12/31/2007

15 leçons apprises sur un bateau de croisière afin d’augmenter votre chiffre d’affaires

Du 15 au 22 décembre dernier, ma copine et moi avons fait une croisière de rêve à bord du Carnival Glory. Nous étions 3 500 passagers en plus des 1 200 employés sur ce géant des mers qui est en opération depuis l’année 2003 et qui a coûté plus de 550 000 000 $. Ce fut sans aucun doute l’un des plus beaux voyages de notre vie. Voici 15 leçons que j’ai apprises sur ce bateau, qui vous aideront à augmenter votre chiffre d’affaires.

1. Trouvez-vous une niche

Les bateaux de croisière ont la réputation d’attirer une clientèle plus âgée. Pas chez Carnival. Ils ont trouvé leur niche et ils s’assurent d’en faire mention dans leur nom (Le mot Canival évoque la fête) et leur slogan « The Fun ships ». Il y avait beaucoup plus de familles que de retraités sur le bateau. Leur nom et leur slogan a certes beaucoup influencé mon choix de compagnie de croisière. Essayez-vous de plaire à tout le monde ou avez-vous une niche dans le marché ?

2. Soyez proactif

À chaque jour, les serveurs avaient sur leurs plateaux des boissons préparées d’avance. Ils circulaient parmi les passagers et ils offraient leurs cocktails (payant). Ils n’attendaient pas que les gens se lèvent et aillent s’acheter un « drink » au bar. Les photographes prenaient des photos de tous les passagers en sortant du bateau, libre à nous par la suite d’acheter les photos. Êtes-vous proactif envers vos clients ou plutôt réactif ? Attendez-vous que la « business » vienne à vous ou allez-vous la chercher ?

3. Donnez le goût

J’ai assisté à deux excellentes leçons de golf sur le bateau. Plusieurs personnes se sont ensuite inscrites aux excursions de golf et certaines ont même acheté des bâtons de golf en vente. Ma copine a assisté à un cours de cuisine donné par le grand chef. À la suite de ce cours, nous avons réservé au seul restaurant payant du bateau (un des meilleurs repas de ma vie!). Ma copine a également eu droit à une courte session sur l’entretien de la peau et un mini-facial ce qui a incité plusieurs personnes à prendre des soins de beauté au Spa. Faites-vous goûter vos produits ou services à vos clients afin de leur donner le goût de s’en procurer ?

4. Souriez

Tous les employés sur le bateau avaient toujours le sourire aux lèvres et puisque le sourire est contagieux, les passagers souriaient également. Et comme vous le savez, les gens heureux dépensent plus. Leur sourire constant m’a d’autant plus surpris lorsque j’ai appris que chaque employé n’avait qu’une journée de congé par 14 jours de travail. Et des heures de travail, ils en ont énormément à chaque jour. Est-ce que tous les membres de votre organisation font abstraction de leurs problèmes personnels et ont toujours le sourire en présence de clients ?

5. Créez de l’anticipation

À quelques occasions durant la semaine, alors que nous passions devant la boutique de cadeaux, il y avait des enseignes qui indiquaient une vente 2 pour 1 de 16h00 à 18h00 seulement le lendemain pour certains bijoux. À chaque fois, il y avait une ligne d’au moins 25 personnes qui attendaient le début de la vente dont ma très chère copine. Créez-vous de l’anticipation chez vos clients lors de vos ventes ou lancements de nouveaux produits ?

6. Créez un WOW feeling

Les spectacles et les humoristes le soir offraient une performance à couper le souffle. De plus, à tous les soirs alors que nous revenions du spectacle, notre chambre était refaite. Un animal différent, fait avec des serviettes de bain, nous attendait sur notre lit (un chien, un singe, un éléphant, une grenouille et un cygne). Que faites-vous pour surprendre vos clients afin qu’ils parlent en bien de vous ?

7. Soyez facilement identifiable

Tous les employés sur le bateau portaient des uniformes et des écussons afin d’être facilement identifiables par les passagers. Si vous oeuvrez avec le public, est-ce que les employés de votre organisation sont facilement identifiables par vos clients ?

8. Faites de la propreté une priorité

La propreté partout sur le bateau nous a grandement surpris. La vaisselle sur les tables était enlevée en un temps record. Les chambres étaient faites deux fois par jour. Les piscines étaient vidées et nettoyées à tous les jours. J’ai vu un peintre à tous les jours faire des petites retouches sur le navire. Est-ce que dans l’esprit de vos clients, votre commerce est synonyme de propreté ?

9. Questionnez et écoutez vos clients

Lors du 5 à 7 sur le bord de la piscine, deux musiciens jouaient des chansons qui avaient des airs de vacances. À plusieurs reprises, les musiciens ont demandé si nous avions des demandes spéciales. Les chansons de Bob Marley étaient les plus en demande. Questionnez-vous et écoutez-vous les besoins de vos clients ?

10. Offrez un service exceptionnel

À tous les soirs, notre serveur nous appelait par nos prénoms. À tous les soirs, notre serveur coupait en petits morceaux la nourriture des enfants assis à la table à côté de nous. À tous les soirs, les serveurs se déguisaient, chantaient une chanson et dansaient lors de la période du dessert afin de nous divertir. Après chaque repas, notre serveur conservait notre bouteille de vin et notre bouteille d’eau au frais pour le lendemain. Offrez-vous un service exceptionnel à vos clients ?

11. Embauchez des spécialistes

J’ai été étonné d’apprendre qu’il existe un capitaine pour chaque port. Quitter un port et amarrer des bateaux de cette envergure demande une connaissance approfondie de chaque port et une dextérité exceptionnelle. Une fois le bateau sorti du port, le capitane de chaque port sautait dans un petit bateau qui le ramenait sur terre. Essayez-vous de tout faire vous-mêmes ou déléguez-vous à des spécialistes des tâches plus difficiles ?

12. Soyez ponctuel

Malgré les 3 500 passagers qui descendaient du bateau presque à chaque jour pour aller faire des excursions, le bateau partait toujours à l’heure prévue et il arrivait toujours à l’heure prévue le lendemain pour sa prochaine destination. Un passager qui arrive en retard doit se rendre par ses moyens et à ses frais à la prochaine destination. Respectez-vous toujours le temps de vos clients en étant toujours à l’heure ?

13. Mettez de l’ambiance

Presque partout où nous allions sur le bateau, il y avait de la musique d’ambiance. La majorité du temps, il s’agissait de musiciens « live ». À chaque fois les passagers s’assoyaient et consommaient des boissons de toutes sortes. Les endroits où il n’y avait pas d’ambiance, il n’y avait personne et donc pas de vente. Quel genre d’ambiance règne-t-il dans votre commerce ? Est-ce que vos clients ont le goût de rester plus longtemps et dépenser plus ?

14. Communiquez régulièrement avec vos clients

De retour dans notre cabine pour la nuit, un petit bulletin d’information nous attendait. Il y avait indiqué toutes les activités à venir le lendemain. Évidemment, il y avait quelques petites publicités placées dans les marges qui nous incitaient à consommer davantage (vente de bijoux, excursions à ne pas manquer, casino, etc.). Et vous savez quoi ? Ça fonctionne ! De quelle façon vous y prenez-vous pour communiquer de façon régulière avec vos clients ?

15. Dites merci

Les anciens clients avaient des cartes VIP de couleur or qui donnaient certains petits privilèges comme par exemple d’embarquer et de débarquer du bateau en premier. Il y a également eu une petite réception privée pour les anciens clients afin de les remercier. De quelle façon vous y prenez-vous pour remercier vos meilleurs clients ?

Somme toute, ce voyage a été très relaxant mais aussi très instructif. Vous cherchez de nouvelles idées pour faire croître votre entreprise en 2008 ? Soyez tout simplement un bon observateur. Je vous invite à mettre en pratique toutes les stratégies de commercialisation que j’ai apprises sur le bateau de croisière afin d’amener votre organisation à un autre niveau.

Bonne et heureuse année 2008 !

© 2007 - Conférences et séminaires Patrick Leroux inc. Tous droitsréservés, reproduction strictement interdite sans autorisation de l'auteur.

12/24/2007

Prendre le temps

Bonjour,

Le temps de fêtes est l’un des moments de l’année les plus excitants et les plus joyeux pour plusieurs. La famille, les amis, le père Noël, les cadeaux, la bonne bouffe, les partys et la belle neige blanche. Le temps des fêtes, c’est surtout un moment privilégié dans l’année afin de prendre le temps.

Prendre du temps pour soiLa plupart des gens prennent quelques jours de vacances durant le temps des fêtes. Voici un moment en or pour vous gâter un peu. Quelles sont ces activités que vous aimez faire mais que vous vous plaignez de ne jamais avoir le temps de faire en temps normal ? Allez faire du ski, de la planche à neige ou de la glissade sur tube. Allez patiner, faire de la raquette ou du ski de fond. Allez au cinéma, visiter un spa nordique et faites-vous donner un bon massage. Se gâter est le signe qu’une personne s’aime et qu’elle a une belle estime d’elle-même. Vous aimez-vous assez pour vous gâter ?

Prendre du temps pour sa famille

Organisez des activités en famille durant le temps des fêtes. Demandez à vos enfants ce qu’ils aimeraient faire de spécial. Soyez certains qu’ils auront plein d’idées à vous proposer. Dites aux personnes qui vous sont chères à quel point vous apprécier leurs présences dans votre vie.

Prendre le temps de dire merci

Soyez reconnaissant pour ce que vous avez présentement dans votre vie. Remerciez l’univers pour votre santé, votre famille, vos amis, votre animal domestique si vous en avez un, votre emploi actuel, votre maison, votre voiture, le pays dans lequel vous vivez, etc. Nous sommes extrêmement privilégiés par rapport à de nombreux pays dans le monde et il est bon de prendre le temps de le reconnaître.

Prendre le temps de faire un bilan

Faite la récapitulation de votre année 2007. Relisez votre journal personnel si vous en avez un. Faites-vous une liste des 10 événements qui ont marqué votre dernière année ainsi que les leçons que vous avez apprises. Faire votre bilan vous aidera à voir votre évolution dans la vie et vous permettra surtout de ne pas commettre les mêmes erreurs une deuxième fois.

Prendre le temps de se fixer des objectifs

Prenez un temps d’arrêt pour mettre par écrit vos buts pour la prochaine année. Qu’aimeriez-vous accomplir en 2008 ? Quelles mauvaises habitudes aimeriez-vous éliminer en 2008 ? Affichez ensuite vos buts bien en vue et lisez-les au moins deux fois par jour jusqu’à ce qu’ils se réalisent.

Prendre du temps pour soi et sa famille, prendre le temps de dire merci, de faire un bilan et de se fixer des objectifs donnent un sens à notre vie qui va parfois un peu trop vite. Cette année, oui pensez aux autres, mais faites-vous ce cadeau inestimable qu’est de prendre du temps pour vous.

À vous les 13 085 lecteurs du Bulletin du succès et de mon blogue, je vous dis merci de me lire à toutes les semaines. Je vous souhaite un très joyeux Noël et un très joyeux temps des fêtes.

© 2007 - Conférences et séminaires Patrick Leroux inc. Tous droitsréservés, reproduction strictement interdite sans autorisation de l'auteur.

12/19/2007

Demander pour recevoir

Bonjour ,

Obtenez-vous vraiment tout ce que vous désirez dans la vie ? Si votre réponse est négative, c’est peut-être parce que vous avez peur de demander ce que vous voulez vraiment. D’ailleurs, avez-vous vraiment pris le temps d’identifier réellement ce que vous voulez à l’occasion de Noël et pour le reste de votre vie ?

Comment pouvez-vous être satisfait des différents aspects de votre vie si vous ne savez pas précisément ce que vous voulez ? Cela nécessite une bonne réflexion. L’art de demander ce que vous voulez dans la vie est l’un des plus grands et des plus négligés pouvoirs qui existe afin d’obtenir succès, bonheur et prospérité.

Pourquoi avez-vous peur de demander ?

Les raisons sont variées : nous avons peur d’avoir l’air de mendier, peur d’avoir l’air stupide, mais pour la majorité d’entre nous, c’est la peur du refus qui nous empêche de deman­der et ainsi d’obtenir ce que nous voulons dans la vie. Nous avons tout simplement peur de nous faire dire NON. En fait, en agissant ainsi, nous nous abdiquons nous-mêmes d’avance. Nous disons non à nous-mêmes, avant même qu’une autre personne le fasse.

Face à une demande, n’assumez jamais que vous allez obtenir un non. Prenez toujours le risque de demander ce que vous voulez même si vos chances sont faibles. Si votre interlocuteur vous dit non, vous n’êtes pas pires qu’avant votre demande, non ? Et s’il vous disait oui ?

Ayez le courage de demander tout ce que vous voulez dans la vie. À moyen et long termes, vous pour­riez obtenir le travail, la maison, la voiture, le physique et les amis de vos rêves. Au quotidien, vous pourriez obtenir un escompte sur un achat quelconque, des billets de spectacles gratuits, une meilleure place au restaurant, un rendez-vous galant, qu’un ami garde vos enfants pour la soirée, un massage des pieds, etc.

Soyez spécifiques

Il est toutefois très important que vos demandes soient les plus spécifiques possibles. Vous désirez une nouvelle voiture ? Quelle marque, quel modèle, quelle couleur, quelle année ? Vous désirez perdre du poids ? Combien de kilos et pour quand ? Vous êtes célibataires et vous aimeriez qu’on vous présente un partenaire de vie ? À quoi ressemble-t-il précisément ?

N’oubliez jamais que des demandes vagues produisent des résultats vagues. Vos demandes doivent correspondre à des besoins ou des désirs spécifiques. Aussi, est-il important de faire des demandes claires qui amèneront des réponses claires. Vous devez toujours demander dans le respect de soi et des autres.

Passez à l’action et persévérez

Alors que vous ferez des demandes à l’univers afin d’atteindre vos buts et que vous ferez vos premiers pas, certaines personnes vous diront non. Elles ont peut-être d’autres priorités, d’autres engagements, elles ne vous connaissent pas assez ou il s’agit peut-être tout simplement d’un mauvais moment pour vous répondre positivement. L’important est de réaliser qu’elles ne vous rejettent pas mais bien votre demande seulement.

Habituez-vous aux rejets comme le font les enfants qui veulent une sucrerie au magasin. Ils en font la demande chaque fois qu’ils entrent au magasin, qu’importe s’ils ont reçu plusieurs "non" antérieurement. Ils ne perdent rien à essayer. N’abandonnez jamais lorsqu’une personne vous dit non.

Mais parfois les "non" que vous obtenez sont porteurs de messages. Vous devez appren­dre ce que la vie vous enseigne à travers ces refus répétés. Peut-être votre formulation n’est-elle pas assez claire ou il ne s’agit pas du moment opportun ou vous n’êtes pas assez préparé, il s’agit de la mauvaise personne, etc. ? Peut-être est-ce l’occa­sion pour revoir l’importance de votre demande ? Y croyez-vous vraiment ? Peut-être est-ce aussi un non qui vient marquer un tournant dans votre vie, qui vous oriente autrement et vous enligne dans une autre direction; laquelle, tout compte fait, vous rapportera davantage ?

Un des plus grands secrets du succès dans la vie est de prendre le risque de demander tout ce que vous voulez, d’oser exprimer à l’univers vos rêves et vos besoins. Soyez très spécifiques dans vos demandes, passez à l’action et persévérez jusqu’à l’atteinte des résultats espérés. Essayez cette technique et vous resterez surpris de tout ce que vous obtiendrez de plus et de mieux dans votre vie.

© 2007 - Conférences et séminaires Patrick Leroux inc. Tous droitsréservés, reproduction strictement interdite sans autorisation de l'auteur.

12/10/2007

Comment accueillir vos clients

Bonjour,

Sur une échelle de 0 à 10 comment évaluez-vous la qualité du service à la clientèle dans les entreprises et les organisations au Québec ? Si vous avez répondu plus de 7, vous êtes très généreux. J’aimerais explorer dans cet article un des points les plus importants en ce qui concerne le service à la clientèle soit la façon d’accueillir vos clients au téléphone.

La façon d’accueillir vos clients est vraiment primordiale pour la prospérité de votre organisation. En effet, le client décidera, si oui ou non, il veut faire affaires avec vous et ce dans les premières secondes. Comme vous le savez déjà, vous n’avez jamais une deuxième chance de faire une bonne première impression et ce particulièrement au téléphone puisque le client ne vous voit pas et que votre interaction est généralement de courte durée.

Selon la qualité de votre service à la clientèle, le client décidera s’il veut refaire affaires avec vous dans l’avenir et ainsi devenir loyal. La loyauté de vos clients devrait être votre but ultime en affaires.

L’accueil au téléphone

1. De grâce, ayez un être humain qui répond au téléphone. Il n’y a rien de plus impersonnel et mauvais, en terme de service à la clientèle, que d’être accueilli par un système de réponse automatique. Avez-vous remarqué que plus une organisation semble grande, pire semble être le service à la clientèle à ce niveau ?

2. Combien de coups de sonnerie devriez-vous laisser avant de répondre ? Idéalement, deux coups de sonnerie, trois coups au maximum. Si vous répondez au premier coup de sonnerie votre interlocuteur risque d’être quelque peu déstabilisé. Après les troisième ou quatrième coups de sonnerie, il risque de raccrocher et d’appeler votre compétiteur !

3. Lorsque vous répondez au téléphone, mettez toujours un sourire sur votre visage et de l’enthousiasme dans votre voix. Démontrez votre énergie positive et ayez l’air enchanté qu’un client vous appelle. Vous ne voulez surtout pas donner l’impression aux clients qu’ils vous dérangent, ou encore pire, leur donner l’impression qu’ils appellent dans un salon funéraire… À moins que ça ne soit votre cas !

4. Répondez toujours en vous identifiant. Mentionnez le nom de votre organisation ainsi que votre nom au complet : « Hydro-Québec, Johanne Bastien à l’appareil. » Ou encore « Oui bonjour, ici Patrick Leroux ». Mentionner votre nom humanise la communication.

5. Lorsque vous mettez une personne en attente, mentionnez-lui gentiment : « Avec plaisir, gardez la ligne, je vous communique. » Quelle frustration et manque de respect que de se faire transférer sans avertissement : « J’aimerais parler à M. Tremblay s.v.p. » et vous entendez un « Clok »

6. Si vous savez pertinemment que la personne demandée est occupée ou absente, dites-le au client. Ce dernier évitera de tomber sur une boîte vocale et il voudra probablement parler à une autre personne de votre organisation.

7. Lorsque vous mettez un client en attente, ne le laissez pas croupir là pendant plusieurs minutes. Après 30 secondes, il y a de fortes chances qu’il raccroche. À toutes les 30 secondes maximum, dites-lui que vous ne l’avez pas oublié et la raison du délai. Suggérez-lui de laisser un message à une boîte vocale ou de vous laisser son numéro pour un retour d’appel rapide.

8. Question de politesse à l’égard de vos clients, assurez-vous de terminer vos phrases avant de les mettre en attente et ce même si vous avez plusieurs lignes qui sonnent en même temps.

9. Suite à une demande d’information de la part d’un client, avisez-le toujours de ce que vous êtes en train de faire. Les clients n’aiment pas patienter en silence sans savoir ce que vous faites. N’oubliez pas qu’ils ne vous voient pas. Dites-lui par exemple: « J’ouvre votre dossier à l’instant et je fais une recherche pour savoir si votre commande a bien été reçue et envoyée, ça devrait prendre une dizaine de secondes. »

10. Si jamais vous dites à un client que vous allez le rappeler dans 10 minutes, rappelez-le dans 10 minutes et ce même si vous n’avez pas encore l’information demandée. Un bon service à la clientèle, cela veut dire respecter vos promesses.

11. À chaque fois que vous mettez un client en attente et que vous reprenez la ligne, dites-lui : « Merci d’avoir patienté. » Cette courtoisie élémentaire démontre que vous avez du respect et de la considération pour vos clients.

12. Pendant que le client attend en ligne, il est préférable de lui faire entendre de la musique, un poste de radio ou des publicités de votre organisation ou encore un bip occasionnel que seulement un long silence. Ces bruits rassureront le client à savoir qu’il est toujours en ligne. Évitez également de mettre la paume de votre main afin de cacher l’acoustique de votre téléphone. Utilisez toujours la fonction mise en attente ou garde.

13. Dans l’éventualité d’une absence d’un collègue, il n’est pas toujours nécessaire de donner la raison exacte de l’absence, dites : « Il est en réunion avec des clients » ou encore « Il est à l’extérieur du bureau pour l’instant, puis-je prendre un message ou préférez-vous accéder à sa boîte vocale ? » Offrez toujours l’option de la boîte vocale de la personne que le client tente de rejoindre. De cette façon, le client pourrait laisser un message vraiment détaillé et non seulement son nom et numéro de téléphone. Si les membres de votre organisation n’ont pas de boîte vocale, vous serez perçu comme offrant un piètre service à la clientèle.

14. Avant de transférer un client dans la boîte vocale d’un collègue absent, dites-lui : « Peut-être puis-je vous être utile ou répondre à vos questions ? » Dans bien des cas, vous pourrez répondre sur le champ aux demandes de clients. Vous éviterez ainsi peut-être un jeu de ping-pong téléphonique entre lui et votre collègue.

15. Un client qui appelle ne devrait jamais se faire transférer plus d’une fois à un autre membre de votre organisation. Voyez à ce que tout le monde soit au courant des tâches et responsabilités des autres et que chacun possède une liste avec les numéros de poste de ses collègues.

16. Votre boîte vocale ne devrait prendre des messages que lorsque vous êtes très occupé à travailler sur un dossier prioritaire, vous êtes sur un autre appel ou vous êtes absent. Trop de gens ne répondent presque jamais au téléphone. Vous connaissez sûrement ces personnes qui ne répondent qu’une fois sur dix à vos appels. Après un certain temps, vous vous lassez et décidez de faire affaires ailleurs.

17. Sur le message d’accueil de votre boîte vocale, soyez bref et dynamique. Recommencez-le jusqu’à ce que vous soyez pleinement satisfait. Évitez d’enregistrer un nouveau message d’accueil à tous les jours. En plus d’une énorme perte de temps, combien de fois êtes-vous tombé sur des messages qui disaient : « Bonjour, mardi le 8 avril, vous avez bien joint… », alors que vous étiez le mercredi ou même le jeudi ! Offrez toujours l’option à la fin de votre message, si possible, d’être transféré à une autre personne. Certains clients sont pressés et ils veulent des réponses rapides à leurs questions. Plutôt que de laisser un message, ils pourraient être tentés d’appeler vos compétiteurs.

18. Afin d’éviter que vos clients n’aient à écouter votre long message d’accueil bilingue, donnez-leur l’option de laisser immédiatement leur message : « Bonjour, ici Patrick Leroux. Pour sauter ce message, appuyer sur le carré deux fois. » Vous épargnerez du temps à vos clients réguliers et ils vous apprécieront pour cela.

19. En cas de problème, d’insatisfaction ou de plaintes de la part d’un client, prenez-le en charge. Évitez de simplement transférer son appel à une autre personne. Mettez-le en attente, expliquez à votre collègue la situation de votre client, remettez le client en ligne et dites-lui que vous avez en ligne votre collègue à qui vous avez déjà expliqué le but de son appel.

20. Pour les clients qui vous laissent des messages dans votre boîte vocale, retournez vos appels la journée même. Dans les minutes ou l’heure qui suivent si possible. Si vous êtes à l’extérieur pour plusieurs jours, mentionnez-le dans votre message et spécifiez quand vos appels seront retournés ou prenez vos messages à distance ou faites transférer vos appels sur votre portable ou encore suggérez d’appuyer sur le 0 pour être transféré à une autre personne responsable qui pourra l’aider.

21. À moins d’indication contraire de votre patron, par exemple, si ce dernier veut filtrer ses appels, lorsqu’un client veut parler à une personne spécifique dans votre organisation, ne lui demandez pas le but de son appel. Pensez-y, aimez-vous personnellement vous faire demander par une réceptionniste : « C’est à quel sujet ? ». De plus, les clients détestent devoir répéter une 2e fois le but de leur appel.

22. Dans l’éventualité où un client vous demanderait un prix, ne dites surtout pas : « On ne donne pas de prix au téléphone! » Vous risquez de créer une mauvaise impression et de frustrer votre client. Passez-le à un vendeur ou dites-lui plutôt : « Très certainement, nos prix varient beaucoup en fonction de plusieurs facteurs, est-ce je peux vous poser quelques questions ? » Qualifiez alors le client et décidez par la suite si vous désirez lui donner un prix au téléphone ou l’inviter à passer vous voir en personne.

23. Si votre rôle est de prendre des commandes par téléphone, répétez toujours la commande du client afin d’éviter des erreurs : « Si j’ai bien compris, vous aimeriez avoir 10 exemplaires du livre Pour le Cœur et l’Esprit et 20 exemplaires du livre Le Feu Sacré du Succès, c’est bien ça ? Excellent je vous fais parvenir ça dès cet après-midi. »

24. Avant de raccrocher la ligne avec un client, remerciez-le toujours de son appel. Vous pourriez lui dire quelque chose du genre : « Merci pour votre appel et au plaisir de vous servir de nouveau. »

25. Raccrochez toujours en dernier. Vous vous assurez ainsi de ne pas couper la ligne à un client qui aurait oublié de vous mentionner une dernière chose.

Je vous invite à faire un test dès aujourd’hui. Appelez votre organisation et faites-vous passer pour un client et jugez par vous-même de la courtoisie et de l’efficacité des personnes avec qui vous parlerez. Mettent-ils en pratique les 25 idées ci-dessus ? Rappelez-vous que vous n’avez jamais une deuxième chance de faire une bonne première impression.

© 2007 - Conférences et séminaires Patrick Leroux inc. Tous droits réservés, reproduction strictement interdite sans autorisation de l'auteur.

12/03/2007

La meilleure forme de motivation

Bonjour,

Un jeune homme est venu me voir après une de mes conférences, il y a quelque temps. Avec beaucoup d’énergie et d’enthousiasme il me dit : « Merci Patrick pour ta conférence. Wow, merci de m’avoir motivé aujourd’hui ! » Je l’ai regardé avec un sourire en coin et je lui ai dit : « Je suis vraiment désolé mon vieux si je t’ai motivé aujourd’hui. » Il m’a regardé avec un drôle d’air. J’ai continué en disant : « Je suis désolé si je t’ai motivé aujourd’hui car si je suis la cause de ta motivation, n’importe qui en sortant de cette salle pourrait être ta source de démotivation.»

En effet, la motivation est un feu qui brûle à l’intérieur de nous. Si quelqu’un d’autre essaie d’allumer ce feu sous vos pieds, il y a de fortes chances pour qu’il ne brûle que brièvement.

La carotte et le bâton

Prenons l’exemple de la majorité des employeurs. Ces derniers motivent leurs employés avec la technique de « la carotte et du bâton ». Il s’agit de la même technique utilisée pour faire avancer un âne. Ils offrent des primes de rendement, des bonis et des voyages (carottes) aux plus performants. D’un autre côté, ils menacent de congédiement (bâton) les moins performants.

Est-ce que cette forme de motivation extrinsèque fonctionne ? Bien sûr, mais à court terme seulement. Une fois la carotte mangée et digérée ou une fois que la douleur du bâton sur les fesses est disparue, l’âne retrouve son comportement initial. Afin d’avancer à nouveau, il a besoin d’une autre carotte ou d’un autre coup de bâton.

Motivation intérieure vs extérieure

Prenons un autre exemple. Vous rencontrez votre amie Manon et vous tentez de la motiver à mieux s’alimenter et à arrêter de fumer. Vous lui parlez des inconvénients et des désavantages de la restauration rapide et de la cigarette. Grâce à votre énergie et votre enthousiasme, Manon prend la décision de suivre une diète et d’arrêter de fumer une fois pour toute. Sa motivation dure un bon… 2-3 jours seulement !

Puisque la motivation de Manon provenait de l’extérieur (vous), une autre amie, par exemple, pourrait arriver deux jours plus tard et lui dire : « On doit tous mourir de quelque chose un jour ou l’autre de toute façon et la vie est tellement courte, on pourrait même mourir demain, qui sait ? Vas-y donc, profite-en pendant que tu es là et fais-toi plaisir ! » Et vlan, Manon recommencerait à mal s’alimenter et à fumer.

Par contre, si Manon décide d’elle-même d’arrêter de fumer et que sa motivation provient de l’intérieur, ses chances de succès sont multipliées par 10 ! En effet, quelques semaines plus tard, Manon apprend qu’elle est enceinte de son premier enfant et elle arrête subitement la restauration rapide et elle arrête de fumer. Personne d’autre qu’elle-même ne l’a motivée. Sa motivation provient de l’intérieur et cette fois-ci elle résistera à la tentation de retourner à ses mauvaises habitudes.

Peu importe ce que vous désirez réaliser dans la vie, vous avez besoin de motivation. Cette motivation vous permettra d’accomplir de grandes choses, sans elle toutefois, rien n’est possible.

Prenez donc quelques instants et écrivez au moins 5 à 10 raisons pourquoi vous désirez absolument atteindre vos objectifs. Quels bénéfices en retirez-vous ? Plus vos « pourquoi » seront clairs et plus vous aurez trouvé de bénéfices à la réalisation de vos buts, plus votre motivation sera forte.

Rappelez-vous toujours que la meilleure forme de motivation vient de l’intérieur. N’attendez jamais que quelqu’un vienne vous motiver, car qu’arrivera-t-il si personne ne se présente ?

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11/26/2007

Un mot d'encouragement

Bonjour ,

Connaissez-vous des gens qui se sentent plus ou moins bien dans leur peau et qui auraient besoin d’un mot d’encouragement de votre part ?

Mois de novembre 2003. Je me suis fait inviter pour faire six conférences en trois jours dans la ville de La Tuque. L’entreprise qui m’avait embauchée était le plus gros employeur de la région avec environ 700 employés.

Pendant les trois jours que j’ai passés là-bas, un comité de six hommes se sont occupés de moi : Fernand, Michel, Noël, Guy, Stéphane et Jean. Ils étaient tous des travailleurs dans le domaine des pâtes et papiers. De « vrais » hommes. Très sympathiques et surtout très joviaux. Ils m’ont même fait visiter leur immense usine et j’en ai été très fortement impressionné.

Après ma conférence du soir, ils m’invitaient à manger et prendre une bière avec eux au resto du coin. Je me rappelle qu’ils avaient ri de moi, gentiment, avec ma petite bière. Ils appelaient ça un échantillon ! Eux, ils ne buvaient que de la grosse bière.

J’aime beaucoup les petites villes. Les gens y sont tellement gentils et aimables. Tout le monde semble connaître tout le monde. Les gens se saluent sincèrement et prennent le temps de prendre des nouvelles les uns des autres.

La 3e journée, après ma 6e conférence, alors que je m’apprêtais à revenir chez moi, un des membres du comité m’a dit : « Patrick, est-ce que je peux te parler deux minutes? » Je lui ai dit : « Avec plaisir, de quoi s’agit-il ? »

De tous les hommes du comité, Guy était probablement le plus costaud et le plus « macho » du groupe. Il avait les cheveux mi-longs, une moustache, une bedaine de bière et quelques tatous.
Il me prend par le bras et il m’amène un peu à l’écart. Il me sert la main droite fermement, il met sa main gauche sur mon avant-bras et il me dit : « Merci Patrick. Tu ne peux pas savoir comment ça m’a fait du bien de t’entendre en conférence les trois derniers jours. Vois-tu, il y a un an, mon gars de 16 ans m’a annoncé qu’il était une tapette et je ne l’ai jamais accepté. Il y a six mois, il s’est suicidé. Il s’est tiré une balle. Depuis ce temps-là je me sens tellement coupable, tu ne peux pas imaginer. J’ai même pensé à me tirer une balle moi aussi. Alors que mon fils attendait de moi écoute et encouragement, je l’ai pratiquement renié. Ta conférence m’a fait tellement du bien tu ne peux pas savoir. J’ai compris mes erreurs, tu m’as donné le goût de continuer à vivre et je voulais te remercier personnellement. »

Pour une des rares fois dans ma vie, je ne savais pas quoi dire. Les yeux pleins d’eau, je lui ai simplement fait une accolade et je lui ai dit : « Merci. »

Réalisez à quel point vos mots sont puissants. Vous avez un impact plus grand que vous croyez sur la vie des gens que vous côtoyez à tous les jours que ce soit vos collègues, vos fournisseurs, vos clients, vos amis ou les membres de votre famille.

La prochaine fois que vous vivrez une situation similaire où une personne osera être vulnérable au point de vous confier son homosexualité, sa dépendance affective, sa dépendance à l’alcool, à la drogue, au jeu, au sexe, au magasinage, à la télévision ou autre, s.v.p. rappelez-vous la puissance de vos mots.

Au lieu de les juger, de les rabaisser ou de les diminuer, remerciez-les de se confier à vous et reconnaissez-leur le courage qu’ils font preuve de s’ouvrir à vous. La plupart du temps, ces personnes sont tourmentées et elles ne cherchent qu’une personne à qui se confier et surtout un mot d’encouragement de leur part.

Le plus grand cadeau que vous puissiez faire à une personne est de l’écouter attentivement et de lui donner un bon mot d’encouragement.

Je sais que mon ami Guy regrette amèrement sa réaction et son comportement envers son fils et qu’il agirait différemment si la situation se représentait. Merci Guy de m’avoir partagé ton histoire, ton fils ne reviendra malheureusement pas, mais ton histoire en incitera plusieurs à ne pas commettre la même erreur.

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11/19/2007

Communiqué de presse - La Ministre Boulet : l'aroseur arosé

Pour diffusion immédiate

La Ministre Boulet : l'aroseur arosé

MONTRÉAL, QC, le 19 novembre 2007 – Une équipe du Journal de Montréal a surpris la Ministre des transports du Québec Mme Julie Boulet à commettre plusieurs infractions de la route alors que cette dernière venait présenter un projet de loi pour serrer la vis aux conducteurs délinquants envers le code de sécurité routière. Questionner à ce propos, Mme Boulet, a mis la faute sur le dos de son chauffeur prétendant s’être endormi et n’avoir eu conscience de rien.

Selon l’expert québécois en motivation et auteur du livre Le Feu Sacré du Succès, M. Patrick Leroux, Mme Boulet représente un très bel exemple de mauvais leadership.

« Alors qu’elle devrait être la première à montrer l’exemple, elle est plutôt la première à enfreindre la loi. Les infractions commises par son chauffeur, qui travaille sous sa responsabilité, entache sérieusement son intégrité, sa crédibilité et la réputation de la Ministre. »

Selon M. Leroux : « L’intégrité et la responsabilité sont les plus grandes et les plus respectées des qualités que possède un leader. Les actions de Mme Boulet disent au peuple québécois « Faites ce que je dis et non ce que je fais et si vous vous faites prendre en défaut, mettez la faute sur le dos des autres. Voici un bel exemple de mauvais leadership. De toute évidence la Ministre Boulet ne possède pas les deux premières qualités d’un bon leader », de conclure M. Leroux.

Patrick Leroux CSP est conférencier professionnel et auteur de huit livres sur la motivation et les stratégies du succès.

- FIN -

À propos de Patrick Leroux

Entrepreneur, auteur à succès et conférencier bilingue, les présentations de Patrick Leroux CSP sont reconnues comme étant dynamiques, drôles, touchantes et captivantes. Avec passion, humour et une énergie contagieuse, Patrick aide ses participants à réévaluer leurs croyances limitatives, réelles ou imaginaires, il les amène à prendre leurs responsabilités pour les résultats qu’ils obtiennent dans leurs vies, et à cesser de trouver des excuses pourquoi ils ne vivent pas à la hauteur de leurs capacités.

Pour de plus amples renseignements ou pour une entrevue, veuillez communiquer avec M. Pascal Jetté, relationniste, par téléphone au (514) 954-8964, par cellulaire au (514) 915-2879 ou par courriel au pascal@patrickleroux.com.

Les mots qui font vendre

Bonjour ,

Vous dépensez des milliers de dollars par année dans des campagnes publicitaires ou promotionnelles et vous n’obtenez pas les résultats voulus ? « Quel est le problème ? », vous demandez-vous. Il s’agit probablement des mots que vous utilisez.

La plupart des publicités et des promotions ne parlent que de l’organisation ou des caractéristiques de leurs produits ou services. Prenez-vous vraiment au sérieux une personne ou une organisation qui se vantent d’être les meilleurs, supérieurs ou #1 ?

Vous désirez obtenir plus de succès dans vos campagnes de publicité et de promotion ? Voici le secret… Mentionnez une promesse claire à vos clients actuels et potentiels. Voici trois ingrédients essentiels au succès de votre promesse.

Votre promesse doit être simple

Votre promesse doit être tellement claire et simple qu’elle peut être facilement comprise par un enfant de 6e année.

Votre promesse doit être courte

Votre promesse doit capter l’attention et l’imagination des gens en moins de 10 secondes. Votre promesse devrait tenir dans une seule phrase. Si c’est trop long, les gens vont décrocher.

Votre promesse doit être efficace

Pour être efficace, votre promesse doit avoir un lien direct avec le ou les bénéfices principalement recherchés par votre clientèle cible. Il s’agit ici de la clé de votre succès. Que veulent vraiment vos clients ? La plupart du temps, ils veulent soit augmenter leur plaisir ou diminuer leur souffrance.

Voici quelques exemples de promesses qui ont bien fonctionné ou qui fonctionnent encore très bien pour de grandes entreprises :
  • Domino’s pizza : « Livrer en 30 minutes ou c’est gratuit. »
  • Wal-Mart : « Le meilleur choix au plus bas prix. »
  • CKOI : « Plus de hits, plus de fun. »
  • Fe/Dex : « Quand votre colis doit être absolument livré le lendemain matin. »
  • Maxi : « Le panier le moins cher. »
  • Journal de Montréal : « Pour vendre vite, vite, vite. »
Voici d’autres exemples de promesses utilisées par des individus afin de promouvoir leurs produits ou service et qui ont déjà obtenu beaucoup de succès dans le passé :
  • « Votre maison vendue en 90 jours ou je l’achète ! »
  • « Comment se faire des amis et influencer les autres »
  • « Comment j’ai amélioré ma mémoire en une soirée. »
  • « Garantie de passer à travers la neige, la glace ou la boue ou nous payons le remorquage. »
  • « Comment j’ai fait fortune avec une idée folle. »
  • « 161 façons de gagner le cœur d’un homme. »
  • « Pourquoi certaines personnes font presque toujours de l’argent en bourse. »
  • « Comment perdre 21 livres en 21 jours. »
  • « Garantie de satisfaction à 100% ou c’est gratuit. »

Toutes ces promesses ont les trois caractéristiques suivantes : elles sont simples, courtes et surtout très efficaces.

Personnellement mon nouveau slogan est « Du confort à l’engagement ». Ma promesse aux clients qui m’embauchent est que suite à ma conférence, les participants vont sortir de leur zone de confort et ils s’engageront vers l’atteinte de leurs objectifs.

Prenez un temps d’arrêt et réfléchissez à votre situation actuelle. Que ce soit pour vos publicités, votre matériel promotionnel, votre site Internet ou vos présentations de ventes, utilisez-vous des mots qui font vendre ? Avez-vous une promesse qui est simple, courte et efficace ? Agissez de la sorte et observez vos ventes exploser !

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11/12/2007

Êtes-vous dû pour changer de pot ?

Bonjour ,

Mon grand-père maternel, pépère Houle comme on l’appelait affectueusement, avait comme plus grande passion son jardin. Son jardin était tellement important pour lui. Il était aussi grand qu’un terrain de tennis. Du matin au soir, il y mettait tellement d’heures et d’amour c’était incroyable.

Encore aujourd’hui, l’image que je garde de mon grand-père est celle d’un homme tout en sueur à genoux dans le milieu de son jardin à prendre soin de ses légumes, de ses plantes et de ses fleurs.

À sa mort en 1992, à côté de son cercueil, mon oncle André qui était fleuriste, lui avait confectionné un immense jardin en fleurs. Que c’était magnifique ! Aussitôt que j’ai vu ça j’ai pleuré à chaudes larmes. Ce jardin représentait tellement bien sa vie.

Au milieu de l’hiver, alors que j’étais en visite chez mon grand-père, je devais avoir environ 10-11 ans, mon grand-père s’est mis à sortir de leurs pots presque toutes ses plantes qu’il gardait à l’intérieur de leurs pots. Je lui ai demandé : « Pourquoi fais-tu ça pépère ? Tes belles plantes vont toutes mourir ! » Et mon grand-père, de me répondre : « Mais non mon petit gars, ne t’en fais pas. Pépère ne tue pas ses plantes. Je leur redonne la vie. Tu vois, toutes les plantes doivent être replantées dans d’autres pots plus grands si on veut qu’elles grandissent. »

À l’époque je n’avais pas très bien pas compris cette métaphore, mais maintenant si. Nous également comme êtres humains, si nous voulons grandir, nous devons changer de pot régulièrement. Mais changer de pot est différent d’une personne à l’autre. Pour vous, changer de pot pourrait être de :

  1. Changer vos habitudes alimentaires;
  2. Recommencer à faire du sport régulièrement;
  3. Cesser de fumer;
  4. Subir cette opération que vous ne cessez de remettre;
  5. Fonder une famille;
  6. Mettre fin à une relation toxique qui dure depuis trop longtemps;
  7. Déménager dans un autre quartier ou une autre ville;
  8. Changer vos lectures quotidiennes;
  9. Retourner aux études;
  10. Apprendre à parler en public;
  11. Apprendre une 2e ou 3e langue;
  12. Demander une augmentation à votre patron;
  13. Mettre sur pied votre propre entreprise;
  14. Refaire votre site Internet;
  15. Souscrire à un programme de mentorat;
  16. Embaucher un coach de vie;
  17. Suivre une thérapie personnelle ou en couple;
  18. Passer plus de temps avec vos enfants;
  19. Demander pardon à quelqu’un;
  20. Prendre mieux soin de vous;
  21. Etc.

Ne vous sentez-vous pas un peu à l’étroit dans votre pot actuel ? C’est quand la dernière fois que vous avez changé de pot ? C’est quand la dernière fois où vous êtes vraiment sorti de votre zone de confort ?

Comme les plantes de mon grand-père, peut-être vivez-vous dans le même pot depuis trop longtemps et que vous n’avez pas grandi depuis plusieurs années ? Peut-être est-il temps pour vous de passer à l’action et d’aller magasiner pour un pot plus beau et plus grand ? Peut-être est-il temps pour vous de faire des choses que vous n’avez jamais faites auparavant afin d’obtenir des résultats que vous n’avez jamais obtenus auparavant ?

Êtes-vous dû pour changer de pot ?

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11/05/2007

Améliorer la couverture de votre livre

Bonjour,

Que vous le vouliez ou non, les gens jugent les livres selon leurs couvertures. De la même façon, les gens qui ne vous connaissent pas vous jugent très rapidement sur votre apparence et l’image générales que vous projetez. Vous avez rarement plus de cinq secondes avant qu’une personne se fasse une impression positive ou négative de vous. Avant d’être entendu, vous êtes vu. Que pouvez-vous donc faire ? Tout simplement, améliorer votre « look ». Voici dix idées afin que vous ayez la plus belle des couvertures.

1. Votre poids

Il a été démontré par d’innombrables études que les belles personnes inspirent plus facilement confiance. Si vous avez un important excédent de poids ou au contraire vous avez l’air anorexique, les gens vous jugeront que vous le vouliez ou non. Les gens penseront, à tort ou avec raison, que vous avez probablement un manque de discipline, de volonté ou des problèmes mentaux et d’estime personnelle dans le cas de l’anorexie. Mangez bien et faites de l’exercice régulièrement afin d’avoir un poids santé. Demandez de l’aide si vous en avez besoin. Prenez l’exemple d’Isabel Curadeau, cette québécoise chroniqueuse au Lundi qui a repris sa vie en main et qui a fait la Une du magazine People en faisant passer son poids de 232 livres à 112 livres en un peu plus de trois ans.

2. Votre habillement

La façon dont vous êtes habillé est la façon dont vous êtes perçu. La façon dont vous êtes perçu est la façon dont vous êtes traité. Portez donc une attention particulière aux vêtements que vous portez au travail. Optez pour des vêtements classiques avec des couleurs neutres et sombres (bleu marin, gris charbon et noir). Évitez les couleurs criantes le plus possible. Vos accessoires (foulards, bijoux, cravates, etc) pourront par contre donner une touche d’éclat à votre habillement. Évitez de montrer vos tatous, vos piercings ou trop de peau. Messieurs, les bas blancs sont à proscrire… à moins de travailler dans un centre de conditionnement physique. Et vos souliers ? Ils devraient toujours êtres propres et bien cirés.

Si vous travaillez dans un commerce de détail, il est fortement conseillé de porter des uniformes ou du moins des vêtements facilement identifiables par vos clients. De plus, avoir un badge avec votre nom écrit visiblement encourage un contact plus personnel.

3. Vos poils et vos cheveux

Pour les messieurs, attention aux pellicules et aux cheveux gras, rasez-vous à tous les jours et éviter la barbe. Avez-vous remarqué que les méchants dans les films ont presque toujours des barbes et des barbichettes ? Osez également changer de coupe de cheveux d’une décennie à l’autre et de grâce, faites raser votre nuque régulièrement.

Pour les dames, les cheveux attachés sont de mise et ils doivent être propres. Évitez d’avoir les cheveux constamment dans le visage, de replacer une mèche de cheveux derrière les oreilles aux cinq secondes et d’avoir 3, 4 ou même 5 couleurs dans vos cheveux. Évidemment, les poils des aisselles, des jambes ainsi que la barbe pour certaines devraient être absents.

4. Votre propreté

Pour les hommes, assurez-vous que vos ongles soient courts et propres. Pour les femmes, voyez à ce que votre vermis à ongle soit bien mis et non écaillé. Pour ceux qui portent des lunettes, lavez les lentilles régulièrement. Regardez-vous de temps en temps dans le miroir afin d’enlever les petits morceaux de nourriture qui peuvent être pris entre vos dents ou des poils qui décident soudainement de sortir de votre nez ou de vos oreilles. La propreté de votre environnement de travail (bureau, valise, voiture) en dit également très long sur votre personnalité.

5. Votre odeur

Faites attention à votre haleine et votre odeur corporelle. Lavez-vous à tous les jours et utilisez du déodorisant bien sûr, mais faites particulièrement de manger des oignons, de l’ail et prendre de l’alcool lors de vos déjeuners, dîners ou soupers d’affaires. Les fumeurs doivent être conscient de l’odeur de la cigarette qui colle à leurs vêtements et à leur peau. Achèteriez-vous un livre dont la couverture pue ?

6. Votre sourire

Les gens qui ont un sourire aimable, chaleureux et sincère sont plus attirants. Vos dents sont comme des rayons de soleil. Un beau sourire inspire la confiance, la bonne humeur et dégage une énergie positive. Le sourire ne coûte rien, mais il crée une impression favorable à tout coup. Il ne dure qu’un instant mais on en garde le souvenir toute une vie. Si vous n’avez pas le goût de sourire un bon matin, la solution est simple… restez chez vous !

7. Votre regard

Que pensez-vous des gens qui ne vous regardent pas dans les yeux ? À cette question, les participants lors de mes conférences répondent toujours la même chose : « Ils sont malhonnêtes », « Ils ont quelque chose à cacher », « Ils manquent de confiance en eux », etc. En effet, le regard est le miroir de l’âme. Les menteurs ont de la difficulté à regarder leurs interlocuteurs dans les yeux. Regardez toujours vos clients droit dans les yeux. Vous inspirerez ainsi franchise, droiture et honnêteté.

8. Votre posture et votre démarche

Une personne qui a le menton et le dos droits inspire plus confiance qu’une personne qui a le menton bas et le dos courbé et par en avant et qui donne l’impression d’avoir le poids du monde sur ses épaules. De même, une personne qui se traîne les pieds ou qui fait de petits bonds lorsqu’elle marche n’inspire pas confiance.

9. Votre professionnalisme dans les faits et gestes

Une personne qui mâche de la gomme ou le bout de son stylo lorsqu’elle vous parle ou encore qui vous coupe la parole ou qui répond à son cellulaire n’aide pas à améliorer la couverture de son livre.

10. Votre poignée de main

À quel endroit avez-vous appris à serrer la main ? Nulle part vous me répondrez probablement ! Pourtant, la poignée de main est donnée souvent dans les premiers instants d’une rencontre et peut vous aider ou nuire à inspirer confiance chez l’autre personne. Une poignée de main se donne toujours debout; vous regardez l’autre dans les yeux; vous souriez; vous mentionnez votre prénom et nom et soyez caméléon dans la force de votre poignée de main. Assurez-vous que vos mains sont sèches ayez la main perpendiculaire au sol, le pouce bien droit dans les airs et les doigts collés les uns sur les autres afin de ne pas serrer le bout des doigts de l’autre et lâchez prise après 2-3 secondes !

Un livre peut avoir un excellent contenu riche en information, mais il a très peu de chance d’être lu si sa couverture n’incite pas les gens à vouloir l’acheter. De la même façon, vous avez peut-être un produit ou un service à offrir qui est la meilleure invention depuis le feu, le bouton à 4 trous et l’Internet, mais si votre apparence est répulsive, les gens ne porteront pas attention à ce que vous avez à dire. Mettez donc en application les dix idées précédentes et observez vos ventes de livres augmenter de façon spectaculaire !

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10/29/2007

Les 4 styles de personnalité

Bonjour,

Imaginez que vous puissiez, dès les premières secondes, identifier et connaître les qualités, les caractéristiques, les défauts, les peurs, les besoins, les désirs et les motivations des personnes que vous rencontrez. Est-ce que cela pourrait vous aider à mieux communiquer avec eux ? Est-ce que cela pourrait vous aider à mieux les convaincre ? Est-ce que cela pourrait vous aider à gagner plus rapidement leur confiance ? Est-ce que cela pourrait vous aider à mieux travailler en équipe ? Est-ce que cela pourrait vous aider à mieux vendre vos idées, vos produits ou services ? Est-ce que cela pourrait vous aider à être plus tolérant ? Évidemment que oui !

Il existe dans notre société 4 styles de personnalité. La plupart des gens sont un mélange de 2 ou 3 ou parfois même les 4 styles. Le rouge et le jaune possèdent un style de personnalité extraverti et ils parlent rapidement alors que le vert et le bleu sont intravertis et ils parlent plus lentement. Le rouge et le bleu sont axés sur les tâches et les résultats alors que le jaune et le vert sont axés sur les personnes et les sentiments. Il n’y a pas un style meilleur qu’un autre. Chaque style a ses qualités, ses défauts et ses besoins. Examinons chacun des styles brièvement à l’état pur :

LE ROUGE (18% de la population)

  • Qualités : Gagnant, ambitieux, efficace, rapide, leader, responsable, courageux, expressif et riche.
  • Défauts : Direct, directif, contrôlant, impatient, colérique, insensible, peu diplomate, prétentieux, imbu de lui-même et un peu baveux.
  • Besoins : Résultat, performance, rapidité, respect et pouvoir

LE JAUNE (28% de la population)

  • Qualités : Joyeux, passionné, enthousiaste, charismatique, social, articulé, drôle, créatif et aime le changement.
  • Défauts : Spontané, impulsif, infidèle, désorganisé, toujours en retard, traîneux, dépensier, superficiel, nul dans les suivis et peu fiable.
  • Besoins : Plaisir, prestige, jeu, reconnaissance, défi et nouveauté.

LE VERT (40% de la population)

  • Qualités : Humain, chaleureux, docile, altruiste, beaucoup de compassion, esprit de famille, fidèle, bon travaillant, respectueux, patient, sincère, diplomate, empathique, à l’écoute et soucieux de l’environnement.
  • Défauts : Traditionnel, déteste le changement et les risques, lent, réactif, routinier, manque d’ambition et de leadership, ne s’exprime pas assez et manque de confiance en lui.
  • Besoins : Famille, sécurité, stabilité, honnêteté et loyauté.

LE BLEU (14% de la population)

  • Qualités : Intelligent, analyste, rationnel, organisé, structuré, ordonné, responsable, respectueux des règlements, fiable, ponctuel et persévérant.
  • Défauts : Très perfectionniste, critique, réservé, indépendant, froid, distant, aucun sens de l’humour et économe.
  • Besoins : Logique, sécurité et garantie.

Les besoins mentionnés précédemment sont des besoins FONCTIONNELS. Ce qui veut dire que si une personne n'a pas ses besoins comblés, elle devient DISFONCTIONNELLE. Dans une situation de vente, il s’agit de besoins DÉCISIONNELS (motivation d'achat). Ce qui veut dire que lorsqu'ils ne sont pas comblés, la personne ira acheter ailleurs.

Relisez les qualités, les défauts et les besoins des 4 styles de personnalité et assurez-vous de toujours vous adapter aux styles des autres lorsque vous vous adressez à eux. En d’autres mots, parlez leur langage. Bien connaître les 4 styles de personnalité a ses avantages. Non seulement cela fera de vous une personne plus tolérante envers les autres, car vous comprenez maintenant leur façon de penser, mais vous serez également en mesure d’influencer plus facilement les pensées et les actions de vos interlocuteurs que ce soit votre partenaire de vie, vos enfants, vos collègues de travail, vos fournisseurs ou vos clients.

* Procurez-vous le livre "Les 4 styles de personnalité" (ebook) en commandant directement sur la boutique de notre site Internet pour seulement 9,97$.

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10/23/2007

Le culte du corps parfait

Bonjour,

Avoir une apparence jeune, les pantalons à taille basse, la liposuccion, le « lifting », l’injection des lèvres avec du collagène, les implants mammaires, la pornographie sur Internet, etc… prennent de plus en plus de place dans notre société. L’idéal de beauté pour une femme, c’est d’être mince et pour un homme c’est d’être musclé. Plusieurs magazines et certaines émissions de télé - réalité contribuent évidemment à ce phénomène de telle sorte que le culte du corps parfait semble avoir envahi l’Amérique.

En effet, pour plusieurs personnes, leur corps est devenu une véritable obsession. Prenons par exemple le centre d’entraînement que je fréquente à Rosemère depuis quelques mois déjà. J’y ai pris un abonnement d’un an pour des raisons de proximité.

La clientèle sur le plateau d’entraînement est constituée à 80% d’hommes. Les femmes n’y vont pratiquement pas parce qu’elles sont trop intimidées par la plupart des messieurs qui sont de véritables montagnes de muscles. Parmi le 20% des femmes qui s’y entraînent, j’ai remarqué que la grande majorité d’entre elles sont les copines des futurs messieurs Univers.

Les hommes qui fréquentent ce gym se ressemblent tous. Ils ont pour la plupart de grosses chaînes dans le cou, des boucles d’oreilles, des tatous, des piercings, aucun poil sur le corps incluant les jambes et les avant-bras, la peau super bien bronzée, le crâne rasé et des boutons dans le dos, dû probablement aux stéroïdes et aux hormones de croissance qu’ils prennent à tous les jours.

La grande majorité des hommes portent des très petites camisoles ou des gilets de grandeur M alors qu’ils devraient porter du XXL. Il est très important pour eux d’exhiber leurs gros muscles. Lorsqu’ils marchent, ils ont toujours le torse bombé et ils donnent l’impression qu’ils ont des balles de soft-ball sous les aisselles !

Vous devriez entendre ces messieurs discuter entre eux. Leurs phrases débutent toutes par JE ou MOI. Avec un langage d’adolescent, leurs conversations ont la profondeur d’une baignoire pour bébé. Vous devriez également voir ces messieurs en amour avec eux-mêmes, ils se regardent constamment dans les miroirs et des miroirs, il y en a partout pour satisfaire l’ego de ces messieurs.

Et pour ce qui est des femmes qui fréquentent ce gym, la majorité ont également des tatous, portent de petit « top » hyper sexy afin que l’on puisse admirer leur ventre plat et leur piercing au nombril, leurs bijoux et leurs maquillage lors de leur entraînement. Ha oui j’oubliais, elles ont presque toutes des seins à la Pamela Anderson !

La question que l’on doit se poser est la suivante : Pourquoi mettre tant d’emphase sur le paraître ? Je crois qu’il y a un effet d’entraînement à vouloir être comme les gens que l’on fréquente. Mais je crois que pour plusieurs de ceux qui ont le culte du corps parfait, cela cache un profond manque de confiance et d’estime de soi. Les gens veulent bien paraître parce qu’ils ont un grand besoin d’amour. Muni d’un corps d’Adonis ils croient à tort que les autres seront attirés automatiquement vers eux, qu’on les admirera, qu’on leur portera du respect et qu’on les aimera.

Bien que je trouve ridicule et exagéré l’addiction de ces gens à bien paraître, je dois dire toutefois que j’admire leur discipline personnelle. Toujours manger santé alors que les tentations sont grandes et aller s’entraîner à tous les jours, même lorsque le désir n’y est pas et alors qu’il y a tellement d’autres choses à faire, ça demande un énorme contrôle de soi.

La santé, bien paraître et se sentir bien dans son corps est certes très important, mais cela ne constitue qu’une partie du bonheur. Le vrai bonheur vient d’un équilibre entre les aspects physique, émotionnel, relationnel, intellectuel, spirituel et financier. À trop privilégier un aspect de notre vie, nécessairement on néglige les autres. Prenez soin de votre corps comme il le mérite, mais n’oubliez pas d’investir du temps dans tous les autres aspects de votre vie

Copyright 2007© - Conférences et séminaires Patrick Leroux Inc.

10/15/2007

Comment conserver votre motivation ?

Bonjour,

Pourquoi certains jours êtes-vous très motivé et d’autres jours, avez-vous de la difficulté à sortir de votre lit ? Pourquoi vous sentez-vous parfois comme le roi du monde et à d’autres moments, comme le dernier des perdants ? Si vous vous sentez occasionnellement de la sorte, ne vous en faites pas, vous êtes tout à fait normal. Vous vous demandez probablement : « Comment faire alors afin de toujours conserver ma motivation ? » Voici à cet effet 9 idées afin de devenir une personne toujours très motivée.

1. Cultivez votre motivation

Si une personne vous dit un jour qu’un discours, un livre ou un CD de motivation ne dure pas, répondez-lui que prendre sa douche non plus ! C’est quelque chose qu’on devrait faire à tous les jours ! De la même façon que vous devez enlever les mauvaises herbes de votre jardin régulièrement si vous désirez que celui-ci demeure beau et en santé, vous devez aussi cultiver votre motivation de façon régulière.

2. Pensez et visualisez vos objectifs

Un des plus grands facteurs de motivation consiste à penser
et à visualiser vos buts. Idéalement à tous les jours et ce, deux fois par jour. Le meilleur moment est lorsque vous vous brossez les dents au lever et avant de vous coucher. Vous n’avez rien d’autres à faire de toute façon ! Pensez et visualisez (en utilisant tous vos sens) avec émotion ce que vous désirez attirer à vous. Lorsque vous pensez à vos buts, vous ne pensez pas à vos problèmes !

3. Lisez des livres

Prenez l’habitude de lire, au minimum, un bon livre de motivation par mois. Ces lectures vous donneront confiance en vous et elles vous inciteront à vous dépasser. Bien que j’aie écrit quelques très bons livres, la très populaire série « Bouillon de Poulet pour l’âme » de Jack Canfield et Mark Victor Hansen est également excellente.

4. Écoutez des disques compacts

Utilisez vos temps de déplacement intelligemment. Faites-vous un CD de musique entraînante et inspirante. Commandez également sur Internet des CDs de motivation de vos auteurs préférés et écoutez leurs histoires et leurs conseils alors que vous êtes dans votre voiture. Transformez votre automobile en université roulante.

5. Visionnez des films inspirants

Vous vous sentez un peu nonchalant et vous aimeriez changer votre attitude ? Rien de mieux que visionner quelques bons films inspirants comme Rudy, Rocky, Gandhi, La vie est belle, etc.

6. Assistez à des conférences de motivation

Au minimum 3 ou 4 fois par année, déplacez-vous afin d’assister à des conférences de motivation. Plusieurs grands conférenciers et promoteurs organisent des événements ouverts au grand public. Depuis les 10 dernières années, j’ai assisté personnellement à plus de 75 conférences par année en moyenne et non seulement j’y apprends des idées qui m’aident à devenir une meilleure personne, mais à chaque fois, ma motivation est renforcée.

7. Lisez vos lettres de témoignage

Plusieurs personnes sont trop dures envers elles-mêmes. Elles se laissent décourager facilement par un commentaire négatif d’un client ou d’un collègue mal intentionné. Lorsqu’une situation pareille survient, rien de mieux pour retrouver sa motivation que de relire les lettres de témoignage de vos clients qui affirment que vous êtes la meilleure personne au monde !

8. Appelez un ami

Les amis, tout comme les fleurs, nous rendent heureux simplement par leur présence. Un ami nous aime pour ce que nous sommes; il nous écoute sans jamais nous juger; il nous pardonne sans que nous l’ayons demandé; il essuie nos larmes lorsque nous pleurons et il nous aide à nous relever quand nous sommes tombés. La présence et l’encouragement d’un ami sont extrêmement motivants.

9. Agissez

Le succès engendre le succès. Lorsque vous agissez dans l’atteinte de vos buts, vous éprouvez un sentiment de satisfaction. Ce sentiment vous pousse en avant et vous incite à en faire encore davantage. Comme une boule de neige qui descend une côte, votre confiance et votre niveau de motivation augmentent à chaque action que vous prenez.

Vous possédez à l’intérieur de vous tous les éléments essentiels à votre succès futur. Ce qu’il vous manque afin d’accéder au succès que vous méritez est peut-être un peu de motivation. Suivez les 9 conseils précédents et non seulement on dira de vous que vous êtes une personne toujours très motivée, mais vous réaliserez vos rêves les plus fous.

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10/09/2007

Comment passer de héros à zéro

Bonjour,

Vendredi, le 21 septembre dernier, le Journal de Montréal tirait à la une, deux photos d’athlètes québécoises. La première de Myriam Bédard coupable de l’enlèvement de sa fille et la deuxième de Geneviève Jeanson qui avouait s’être dopée depuis l’âge de 16 ans. Pourquoi et comment ces deux personnes ont pu passer de héros à zéro ?

Certes une part de responsabilité revient aux deux athlètes. Il ne faut surtout pas les voir comme de simples victimes innocentes, mais une bonne part de responsabilités revient également aux parents et aux entraîneurs, particulièrement dans le cas de Jeanson qui était très jeune lorsqu’elle a commencé à se droguer.

Qui que nous soyons, nous sommes tous très influençables. Et plus une personne est jeune, moins elle a du discernement et plus elle est susceptible de se faire influencer négativement par les membres de son entourage. Devenu adulte, avec un peu plus de maturité, il est plus facile de distinguer le bien du mal et de dire non à certaines personnes qui ont une influence négative dans notre vie.

Il y a quelques années, on a fait un sondage auprès des jeunes en prison. Une des questions était : « Avec qui étais-tu lorsque tu as commis ton premier crime ? » Presque tous les jeunes sans exception ont répondu : « Avec un ami ! »

Personnellement, j’ai même volé un canif à l’âge de 10 ans dans un magasin Zellers. Mon meilleur ami s’appelait Carl et je me suis laissé influencer par lui. Pourquoi ? Parce que tout ce que l’on fait dans la vie, et peu importe notre âge, est pour gagner l’estime de ceux qu’on estime, le respect de ceux qu’on respecte et l’amour de ceux qu’on aime. Nous sommes des êtres très grégaires et le besoin d’appartenance et de reconnaissance est l’un des plus puissants au monde.

Prenez par exemple, la première fois qu’une personne fume la cigarette. Elle ne le fait certainement pas par plaisir ! Probablement qu’elle tousse et crache par terre, mais malgré tout, elle continue à fumer. Elle le fait pour faire partie du groupe, pour se faire accepter des autres.

En ce qui a trait à nos deux athlètes québécoises, leur estime personnelle est souvent directement reliée à la victoire. À leurs yeux, sans la victoire, elles ne sont rien. Sans victoires, pas d’attention médiatique. Pas d’attention médiatique, pas de commanditaires. Pas de commanditaires, pas d’argent. C’est ainsi que des sportifs sont souvent prêts à tout, comme prendre de la drogue dans le cas de Jeanson, afin d’absolument gagner. Certains se font prendre et d’autres non. Le pire dans tout ça est que certains athlètes hypothèquent leur santé pour le restant de leur vie.

Vous désirez avoir du succès dans la vie et vous ne voulez pas un jour passer de héros à zéro ? Une des première règles est de bien vous entourer. En effet, dans cinq ans, vous deviendrez la même personne qu’aujourd’hui sauf pour les livres que vous aurez lu et surtout les gens que vous aurez fréquentés. Ne fréquentez que des gens honnêtes et qui possèdent de bonnes valeurs. Et si vous avez des enfants, le plus bel héritage que vous pourriez leur laisser est de faire en sorte qu’ils soient également très bien entourés

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10/01/2007

Êtes-vous une poule mouillée ou un coq ?

Bonjour ,

Aéroport de Bathurst au Nouveau-Brunswick, 25 minutes avant le départ de mon vol pour Montréal. La petite salle située après la sécurité est pleine de monde. Je dois même m’asseoir sur un banc réservé aux handicapés puisque toutes les autres places sont occupées.

Un homme dans la mi-quarantaine, avec une petite bedaine et presque chauve, parle avec son portable. Il parle d’affaires avec des collègues de travail. Le problème est qu’il parle très fort et qu’il ne se soucie pas le moins du monde des 30 autres personnes qui attendent calmement d’embarquer dans l’avion.

Il fait son petit « boss » et il donne ses ordres : « Non, non ne fais pas ça, fais ça à la place, on va faire sauver de 15 à 20 000$ à la compagnie, etc, etc. » Cet homme avait un comportement vraiment irrespectueux envers les autres passagers. Il agissait comme si personne d’autre était dans la salle. Je me suis retourné plusieurs fois pour lui faire un regard qui voulait dire : « Parle moins fort, tu déranges tout le monde ! », mais mon regard et celui des autres passagers ne semblaient pas du tout l’intimider.

Étant comme je suis, un petit rouge (voir mon livre sur les 4 styles de personnalité), j’ai décidé de faire mon coq et lui dire ma façon de penser : « Excusez-moi monsieur, vous devez être une personne très importante, n’est-ce pas ? » « Que veux-tu dire par là ? » « Vous semblez avoir plusieurs choses importantes et urgentes à régler, vous parlez très fort et vous ne semblez pas vous soucier des autres personnes ici dans la pièce. »

Je ne me rappelle pas exactement ce que le monsieur m’a dit, mais disons qu’il m’a en quelque sorte, envoyé promener… Mais heureusement, mon intervention a fonctionnée et le monsieur en question a cessé de faire des appels avec son portable au grand plaisir de tous les autres passagers qui pensaient tous comme moi, mais qui n’osaient pas s’affirmer.

Je me rappelle avoir eu cette réflexion : « Pourquoi est-ce que les gens tolèrent ce genre de comportement dans notre société ? Le peuple canadien est-il à ce point pacifique et non violent qu’il préfère subir la stupidité des gens plutôt que de s’exprimer lorsqu’une personne leur manque de respect ? Les gens sont-ils à ce point des poules mouillées ? »

Cinq minutes plus tard, la préposée nous fait signe d’embarquer dans l’avion. J’embarque en dernier comme toujours. L’homme qui me précède me regarde, lève son pouce dans les airs et il me dit doucement : « T’as bien fait de remettre cet impoli à sa place. » Je souris.

J’embarque donc dans l’avion le dernier et je m’aperçois qu’il n’y a aucun siège de libre. Enfin oui, il y en a un, le mien, tout juste à côté de, devinez qui ? Hé oui, à côté du monsieur avec qui je venais d’avoir une prise de bec !

En ce moment, je suis certain que vous vous demandez comment s’est déroulé le vol de deux heures entre Bathurst et Montréal ? Vous savez ce que ça fait deux coqs dans la même basse-cour ? Disons qu’il y a eu beaucoup de turbulence durant le vol, mais surtout, beaucoup de silence ! Tous les deux, on a évité que nos regards se croisent. Par chance, le monsieur en question a écrit sur son BlackBerry pendant 10 minutes et il a dormi presque tout le reste du vol.

Et vous, comment auriez-vous réagi face à une telle situation ? Auriez-vous osé vous affirmer ou auriez-vous plutôt toléré ce genre de comportement ? Êtes-vous une poule mouillée ou un coq ? De grâce, la prochaine fois que vous serez confronté à ce genre de situation et qu’une personne vous manquera de respect, mettez vos culottes comme disait ma grand-mère, et osez vous affirmer !

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9/30/2007

Communiqué de presse - Pauline Marois : coupable d’être riche ?

Pour diffusion immédiate

Pauline Marois : coupable d’être riche ?

MONTRÉAL, QC, le 01 octobre 2007 – Le Journal de Montréal titrait dans son édition de samedi dernier Pauline Marois : coupable d’être riche ? Selon l’expert québécois en motivation M. Patrick Leroux, Mme Marois est victime du problème émotif des Québécois avec l’argent.

Selon Patrick Leroux, auteur du livre Le Feu Sacré du Succès, « Plusieurs personnes jalousent les gens qui ont de l’argent. Comme si faire de l’argent était quelque chose de mal et de méprisable. Pourtant, l’une des qualités premières des gagnants est qu’ils se réjouissent du succès des autres. Si une personne a des pensées et des émotions de jalousie et de mépris envers les gens qui gagnent beaucoup d’argent, jamais elle en attira en abondance vers elle. »

M. Leroux d’ajouté : « Malheureusement, le système politique et la culture nord américaine propagent le mythe que les gens qui ont de l’argent sont des méchants et que les pauvres sont de bonnes personnes. Il s’agit d’une absurdité ! On peut à la fois être une bonne personne et riche. »

« Bien des gens disent que l’argent n’est pas important à leurs yeux, mais je n’ai encore jamais rencontré personne qui refuserait un million de dollars si on le leur donnait ! », de conclure M. Leroux.

Patrick Leroux CSP est conférencier professionnel et auteur de huit livres sur la motivation et les stratégies du succès.

- FIN -

À propos de Patrick Leroux

Entrepreneur, auteur à succès et conférencier bilingue, les présentations de Patrick Leroux CSP sont reconnues comme étant dynamiques, drôles, touchantes et captivantes. Avec passion, humour et une énergie contagieuse, Patrick aide ses participants à réévaluer leurs croyances limitatives, réelles ou imaginaires, il les amène à prendre leurs responsabilités pour les résultats qu’ils obtiennent dans leurs vies, et à cesser de trouver des excuses pourquoi ils ne vivent pas à la hauteur de leurs capacités.

Pour de plus amples renseignements ou pour une entrevue, veuillez communiquer avec M. Pascal Jetté, relationniste, par téléphone au (514) 954-8964, par cellulaire au (514) 915-2879 ou par courriel au pascal@patrickleroux.com.

9/24/2007

Prendre une décision ne suffit pas

Bonjour,

Imaginez un instant que deux oiseaux sont perchés sur une branche dans un parc par un bel après-midi d’été. Le temps est doux et nos petits oiseaux chantent tous en choeur. Un d’entre eux décide alors de s’envoler. Combien d’oiseaux reste-t-il sur la branche ? Si vous avez répondu deux, vous avez raison.

Prendre la décision de s’envoler sans agir dans ce sens ne donne absolument rien. Prendre une décision ne suffit pas, ce qu’il faut pour réussir vos projets c’est de passer à l’action.

Bien des gens assistent à mes conférences et séminaires et décident de faire des changements afin d’améliorer leur vie. Avec beaucoup d’enthousiasme, ils me disent des choses comme : « Je vais afficher et lire mes affirmations positives soir et matin », « Je vais me créer une carte aux trésors qui m’aidera à visualiser mon avenir » et « Je vais mettre un terme à une relation toxique dans laquelle je suis depuis déjà trop longtemps ». D’autres me disent : « Je vais cesser de lire les journaux négatifs le matin », « Je vais me trouver un emploi plus satisfaisant », « Je vais cesser de fumer » et « Je vais recommencer à m’entraîner et perdre du poids », etc.

Après avoir appris de nouvelles idées (il s’agit souvent d’un rappel de choses qu’ils savent déjà) sur comment améliorer significativement leur qualité de vie, les gens sont généralement très inspirés. Mais les idées seules n’assurent pas le succès, elles n’ont de valeur que si on les mets en application.

Je rencontre parfois ces mêmes personnes quelques mois ou quelques années plus tard et seulement une minorité ont vraiment accompli leurs objectifs. Pourquoi si peu de gens ? Parce que ces derniers ont compris que prendre une décision ne suffit pas. La clé du succès c’est l’ACTION. En effet, les insuccès des gens ne s’expliquent pas tant par un manque d’information, mais plutôt par un manque de mise en application de l’information.

Même si vous êtes sur le bon chemin une fois que vous avez pris une décision, vous allez vous faire frapper si vous restez simplement assis là ! Vous devez absolument agir.

Des douzaines de personnes me contactent à chaque année afin de me demander mon opinion car ils me disent avoir pris la décision de devenir conférencier professionnel. Mon premier conseil est de devenir membre de CAPS (Canadian Association of Professional Speakers) et d’un club Toastmasters (club de parole en public). Incroyable mais vrai, moins de 10% d’entre eux passent à l’action sur ce conseil… Ils disent avoir pris la décision, mais ils n’osent pas agir concrètement. Ces derniers n’ont pas encore compris que les mots sont des nains et les actions des géants.

Au hockey, par exemple, vous pouvez décider de marquer un but, mais vous n’en marquerez jamais un seul si vous ne lancez pas. Au baseball, vous pouvez décider de voler le deuxième but, mais vous n’y parviendrez jamais si vous laissez votre pied sur le premier. À la pêche, vous pouvez décider d’attraper des poissons, mais vous n’en pêcherez aucun, à moins de mettre d’abord votre ligne à l’eau.

De la même façon, dans votre vie, vous n’atteindrez jamais vos objectifs quels qu’ils soient, si vous ne passez pas à l’action en vue de les réaliser. Prendre une décision ne suffit pas.

Le meilleur moment pour passer à l’action sur une idée est toujours lorsque celle-ci est fraîche. Plus vous laisserez passer le temps, plus faibles seront vos chances de réaliser votre intention.

Prenez un instant et listez toutes les décisions que vous remettez à plus tard depuis longtemps. Une fois votre liste complétée, passez immédiatement à l’action et voyez votre vie se transformer à jamais.

Quelles idées, quels rêves ou quelles bonnes intentions avez-vous laissé en suspens sur une branche parce que vos décisions n’étaient pas appuyées par vos actions ?

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Communiqué de presse - Geneviève Jeanson et Myriam Bédard : De héros à zéro

Pour diffusion immédiate


Geneviève Jeanson et Myriam Bédard : De héros à zéro

MONTRÉAL, QC, le 24 septembre 2007 – Selon l’expert québécois en motivation M. Patrick Leroux, les deux championnes québécoises ont été manipulées.

Selon Patrick Leroux, auteur du livre Le Feu Sacré du Succès, « Bien qu’une part de responsabilité revienne aux deux athlètes, elles ont avant tout été manipulées et victimes d’influence négatives. »

M. Leroux d’ajouté : « L’expression bien connue « dit-moi avec qui tu te tiens et je te dirai qui tu es » prends tout son sens dans le cas de Jeanson et Bédard, la première, dopée depuis l’âge de 16 ans, et la deuxième, coupable de l’enlèvement de sa fille. En effet, dans cinq ans, on devient la même personne qu’aujourd’hui sauf pour les livres qu’on a lu et surtout les gens qu’on aura fréquentés. »

« Nous sommes très grégaires et tous ce que nous faisons dans la vie est afin de gagner l’estime de ceux qu’on estime, le respect de ceux qu’on respecte et l’amour de ceux qu’on aime. Le bon choix de nos fréquentations est primordial si une personne désire bien réussir sa vie. », de conclure M. Leroux.

- FIN -

À propos de Patrick Leroux

Entrepreneur, auteur à succès et conférencier bilingue, les présentations de Patrick Leroux CSP sont reconnues comme étant dynamiques, drôles, touchantes et captivantes. Avec passion, humour et une énergie contagieuse, Patrick aide ses participants à réévaluer leurs croyances limitatives, réelles ou imaginaires, il les amène à prendre leurs responsabilités pour les résultats qu’ils obtiennent dans leurs vies, et à cesser de trouver des excuses pourquoi ils ne vivent pas à la hauteur de leurs capacités.

Pour de plus amples renseignements ou pour une entrevue, veuillez communiquer avec M. Pascal Jetté, relationniste, par téléphone au (514) 954-8964, par cellulaire au (514) 915-2879 ou par courriel au pascal@patrickleroux.com.

9/17/2007

L'argent est bon

Bonjour ,

Je connais bien des gens qui disent que l’argent n’est pas important à leurs yeux, mais je n’ai encore jamais rencontré personne qui refuserait un million de dollars si on le leur donnait !

Quelle est votre attitude émotive et quelles sont vos croyances face à l’argent ? Croyez-vous que l’argent est quelque chose de bon ou de mauvais ?

La façon dont vous vous sentez par rapport à l’argent déterminera combien d’argent vous gagnerez dans la prochaine année et combien d’argent vous accumulerez dans votre vie.

Idéalement, combien d’argent par semaine, par mois ou par année aimeriez-vous gagner ? Peut-être que vous êtes convaincu que vous en gagnez suffisamment ? Qu’est-ce que suffisamment représente exactement pour vous ? Est-ce que votre zone de confort cacherait un peu de paresse et de nonchalance de votre part ? Soyez honnêtes, vous pouvez faire mieux, n’est-ce pas ?

Ce n’est probablement pas votre cas, mais les gens qui manquent d’argent ont tendance à en faire une obsession. Leurs pensées, leurs émotions et leurs actions sont complètement dominées par ce manque.

En effet, le manque d’argent est l’une des principales causes de dispute chez les couples. Une des principales causes de suicide chez les hommes est également le manque d’argent. C’est également une des principales raisons qui explique la rupture de certaines amitiés.

Vous voulez d’autres exemples ? D’accord. Une des principales causes de faillite en affaires est aussi le manque d’argent. Une des principales raisons pourquoi des millions de personnes meurent à chaque année dans le monde est la conséquence d’un manque d’argent pour la nourriture et/ou des médicaments. Une des principales raisons pourquoi vous lisez encore cet article est que vous aimeriez sans doute faire plus d’argent !

Vous êtes-vous déjà posé la question à savoir d’où proviennent vos croyances par rapport à l’argent ? L’école, l’église, les médias, vos parents, votre beau-frère et votre belle-soeur qui étaient eux-mêmes sans le sou ? Si vous croyez depuis votre tendre enfance par exemple que l’argent est mal et que seuls les gens malhonnêtes en possèdent beaucoup, vous aurez beaucoup de difficulté à en gagner et à en accumuler abondamment dans votre vie.

Malheureusement, le système politique et la culture nord américaine propagent le mythe que les gens qui ont de l’argent sont méchants et que les pauvres sont de bonnes personnes. Au niveau politique par exemple, plus vous gagnez de l’argent, plus les gouvernements vous taxeront et vous imposeront ! Au plan culturel, prenez ce qu’on voit dans les télé-séries et le cinéma par exemple. Dans la très grande majorité des cas, le héros est représenté par un pauvre garçon qui doit se battre contre un méchant qui possède généralement beaucoup d’argent. Vous n’avez qu’à penser aux séries cultes américaines comme « Dallas » ou, plus près de chez nous, la télé-série et le film qui avaient comme un des personnages principaux Séraphin Poudrier. Pensez aux films qui ont rapporté le plus d’argent au box-office comme « Le Titanic » ou « Spiderman » et qui ont été vus par des millions de personnes. Même l’histoire de Jésus de Nazareth est basée sur cette prémisse que les pauvres (Jésus et ses apôtres) sont bons et les riches (les Romains) sont des méchants. Avec des tels exemples perpétués depuis des siècles et des siècles, qui veut être vraiment riche ?

Lorsque je fais des entrevues, les animateurs et journalistes me demandent parfois ironiquement : « Un conférencier comme vous ça doit bien gagner sa vie, non ? » Comme s’il fallait jalouser les gens qui font beaucoup d’argent. Comme si faire de l’argent était quelque chose de mal et méprisable. Pourtant, l’une des qualités premières des gagnants est qu’ils se réjouissent du succès des autres. Si vous avez des pensées et des émotions de jalousie et de mépris envers les gens qui gagnent beaucoup d’argent, jamais vous en attirerez en abondance vers vous.

À compter d’aujourd’hui, commencez à croire que l’argent est bon et répétez cette affirmation plusieurs fois par jour : « L’argent est bon et j’en attire facilement et aisément à moi. »

Rappelez-vous que vous avez besoin d’argent pour acheter une maison, une voiture et des vêtements. Vous avez besoin d’argent pour acheter de la nourriture, des médicaments et pour vous procurer les services des meilleurs professeurs. Vous avez aussi besoin d’argent pour créer de l’emploi et une certaine paix sociale. Vous avez également besoin de l’argent afin de voyager et de vous gâter un peu. Vous le méritez bien, non ? Maintenant, combien d’argent désirez-vous gagner d’ici la prochaine année ?

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9/10/2007

Les leçons de mon enfance

Bonjour ,

Comment vous y prenez-vous afin d’inculquer les bonnes valeurs à vos enfants et petits-enfants ? L’influence des parents et grands-parents est certes extrêmement importante, mais force est d’admettre que, de nos jours, avec les deux parents qui travaillent, les enfants passent plus de temps à l’extérieur qu’en famille.

Lorsque je pense à mon enfance, voici les trois endroits, à l’extérieur du milieu familial, qui me viennent immédiatement à l’esprit où j’ai appris la majorité des leçons et des valeurs qui m’habitent soit l’école, l’église et les arénas.

1. L’école

Lorsque je pense à l’école, je me souviens que l’on devait toujours se mettre en rang, des autobus jaunes, des concours de dessins Crayola multi couleurs, des photos de classe, des berlingots de lait dans lesquels nous mettions du Quick au chocolat ou à la fraise, des examens finaux, de Gilberte, ma très chère et gentille prof de 5e année et des récréations où l’on jouait au ballon-chasseur et au drapeau.

Les leçons que j’ai apprises à l’école sont l’écoute, le travail, la discipline, apprendre à se faire des amis, comment régler les conflits et le respect de l’autorité.

2. L’église

Lorsque je pense à l’église, je me souviens de l’odeur de l’encens, des chants de la chorale, du confessionnal, des dames avec leurs gros manteaux de fourrure, des messieurs qui dormaient en cognant des clous à cause des curés ennuyants qui racontaient des histoires vieilles de 2000 ans (certaines histoires n’étaient pas mauvaises toutefois) et de la communion. La communion était ma partie préférée. En plus d’avoir droit à une hostie, ça voulait dire que la messe était presque terminée !

Il faut dire que mes parents nous ont obligés (ils nous tiraient littéralement du lit), mon frère et moi, à aller à l’église à tous les dimanches matins. Mes parents étaient assis en avant et nous étions en arrière. Pour être certains que nous avions bien écouté, nous devions faire un résumé à notre mère du sermon du curé. Lors de mes 18 ans, j’ai pris la décision de ne plus y aller. Bizarrement, mes parents ont également cessé d’y aller.

Les leçons que j’ai apprises à l’église sont l’importance du partage, l’entraide, le don de soi, le pardon, le pouvoir des histoires et la patience !

3. L’aréna

Lorsque je pense aux arénas, je me souviens de l’odeur d’humidité et de transpiration, de la Zamboni, des entraîneurs qui nous criaient parfois après lors de nos pratiques à 6 heures le samedi matin, des couvres-feux à 21h00 et des tournois en région alors que nous habitions dans des familles d’accueil. Je me rappelle aussi des trophées et des médailles, des manteaux d’équipe avec notre nom et numéro brodés sur la manche, des voyages en autobus, des partisans qui nous encourageaient avec leurs trompettes et crécelles lorsque nous marquions des buts et surtout de mon sac de chip julienne au bacon auquel j’avais droit après les matchs.

Mon père m’a acheté mes premiers patins à l’âge de 4 ans. Contrairement à aujourd’hui, le hockey était de loin le sport le plus populaire dans mon temps. J’ai joué dans les catégories atome, pee-wee,bantam, midget et junior. Tout jeune, je rêvais de jouer dans la ligue nationale de hockey tout comme mes idoles Peter Stastny, Michel Goulet, Mario Lemieux et Wayne Gretsky. Sans aucun doute, mes plus beaux souvenirs d’enfance sont rattachés aux moments passés dans les arénas.

Les leçons que j’ai apprises en jouant au hockey et à force de fréquenter les arénas sont l’esprit de compétition, la discipline, l’engagement, le désir et le goût de la victoire, l’estime de soi, le respect de l’autorité, l’encouragement, le support, l’esprit d’équipe et la persévérance.

Et vous, quelles leçons de vie et valeurs désirez-vous inculquer à vos enfants et petits-enfants ? De quelles façons vous y prendrez-vous afin de leur transmettre ces leçons de vie et ces valeurs à l’extérieur du giron familial ? À mon avis, l’école et l’église (éducation passive) sont certainement de bons endroits, mais le sport (éducation active) est incontestablement un des meilleurs moyen pour y parvenir.

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9/05/2007

7 trucs pour cessez de remettre à plus tard

Bonjour ,

Vous voulez qu'une tâche simple vous semble difficile ? Continuez tout bonnement à la remettre à plus tard ! On dit d’un problème non réglé qu’il est amplifié. Vous avez pris de nouvelles résolutions pour la rentrée automnale ? Allez-vous vraiment les tenir ? La procrastination est une mauvaise habitude qu'il faut absolument perdre. Voici sept techniques éprouvées afin de vaincre cette mauvaise habitude et ainsi reprendre le contrôle de votre vie.

1. Embauchez

N'hésitez pas à embaucher des gens pour effectuer des tâches qui vous répugnent ou que vous ne vous sentez pas assez habile à effectuer. De toute façon, il y a de fortes chances que ces tâches vous rebutent autant sinon plus dans les jours ou les semaines à venir. Prenez votre agenda immédiatement et bloquez du temps sur le champ pour appeler des gens aptes à faire ces travaux à votre place.

2. Divisez vos grands projets en sous-projets

Les Chinois disent avec sagesse: «Un voyage de mille kilomètres commence par un premier pas.» De la même façon, le truc pour accomplir de grands projets, est d’y aller étape par étape, marche par marche, un pas à la fois. Efforcez-vous de toujours diviser vos grands projets, qui semblent irréalisables, en plusieurs petits projets, qui sont facilement réalisables. Comment mange-t-on un gros salami? Eh oui, une bouchée à la fois! Déterminez des dates limites de réalisation pour chaque sous-projet et respectez-les. Les dates limites créent l'urgence et vous motiveront.

3. Bloquez du temps dans votre agenda

La plupart des gens se font accroire qu'ils auront plus de temps disponible plus tard, mais ils se mentent à eux-mêmes car ils savent très bien que ce ne sera jamais le cas. La seule façon de trouver du temps dans un proche avenir, c'est d'en bloquer d'avance dans son agenda. Aussitôt que vous pensez à quelque chose qui doit être fait, bloquez immédiatement du temps dans votre agenda. Rappelez-vous toujours ceci: Les choses qui s'écrivent se réalisent.

4. Rendez public vos engagements

La technique de rendre public ses engagements à d’autres est basée sur le fait qu'on respecte plus nos engagements envers les autres que nos engagements envers nous-mêmes. On s’emploie toujours à bien faire les choses sur lesquelles on va être évalué ou jugé. Votre orgueil vous motivera fortement à respecter votre engagement et à vous libérer une fois pour toutes de votre mauvaise habitude à procrastiner.

5. Récompensez-vous

Accordez-vous des récompenses à l'aboutissement de vos projets. La perspective d’une récompense encourage et motive. Ça pourrait être par exemple: «Si je ne fume pas pendant huit mois, avec tout l'argent économisé, je me paye un beau voyage en Martinique!»

6. Punissez-vous

Une de mes amies qui adore s'habiller à la dernière mode s'est volontairement privée d'acheter de nouveaux vêtements tant qu'elle n'aurait pas perdu les quatre kilos qu'elle s'était bien promis de perdre. Elle se rendait ainsi trois fois par semaine au centre sportif pour faire de la danse aérobique jusqu'à ce qu'elle atteigne son but.

7. Parlez-vous

Voici un dernier truc afin d'éviter de procrastiner, surtout pour les tâches moins agréables comme de sortir les ordures, de changer une ampoule électrique grillée ou de faire le ménage: parlez-vous tout simplement à vous-même! La prochaine fois que vous vous surprendrez à vous dire «plus tard!», raisonnez-vous et dites-vous:

- «Est-ce que ça doit être fait?»
- «Oui!»
- «Est-ce que ça va me tenter davantage de le faire tantôt ou demain?»
- «Non!»
- «Donc, je le fais tout de suite!»


Vaincre la mauvaise habitude de remettre à plus tard, c’est reprendre le contrôle de sa vie. Adoptez l'attitude du: «Fais-le maintenant!» et vous constaterez alors que votre efficacité personnelle augmentera, vous vous sentirez mieux avec vous-même, vous adorerez les résultats et votre estime personnelle augmentera grandement.

* Extrait du livre « Secrets des gens actifs, efficaces et équilibrés » de Patrick Leroux

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8/27/2007

Le repos ne guérit pas le burn-out

Bonjour,

« Le repos ne guérit pas le burn-out », peut-on lire, depuis quelques semaines, sur d’immenses panneaux publicitaires en bordure de l’autoroute. En effet, le repos seul ne guérit pas cette maladie qui affecte des millions de personnes sur la planète à chaque année.

Le « burn-out », autrefois tabou, est presque devenu à la mode de nos jours. Les gens en parlent sans gêne comme si c’était quelque chose de normal. J’ai entendu une femme dire à une autre dans un restaurant l’autre jour: « J’ai été en arrêt de travail l’année dernière, je me suis tapée un burn-out ! »

Si l'environnement physique et psychosocial est à peu près le même pour tout le monde, comment se fait-il que tout le monde ne soit pas atteint ou également menacé par le « burn-out » ? Certaines personnes en sont-elles immunisées ? Existe-t-il des vaccins ou des pilules anti-burn-out ?

Si on écarte les facteurs héréditaires, plusieurs facteurs causent le « burn-out » : les mauvaises habitudes alimentaires, le manque d’exercice, le stress, faire un travail qui ne procure aucune satisfaction, trop de responsabilités, de pression et d’heures de travail, un manque de soutien familial ou en milieu de travail, la recherche abusive de réussite sociale, la quête du pouvoir, une peine d’amour, un rêve brisé, un accident, une blessure ou un handicap physique, l’impression de toujours porter un masque, etc.

Ces attitudes, habitudes et comportements déterminent votre réponse au stress et contribuent ainsi à susciter et à favoriser cet état de mal-être.

Je crois fortement que ce sont les gens eux-mêmes, par le choix de leurs pensées et par leur inaction à changer les choses, qui provoquent leur « burn-out ». Si une personne choisit de se concentrer uniquement sur tout ce qui ne va pas bien dans sa vie, elle attirera de plus en plus de malheurs et de négatif envers elle. Si par contre, elle choisissait, non pas de faire abstraction de ses problèmes, mais de passer plus de temps à penser aux événements heureux des sa vie actuelle et sur les solutions à ses problèmes, elle s’en porterait bien mieux.

Oui, il y a sans aucun doute des facteurs extérieurs qui contribuent au « burn-out », mais le « burn-out » résulte plus, selon moi, de l’interprétation des événements et des circonstances par les individus que des événements et circonstances eux-mêmes. Ce n’est pas ce qui vous arrive qui importe, mais plutôt l’interprétation que vous en faites.

À travers les barreaux d’une prison, le prisonnier numéro un broie du noir, a des idées négatives, s’apitoie sur son sort, ne pense qu’à se venger et il ne voit que la boue par terre. Le prisonnier numéro deux regarde à travers les barreaux de la prison et il s’imagine serrer dans ses bras ceux qu’il aime, il anticipe avec joie ses projets à venir et il observe dans sa grande splendeur la lune et les étoiles. Même situation, deux réactions différentes.

Pour résumer ma philosophie par rapport au « burn-out », oui je partage l’avis que le repos seul ne guérit pas le « burn-out » et je crois que ce sont vos interprétations et décisions et non vos conditions qui orientent votre destinée et votre état d’esprit. Si vous avez besoin d’aide, faites-vous aider, mais réalisez qu’ultimement, vous êtes en contrôle de vos pensées et de vos actions.

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