre eux et vous remarquerez qu’ils disent des choses comme « Nous avons gagné hier soir. On a joué tout un match ! » ou encore « Nous avons oublié de nous présenter hier soir ». Les gens utilisent le NOUS comme s’ils faisaient eux-mêmes partie de l’équipe au même titre que les Kovalev, Koivu, Markov, Komisarek et Price… INCROYABLE !

Vous êtes-vous déjà posé la question à savoir pourquoi le Québec tout entier vivait un si grand débordement d’enthousiasme ? Voici quatre constatations que j’ai faites :

1. Une des raisons pourquoi la population est si enthousiaste c’est que tout le monde ensemble a l’impression d’avoir but commun, soit de gagner la couple Stanley, l’emblème sportif le plus prestigieux au pays. Est-ce que tous les membres de votre organisation ont l’impression de travailler ensemble vers un même but commun ?

2. Une autre raison qui contribue au phénomène hockey est le très grand sentiment de fierté que les gens éprouvent à la suite d’une victoire ou des victoires du Tricolore. Les gens aiment gagner. C’est bon pour l’ego et l’orgueil. Ça augmente notre confiance et notre estime personnelles. Donnez-vous aux gens qui font partie de votre équipe l’occasion de gagner, de remporter des victoires, des trophées et d’éprouver un très grand sentiment de fierté ?

3. La rivalité entre les équipes de la ligue nationale de hockey apporte sans contredit un élément d’excitation supérieur. Nous nous plaisons par exemple à « détester » Toronto. Nous éprouvons même du plaisir au fait qu’ils n’ont pas réussi à faire les séries éliminatoires cette année. Ce sont quant même eux qui nous ont battus lors de notre dernier match l’année dernière et qui nous ont empêchés ainsi que nos Canadiens de participer à la ronde du printemps. Avez-vous implanté une saine rivalité amicale avec les compétiteurs dans votre industrie ou à l’intérieur même des différentes équipes ou départements qui travaillent chez vous ?

4. Les traditions, les rituels et les cérémonies tels que : « les méchants mardis », la coupe Molson remise au joueur du mois, les trois étoiles du match, les pools de hockey, le tournoi de golf annuel, la visite des joueurs à l’hôpital Ste Justine, la fondation du Canadiens pour les enfants, le retrait des chandails et l’introduction au temple de la renommé des meilleurs joueurs de l’histoire de l’équipe, contribuent au succès marketing extraordinaire de l’équipe. Quels sont ou quels pourraient être les traditions, les rituels et les cérémonies importantes dans votre organisation ?

Le phénomène que nous vivons présentement à Montréal a beaucoup à nous apprendre et peut certainement contribuer à aider nos organisations à être plus efficaces et performants. Avoir des buts communs, inculquer un sentiment de fierté, instaurer une saine rivalité et des traditions sont les éléments d’une recette gagnante pour susciter l’enthousiasme et la motivation dans votre organisation.

Go HABS Go! Go HABS Go! Go HABS Go!

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4/07/2008

L'anticipation : La clé du bonheur

On me pose souvent la question suivante : « Patrick, c’est quoi le truc ou la clé magique pour être heureux ? » Bien entendu, plusieurs facteurs entrent en ligne de compte comme vivre en accord avec ses valeurs les plus importantes, mais un des éléments les plus importants afin d’être heureux est, selon moi, d’avoir des buts, des rêves ou si vous préférez des projets à réaliser.

Earl Nightingale est l’un de mes auteurs préférés. Dans son classique « Lead the field », il définit le succès comme étant « la réalisation progressive d’un but qui nous tient à cœur ». Le mot le plus important dans sa définition est le mot « progressive ». C’est-à-dire ce qui nous rend le plus heureux dans la vie ce n’est pas la possession mais l’anticipation.

Oui il existe un bonheur certain que d’apprécier ce qu’on a déjà; notre santé, notre famille, nos amis, notre demeure, etc., mais il ne s’agit pas d’un bonheur durable. Le vrai bonheur réside dans l’anticipation de ce qu’on n’a pas encore atteint. C’est l’anticipation, le suspense, la perspective, le peut-être que et l’espoir qui nous allument, nous excitent et nous stimulent le plus.

Les alpinistes vous le diront tous. Ce n’est pas d’arriver au sommet de la montagne qui est le plus satisfaisant, mais l’anticipation du voyage et l’ascension elle-même. C’est réussir à traverser les nombreuses épreuves pour arriver au sommet qui procure le plus grand sentiment de satisfaction. Une fois rendus au sommet, c’est bien, mais les alpinistes ne restent pas là trop longtemps. Ils admirent le paysage, ils redescendent et ils se fixent aussitôt comme but d’escalader une autre montagne. C’est l’anticipation d’une autre conquête qui continue à faire brûler la flamme en eux.

Réfléchissez un instant à ceci... Quand êtes-vous le plus heureux et le plus excité, alors que vous avez les deux pieds dans le sable sur une plage du sud, une semaine après votre voyage alors que vous montrez vos photos de voyage à vos amis ou bien un mois, une semaine, une journée, une heure ou une minute avant le décollage de votre avion ? Avant bien sûr. Ce qui me fait dire que pour être toujours heureux durant toute votre vie, vous vous devez d’avoir constamment ce sentiment d’expectative positif vivant à l’intérieur de vous.

D’ailleurs, La Sagouine, Antonine Maillet de Bouctouche au Nouveau-Brunswick, exprimait très bien cette vérité. La Sagouine disait : « Le bonheur ce n’est pas de l’avoir, c’est savoir qu’on va l’avoir ! »

La première chose que vous devriez faire au retour d’un voyage est de commencer à planifier votre prochain voyage, même s’il ne va avoir lieu que dans six mois ou un an. Pendant toute cette période, vous allez être heureux puisque vous serez en mode anticipation.

Alors si on me demande quelle est la clé du bonheur, je répondrai très certainement que c’est d’avoir des objectifs et d’anticiper leurs réalisations. Avez-vous de grands buts, de grands rêves ou de grands projets que vous anticipez réaliser dans votre vie actuellement ? Si oui, vous êtes probablement une personne très heureuse. Si non, vous savez quoi faire !

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3/31/2008

Comment obtenir les conseils d'un mentor

Les gens qui ont du succès se font souvent demander des conseils gratuits. Je ne parle pas d’un simple conseil lors d’une rencontre informelle ou d’une petite question via le courriel, mais je parle d’une demande du genre : « J’aimerais qu’on aille dîner ensemble afin que tu puisses me donner quelques conseils sur comment faire ce que tu fais. »

Évidemment de telles demandes sont très flatteuses pour l’ego, surtout au début. Le simple fait qu’une personne vous estime assez pour vous demander conseil, wow! Mais lorsque que la fréquence de ces demandes augmente, ça peut devenir problématique.

Voici à cet effet 10 conseils si vous désirez obtenir les conseils d’un mentor.

1. Identifiez les personnes que vous admirez le plus et qui sont le plus susceptible de vous aider à atteindre vos objectifs. Faites-vous une liste d’au moins cinq noms et contactez d’abord le #1 sur votre liste, ensuite le #2 et ainsi de suite.

2. Dans la mesure du possible, essayez de vous faire présenter par une connaissance mutuelle. Ça rassure un mentor de savoir qu’il n’aura pas affaire à une personne qui lui fera perdre son temps. La personne qui vous présente se porte en quelque sorte garante de vous.

3. Pensez de quelle façon vous pourriez aider la personne que vous désirez rencontrer. Possédez-vous un talent ou une habileté dont vous pourriez lui faire profiter gratuitement (correcteur, traducteur, graphiste, spécialiste Internet, photographe, etc.) ? Pourriez-vous lui offrir vos services pour quelques heures gratuitement ? Connaissez-vous des clients potentiels à lui présenter ?

4. Respectez le fait qu’une personne refuse de vous rencontrer. Cette dernière n’a aucune obligation envers vous. Les personnes qui ont du succès ont le même nombre d’heures dans une semaine que vous et elles sont probablement plus occupées que vous. Si elles décident de passer 90 ou 120 minutes avec vous, c’est 90 ou 120 minutes de moins qu’elles auront pour faire grandir leur entreprise, pour servir leurs clients, pour faire du développement personnel, pour faire du sport ou pour passer avec leurs amis et les membres de leur famille. Si une personne refuse de vous rencontrer ce n’est pas qu’elle ne veuille pas vous aider, c’est qu’elle a probablement d’autres priorités plus importantes à ses yeux.

5. N’hésitez pas à débourser de l’argent afin de pouvoir profiter des conseils d’un mentor ou d’un coach. Suite aux nombreuses demandes de gens qui me contactent à chaque semaine et qui veulent « aller dîner avec moi », j’ai décidé l’an dernier de mettre sur pied un programme de coaching (détails sur mon site Internet) . Ce que j’adore avec ce programme c’est que les gens qui y participent sont beaucoup plus sérieux et motivés à mettre en action les idées que je leur partage. J’embauche personnellement plusieurs coachs à chaque année et les résultats sont plusieurs fois supérieurs à ce qu’il m’en coûte.

6. Lors de votre rencontre avec un mentor, passez plus de temps à écouter qu’à parler. Ce dernier n’est pas intéressé à ce que vous preniez 20 minutes pour lui raconter votre vie et pour lui énumérer toutes les raisons pour lesquelles vous n’avez pas encore le succès que vous méritez. Malheureusement plusieurs personnes ne cherchent pas des conseils mais plutôt de la validation. Plutôt que se faire dire quoi corriger, elles préfèrent se faire dire qu’elles vont déjà très bien.

7. Payez l’addition ! L’an dernier un homme m’invite à dîner afin de me demander des conseils sur comment réussir comme conférencier professionnel. Après 90 minutes et après lui avoir donné des douzaines de conseils gratuits que j’ai mis douze années à apprendre, la serveuse nous demande si elle faisait une ou deux additions, l’homme a répondu : « Deux additions s.v.p. ». Ne faites jamais cette erreur, payez toujours l’addition à quelqu’un qui vous prodigue des conseils gratuitement.

8. Passez à l’ACTION. La journée même ou le lendemain au plus tard, mettez en pratique quelques-unes des idées apprises de votre mentor. Plus vous attendrez pour agir sur vos nouvelles idées, moins grandes seront les chances que vous les mettiez en exécution.

9. Envoyez à votre mentor une note de remerciement et d’appréciation dans les 48 heures suivant votre rencontre. Il peut également s’agir d’un cadeau comme un certificat cadeau dans un restaurant ou pour un massage par exemple. Remerciez-le pour sa générosité et assurez-lui que vous avez bien l’intention de mettre en application les idées qu’il a si gentiment partagées avec vous.

10. Faites un court suivi par courriel, quelques semaines ou quelques mois après votre rencontre, et faites connaître vos réalisations à votre mentor. Si vous démontrez à votre mentor que vous êtes sérieux et que vous mettez vraiment en application ses recommandations, il voudra probablement vous aider davantage car il sait qu’il ne perd pas son temps avec vous.

Le temps est l’actif le plus important des gens qui ont beaucoup de succès. Pouvoir obtenir quelques minutes ou quelques heures en compagnie d’un mentor est un privilège. Afin de jouir de ce privilège, mettez en action les 10 conseils mentionnés précédemment. Les idées que vos mentors partageront avec vous pourraient vous aider à réaliser tous vos objectifs.

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3/25/2008

Avec le "guts" et l'Internet, tout est possible

Il y a quelques mois seulement Paul Potts était vendeur de téléphones cellulaires en Grande-Bretagne. La semaine dernière Paul Potts venait charmer les Montréalais devant une salle bondée de fans à la salle Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts. Le nouveau chanteur d’opéra a séduit ses nombreux fans.

L’histoire derrière l’ascension de cette nouvelle star internationale est vraiment exceptionnelle. Il y a quelques mois à peine personne ne se serait douté qu’il deviendrait une grande vedette de la chanson, sauf peut-être lui-même…

L’an dernier Paul Potts s’est inscrit au concours « Britain’s Got Talent ». Il a tout simplement épaté la galerie. Grâce à l’Internet, les images de sa brillante performance ont fait le tour de la planète. Vous avez sûrement vu, comme 20 millions d’autres personnes, le clip vidéo sur le site de YouTube. Je l’ai écouté personnellement à quelques reprises et j’en avais des frissons à chaque fois.

Après avoir signé un important contrat avec une maison de disques majeure, Potts sortait à la fin de l’été 2007 l’album « One Chance ». En très peu de temps, plus de deux millions de copies se sont envolées faisant de lui un millionnaire… Wow, quelle histoire exceptionnelle d’autant plus que bien des critiques d’opéra s’entendent pour dire qu’il ne fait pas partie des plus grands chanteurs d’opéra.

Aux Etats-Unis, Facebook est un autre exemple éloquent. À peine âgé de 19 ans, étudiant à Harvard, Mark Zuckerberg a l'idée de lancer un réseau social des étudiants et il programme dans sa chambre d'étudiant la première version de Facebook, dévoilée en février 2004. Le succès a été immédiat auprès des autres élèves de l'université et très vite Facebook s'est répandu aux autres écoles, avant d'être diffusé au grand public. En 2007 Facebook est devenu le septième site Web le plus visité et la société est estimée à 15 milliards de dollars US. Mark Zuckerberg possède encore 20% des parts de sa société dont il est le Chief Executive Officer.

Au Québec, Michel Beaudet est le concepteur des clips humoristiques Les Têtes à Claques. Après avoir fait carrière en publicité, Michel Beaudet tenta de créer des vidéos éducatives avec des personnages animés sur Internet. Après avoir tenté d'animer des grenouilles en pâte à modeler dans un clip, il s'amusa à les faire flatuler dans l'eau. Il mit sa bouche et ses yeux numériquement sur les images de grenouilles et il a improvisé un texte. Après avoir terminé ce clip, Michel Beaudet l'a alors envoyé par courriel à une cinquantaine d'amis et à de collègues publicitaires.

Il créa le site Têtes à claques le 16 août 2006 et un mois plus tard, en septembre 2006, le site comptait 500 000 visiteurs uniques alors qu'en novembre de la même année, le site en comptait 3,2 millions et le site qui continue toujours de proliférer. Très vite popularisé grâce à l'Internet, le site connaît, aujourd¹hui, un très grand succès. Certains des clips animés sont diffusés à la télévision, par la chaîne française Canal+ depuis janvier 2008 et à la chaîne québécoise Radio-Canada depuis le 17 décembre 2007. Au début du mois de juillet 2007, la valeur monétaire du site Web était estimée à 12M$.

Alors si une personne peut passer de simple vendeur de téléphones cellulaires, d’étudiant universitaire ou de publicitaire à quelqu’un ayant un succès international en très peu de temps grâce à son « guts » et la magie d’Internet, je me dis que tout est possible pour vous et moi.

Quel talent sommeille en vous et qui ne demande qu’à être exploité ? Quelle idée brillante pourriez-vous faire découvrir au monde entier ? Allez, allez, je sais que vous avez un talent et des idées inexploités. Nous en avons tous. Ayez le « guts » d’exploiter votre talent et vos idées plus à fond et passez à l’action. Inscrivez-vous à des concours dans votre domaine d’expertise et/ou exploitez la force extraordinaire de l’Internet. Vous n’avez même pas besoin d’être le meilleur au monde dans ce que vous faites. Ce qu’il faut surtout c’est du « guts ». Peut-être serez-vous le prochain Paul Potts, Mark Zuckerberg ou Michel Beaudet ?

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3/17/2008

7 initiatives pour être plus heureux

Vous arrive-t-il d’avoir de moins bonnes journées ? Pour des raisons que vous ignorez, vous sentez-vous parfois plus irritable, susceptible et colérique qu’à l’habitude ? Comment faire alors pour changer votre état d’esprit ? Existe-t-il des moyens, des trucs et des remèdes miracles ?

Voici à cet effet 7 initiatives pour être plus heureux en tout temps.

1. Bougez

Dans le mot émotion, il y a le mot motion. Le simple fait de bouger votre corps vous fera sentir mieux. En tout temps, lorsque vous vous sentez plus ou moins bien, bougez ! Faites dix « jumping Jack » par exemple et je vous garantis que vous vous sentirez mieux instantanément. Essayez-le maintenant et vous verrez. Allez, allez, personne ne vous regarde ! Alors comment vous sentez-vous ?

2. Allez marcher dans la nature

Si possible allez prendre une marche dans la nature. En plus de bouger, profitez-en pour sentir la chaleur du soleil sur votre visage, admirez les paysages, regardez et sentez les fleurs l’été et écoutez les bruits des oiseaux et de l’eau qui coule sur les roches dans un ruisseau. La nature est tellement apaisante et adoucissante.

3. Respirez mieux

Pourquoi les fumeurs aiment tant fumer ? Ils vous diront tous que la cigarette les aide à relaxer. Une bonne partie de leur relaxation provient du fait que lorsqu’ils fument, ils respirent différemment. Ils inspirent profondément et ils expirent lentement. Faites la même chose mais sans cigarettes évidemment. Le dos bien droit, confortablement assis sur une chaise, les yeux fermés, prenez de grandes respirations. Inspirez lentement par le nez jusqu’à ce que vos poumons soient remplis d’air, retenez votre respiration pendant cinq secondes et expirez doucement par la bouche jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’air dans vos poumons. Répétez cet exercice pendant deux minutes et observez le sentiment de bien-être vous envahir.

4. Écoutez de la musique de qualité

La musique a des effets prodigieux et incroyables. Apportez votre Ipod avec vous partout, particulièrement si vous empruntez le transport en commun pour vous rendre et revenir de votre travail. Coupez-vous des bruits ambiants et savourez votre musique préférée. La musique a le pouvoir de changer l’état d’esprit d’une personne en un instant. La musique, c’est vraiment magique.

5. Riez

Le rire est l’une des meilleures façons pour changer votre état d’esprit. Les enfants l’ont bien compris eux qui rient en moyenne 400 fois par jour alors que les adultes rient en moyenne seulement 15 fois par jour ! Écoutez des émissions comme « Rire et Délire » à la télévision. Allez au cinéma et choisissez des comédies. Au moins une fois aux deux mois, allez voir des humoristes en spectacle. Les gens heureux rient souvent. Riez-vous souvent ?

6. Lisez des livres de motivation

La prochaine fois que vous ne vous sentirez pas bien, achetez-vous un bon livre de motivation. Après quelques pages seulement, votre estime de vous-même sera plus élevée et vous vous sentirez inspiré et animé par un désir d’agir sur vos rêves. Vous croirez que tout est possible et vous penserez désormais à vos projets plutôt qu’à vos problèmes !

7. Pensez aux gens dans le besoin

Le simple fait que vous êtes en train de lire cet article suggère que vous êtes une personne privilégiée. Prenez conscience que des centaines de milliers de personnes sont sans abris, malades et qu’elles se meurent de faim à chaque jour. Faire preuve de compassion envers les personnes qui sont moins fortunées que vous vous fera instantanément vous sentir bien et reconnaissant envers l’univers. Lorsqu’on ne se sent pas bien, c’est souvent parce qu’on pense trop à soi.

Vous serez d’accord pour dire que les actions mentionnées précédemment sont simples et faciles à mettre en application. C’est ce qui fait la beauté de la chose. Changez votre état d’esprit afin de vivre le bonheur instantanément est plus facile que bien des gens ne le pensent. Vous êtes responsable de votre bonheur et personne d’autre. Agissez sur les sept initiatives précédentes et choisissez d’être heureux maintenant !

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3/10/2008

Changez votre discours intérieur et devenez riche

Dans la vie, vous devenez exactement ce que vous croyez être capable de devenir. Croyez-vous en vous-même ? Croyez-vous vraiment que vous pouvez accomplir tout ce que vous désirez dans la vie ? Croyez-vous que vous pouvez être riche ? Si vous désirez obtenir plus de succès dans quoi que ce soit et faire plus d’argent, il est impératif de cesser de douter de vous-même et de changer votre discours intérieur.

Les psychologues affirment que nous avons plus de 50 000 pensées par jour. Selon ces mêmes psychologues, 80% de ces pensées sont malheureusement négatives. Je vous pose une question : « Qui est votre pire ennemi ? » La réponse ? Vous-même ! Vous êtes votre pire ennemi. Vous n’avez pas à chercher très loin.

Oui la confiance en soi vient d’abord d’un apprentissage, de la pratique et de petites victoires successives, mais ce qui m’intéresse depuis toujours c’est que passé un certain niveau, qu’est-ce qui permet à certains individus de risquer plus et d’accomplir plus que d’autres ? Qu’est-ce qui donne par exemple le courage à des individus de quitter des emplois sécuritaires pour lancer leurs propres entreprises et amasser une fortune ? En d’autres mots, où vont-ils chercher cette énorme confiance en eux ?

La réponse vient tout simplement de la force de leur discours intérieur. En effet, ces personnes ont compris avec les années que ce sont leurs pensées qui déterminent leur état d’esprit et comment ils se sentent à tout moment. Elles ont compris que si elles entretenaient des pensées de doute et de crainte par rapport à n’importe quoi, c’est ce qu’elles attireront à elles. Elles s’efforcent donc de bien choisir leurs pensées. Elles chassent les pensées négatives de leur esprit et elles se concentrent sur tout ce qui est positif à la place.

En effet, l’univers s’arrange toujours pour obéir à nos pensées dominantes. C’est ce qu’on appelle la fameuse loi d’attraction dont il est question dans le « best seller » Le Secret. Vous devenez ce à quoi vous pensez et ressentez la majorité du temps.

Parlons d’argent un peu si vous le voulez bien. Croyez-vous à l’affirmation suivante « L’argent ne fait pas le bonheur. »

Si vous avez répondu oui et que vous croyez vraiment que l’argent ne fait pas le bonheur, cessez de vous poser des questions sur votre difficulté à attirer de l’argent dans votre vie ! Remarquez que l’affirmation n’était pas « Seul l’argent fait le bonheur », mais bien « L’argent ne fait pas le bonheur ». Il est impossible de matérialiser quelque chose de l’extérieur, de l’argent par exemple, si vous avez des croyances intérieures conflictuelles. Vous auriez intérêt à commencer immédiatement à croire que oui l’argent contribue au bonheur.

Que vous le vouliez ou non, vos croyances fondamentales travaillent pour et contre vous depuis les profondeurs de votre subconscient. Pour la plupart d’entre vous, ces croyances proviennent de votre jeunesse et ne sont plus pertinentes à votre vie actuelle d'adulte mais elles sont là comme des virus informatiques qui n'attendent qu’à être activés ou réactivés encore et encore jusqu'à ce que vous choisissiez d'y faire le ménage. Pourquoi donc ne pas faire ce ménage immédiatement ? Changez votre discours intérieur et devenez riche.

Voici quelques autres croyances populaires à l’égard de l’argent. Voyez si vous avez déjà ressenti ou que vous vous êtes déjà dit une de ces phrases dans votre tête :

  • L’argent ne pousse pas dans les arbres… dans le sens de l’argent est difficile à gagner ;
  • Ça prend de l’argent pour faire de l’argent… dans le sens de… je ne peux pas faire beaucoup d’argent parce que j’en ai pas beaucoup ;
  • Les gens riches font leur fortune sur le dos des autres ;
  • Il faut travailler fort pour gagner de l’argent ;
  • Ça va me prendre du temps avant de me sortir du trou ;
  • C’est trop cher… non, c’est vous qui gagnez pas encore assez ! ;
  • Si j’avais une meilleure éducation, je pourrais gagner plus d’argent ;
  • Si j’étais (à Montréal, plus âgé, plus jeune, un blanc, un homme, etc.) je gagnerais plus.
  • L’argent me glisse entre les doigts ;
  • Je me sens coupable lorsque je gagne beaucoup d’argent et que je travaille peu ;
  • Il est MAL de concentrer ses efforts à faire de l’argent ;
  • Je ne suis pas assez BON pour gagner un gros salaire ;
  • Désirer vouloir faire plus d’argent c’est être cupide, avide, égoïste et gourmand ;
  • Je dois être pauvre afin d’être humble ou près de Dieu ;
  • Il est normal que je sois pauvre, mes parents l’étaient ;
  • J’ai peur de manquer d'argent ; et
  • Plutôt que de me réjouir et de les féliciter, je ressens de la rancœur et de la jalousie envers ceux qui connaissent le succès financier.

Alors, est-il temps de faire le ménage dans votre esprit ? Est-il venu le temps de vous débarrasser de certaines de vos croyances par rapport à l’argent ?

Tiens, j’ai une question pour vous. Une question extrêmement importante en fait. Soyez très honnête en y répondant. Combien d’argent croyez-vous gagner l’année prochaine ? 50 000, 100 000, 250 000, 500 000, un million de dollars ? Je ne parle pas ici du montant que vous aimeriez gagner, mais bien du montant que vous croyez vraiment pouvoir gagner. C’est quoi le plafond que vous vous imposez !

Voyez-vous, vous ne gagnerez jamais 100 000$ par année si, à l’intérieur de vous, vous croyez en mériter seulement 50 000$. Réalisez-vous que vous vous imposez vous-même vos propres limites ?

Dites-vous que si une autre personne l’a déjà réussi avant vous, vous également vous pouvez le faire. La différence entre le succès des uns et les performances moyennes des autres ne réside pas dans leurs capacités mais surtout dans la qualité de leur discours intérieur.

Afin d’augmenter votre confiance en vous-même, commencez par changer votre discours intérieur. Parlez-vous positivement et croyez en ce que vous dites. Créez-vous des affirmations positives que vous lirez avec conviction à plusieurs reprises au cours de la journée. Par exemple : « Je suis un excellent (mentionnez ici votre métier) et je gagne joyeusement 100 000 dollars par année ou plus », « L’argent est bon et j’en attire facilement et aisément à moi », etc. À force de répéter ces mots, votre subconscient attirera comme un aimant les gens et les circonstances nécessaires à votre épanouissement et à l’atteinte de vos objectifs financiers.

Les gagnants pensent et parlent de ce qu’ils veulent dans la vie et ils obtiennent ce qu’ils veulent. Les perdants pensent et parlent de ce qu’ils ne veulent pas dans la vie et ils obtiennent encore plus de ce qu’ils ne veulent pas. Si vous désirez avoir beaucoup de succès dans la vie, augmenter votre confiance en vous et devenir riche, faites bien attention à votre discours intérieur, n’oubliez pas que vous êtes votre pire ennemi. Changez votre discours intérieur et devenez riche.

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3/03/2008

L'amitié et le gros fun noir !

C’est quand la dernière fois où vous avez vraiment eu du fun ? C’est quand la dernière fois où vous avez organisé une activité extraordinaire avec vos amis ? Je ne parle pas ici d’un simple souper dans un restaurant, mais bien d’une activité dont vous garderez des souvenirs pendant plusieurs années ?

Vendredi matin 22 février 2008, après un mois d’envoi de courriel incessant de part et d’autres, enfin la journée du départ était arrivée. Je n’ai presque pas dormi de la nuit. Je me sens comme un enfant la veille du matin de Noël alors qu’il doit déballer tous ses cadeaux.

Depuis un mois déjà que nous préparions et que nous anticipions ce voyage entre « boys ». Un week-end de motoneige dans les Laurentides. Une expédition qui devait nous mener de Ste-Marguerite du Lac Masson à Mont-Laurier.

La sensation que nous éprouvions tous sur nos "machines" est presque indescriptible. À peine quelques kilomètres parcourus que nous nous regardions tous avec des sourires béats sur le visage. Nous avions tous le même mot pour décrire notre monture « une bombe ! »

Évidemment, il nous est arrivé quelques mésaventures durant notre périple. À un moment donné, nous avons perdu un de nos amis. Après un arrêt, alors qu’il prenait des photos, il a tardé à partir de sorte qu’il a manqué un embranchement. Par chance, nos portables fonctionnaient et nous sommes allés le chercher. Une autre fois, un autre ami trop téméraire est sorti de piste et sa motoneige s’est enfoncée de 3-4 pieds dans la neige. Nous étions six gars à tenter de le sortir de là. Après de multiples tentatives, et 20 minutes plus tard, tous en sueur dans nos habits de neige, nous avons réussi à le sortir du pétrin.

Nous sommes arrêtés dîner dans un relais typique de motoneige. L’odeur du feu de foyer était extraordinaire. En regardant la carte pour savoir où nous étions rendus, nous nous sommes vite rendu compte que notre plan de voyage était beaucoup trop ambitieux. Après trois heures de motoneige, nous n’avions même pas parcouru le ¼ de notre itinéraire. Nous avons donc opté pour passer la nuit près du Mont Tremblant.

Arrivés sur place, après une bonne ronde de négociation avec la gérante d’un complexe hôtelier de St-Jovite, nous avons loué deux magnifiques et immenses condos.

Nous avons pris quelques bières froides entre « boys » alors que nous étions tous en combines. Les gars prenaient des nouvelles les uns des autres, des bonnes et des moins bonnes, comme les accomplissements au travail, les projets d’affaires, la vie amoureuse avec nos copines, les enfants et les futurs enfants, la séparation de l’un, la perte d’emploi de l’autre, le cancer d’un parent, etc. La vie quoi. Quelques-uns essayaient même de refaire le monde au niveau politique !

Enfoncé dans le creux de mon divan, j’écoutais parler mes amis et je réalisais qu’un ami, c’est celui qui t’apprécie pour ce que tu es, t’écoute sans te juger, t’encourage dans tes projets, te pardonne sans que tu ne l’aies demandé, essuie tes larmes lorsque tu pleures, et t’aide à te relever quand tu es tombé. Particulièrement pour les hommes, je réalisais également l’importance de provoquer ce genre d’activités afin de vivre pleinement l’amitié au masculin.

Nous avons pris nos douches et nous sommes partis en taxi au village du Mont Tremblant. Cet endroit est vraiment magnifique ! Après une bonne bouffe dans un restaurant et quelques verres de vin rouge, nous avons couronné la soirée dans une boîte de nuit du village au son de la musique qui nous a fait danser.

Le lendemain matin au réveil, nous avions tous l’impression que quelqu’un nous avait cassé une chaise dans le dos comme dans les films de cow-boy. Nous étions « rackés » pas à peu près ! Nous prenions soudainement conscience que nous n’étions plus des jeunots.

Après un bon déjeuner et deux « Advils » chacun, nous sommes repartis à nouveau sur nos engins à travers les sentiers enneigés des Laurentides. C’était de toute beauté, le givre blanc, sur les branches d’arbres et les sapins, était à couper le souffle. Les montagnes, le ciel bleu, les nuages blancs, les arbres, les champs, les vallées, les lacs et les ruisseaux. Bref, la nature était d’une beauté incroyable ce matin-là et elle nous accueillait à bras ouverts ! Nous avons pris d’autres photos et encore une fois, nous ne cessions de nous rappeler à quel point notre terre est belle et majestueuse.

Nous avons terminé notre magnifique voyage en nous promettant tous de revivre la même expérience l’année prochaine. Nous avons tous été grandement emballés et nous en garderons tous un souvenir impérissable.

Et vous, c’est quand la dernière fois où vous avez vraiment eu un gros fun noir entre amis ? C’est quand la dernière fois où vous avez organisé une activité extraordinaire avec vos amis, une activité dont vous gardez encore des souvenirs incroyables des années plus tard ?

Si vous êtes un homme, organisez dans les prochaines semaines un week-end de « boys ». Planifiez un tournoi de hockey, faites de la motoneige, du ski, de la moto, du golf, de la pêche, ou même un tournoi de poker à Las Vegas !

Si vous êtes une femme, organisez dans les prochaines semaines un week-end entre « girls ». Planifiez aller dans un SPA dans les cantons de l’Est, une soirée pyjama avec du pop corn, une soirée d’échange de recettes de cuisine, une soirée de parade de mode et d’échange de vêtements, faites venir un sommelier pour une dégustation de vin et fromage, louez-vous un chalet dans le nord, un week-end de magasinage à New-York, etc.

L’amitié et le plaisir sont certes deux choses très importantes qui contribuent au bonheur de tout individu. N’hésitez plus un instant et prenez l’initiative au cours du prochaines semaines d’organiser au moins une activité entre amis.


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2/25/2008

"S.v.p. traitez-moi comme un chien !"

Comment réagiriez-vous si votre vétérinaire vous faisait poiroter avec votre animal blessé dans sa salle d’attente pendant 4 heures ? Vous iriez sûrement ailleurs n’est-ce pas ?

Mais ne vous inquiétez pas, ça ne risque pas d’arriver. Les vétérinaires sont trop conscients de l’importance du service à la clientèle s’ils veulent être encore en affaires demain. Mon petit chien Rudy reçoit même à chaque année, une carte d’anniversaire de la part de son vétérinaire !

Il y a deux semaines, lors d’un match de hockey amical, j’ai reçu un puissant lancer frappé sur les deux petits orteils du pied droit. Ouch ! J’ai quitté le match et j’ai mis de la glace à 4 ou 5 reprises pour éviter l’enflure. Après 48 heures, voyant la couleur mauve de mes orteils et que le mal persistait, j’ai décidé de me rendre à la clinique médicale de Blainville. Je sors de ma voiture et je boite jusqu’à la porte. Il y avait une feuille sur la porte me disant qu’ils ne prenaient plus de patient pour le reste de la journée. J’explique ma situation à la réceptionniste, mais il n’y a rien à faire. Elle me dit : « Vous devriez aller à la clinique de Lorraine qui ouvre ses portes à 13h00. »

Je me présente donc à la clinique de Lorraine à 12h40 pour être certain d’avoir un rendez-vous. L’homme a la réception me dit : « Désolé monsieur, mais les rendez-vous sont déjà complets pour la journée. » Je lui réponds : « Ben voyons donc, vous n’êtes même pas encore ouvert ! » « Peut-être devriez-vous aller à la clinique de Blainville. » « J’arrive de là. Ils sont complets et c’est eux qui m’ont suggéré de venir ici ! » « Je vous suggère donc la clinique de Ste-Thérèse. »

Je prends l’adresse de la clinique, je boite jusqu’à ma voiture et je me rends à Ste-Thérèse. Arriver sur place, la réceptionniste me dit : « Désolé monsieur, nous ne prenons plus de patient depuis 10 heures ce matin. Je vous suggère d’essayer la clinique de Blainville ou Lorraine ! »

Ce que j’ai fait ? J’ai cherché de l’information sur Internet sur les orteils cassés et je me suis fait un bandage moi-même ! Apparemment, il n’y a pas grand-chose d’autre à faire.

C’est INCROYABLE ! Non seulement j’ai perdu près de deux heures à courir d’un côté et de l’autre, je n’ai même pas été vu par un médecin. L’URGENCE de l’hôpital, vous allez me dire ? La dernière fois que nous sommes rendu à l’urgence de l’hôpital de St-Eustache, ma copine et moi, nous avons attendu 4 heures avant de perdre patience et de retourner à la maison sans même avoir vu un médecin !

Près de 50% de nos impôts et de nos taxes sert à financer le système de santé. Et quel service avons-nous en retour ? Un service atroce et misérable. Et ce qui est malheureux c’est que si on observe la démographie, cette situation va aller en s’aggravant.

Non, mais le gouvernement nous prennent-ils pour des idiots, des caves ou des imbéciles ? Probablement les trois, vous me direz ! Étant un des peuples les plus taxés au monde, ne serions-nous pas en droit de nous attendre à de meilleurs services ?

Autre chose. Avez-vous remarqué l’état de nos routes au Québec ? Oui nous avons des hivers difficiles, mais plusieurs Etats Américain, comme Vermont par exemple, ou encore l’Ontario connaissent également l’hiver et leurs routes sont de qualité vraiment supérieure aux nôtres. Nous ne sommes pas en Irak ou en Afghanistan, mais à regarder l’état de nos routes, on croirait parfois que oui !

Alors, voici un scénario intéressant. À compter du mois prochain, chaque contribuable décide du montant d’impôt qu’il veut verser au gouvernement en regard des services qu’il reçoit. En d’autres mots, pourquoi devrions-nous continué à payer autant d’impôts et de taxes si les services qu’on reçoit en contrepartie sont absents ou tout à fait médiocres ?

Il est grand temps pour nos dirigeants politiques et nos fonctionnaires de faire un examen de conscience sur la qualité de nos services publics. Si après de maintes tentatives, ils sont incapables d’améliorer la qualité des services offerts à la population, qu’ils diminuent nos impôts et nos taxes et qu’ils se tournent vers le privé. Aucune entreprise privé ne pourrait survivre si elle offrait un service aussi exécrable que nous obtenons présentement. Évidemment, cette solution ne viendra jamais des fonctionnaires eux-mêmes parce que ça voudra dire la perte de leurs postes.

Quand c’est rendu que les animaux comme les chiens obtiennent de meilleurs services que les humains, il est temps de passer à l’action pour faire changer les choses. C’est quand la dernière fois qu’un médecin vous a remercié d’être son patient et c’est quand la dernière fois qu’un médecin vous a envoyé une carte pour votre anniversaire ?

Peu importe dans quel type d’organisation vous oeuvrez, prenez conscience que si vous désirez garder vos clients et rester en affaires, vous devez investir continuellement dans vos relations avec eux, tenir vos promesses et réalisez vos engagements.

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